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⚠️LA JUSTICE S’INTÉRESSE ENFIN À CNEWS ET À SES PROPOS PRO-GÉNOCIDE

La justice ouvre une enquête contre Yoann Usaï le journaliste de CNews.

Le 30 septembre dernier, il avait fait à l'antenne l'apologie du génocide à Gaza.

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November 5, 2025 at 1:03 PM
November 4, 2025 at 8:05 PM
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I once thought we couldn’t do worse than Dick Cheney. Boy, was I wrong.
November 4, 2025 at 2:45 PM
Et my 2 cents c'est que leur connerie s'explique assez bien par le racisme de base de mettre le noir à sa place. Si Bouchez se fait photoshoper en Louis XIV (ou en officier de réserve), c'est rigolo. Mais si c'est Yurbise, c'est : "y connaissent pas leur place. Encore un peu faudra les vouvoyer!"
Difficile de trouver plus bête que la croisade du MR contre Yurbise qui est passé de 8 à 35k followers grâce à ça.
November 2, 2025 at 4:37 PM
Dites @guiwoe.bsky.social, j'entends que la @rtbf-info.be fait son possible.

Mais il faudra bien un jour aborder de front la mythomanie de la direction du MR. Que le MR soit doté d'un président qui ment, effrontément, plusieurs fois par semaine, c'est de l'info.
"Entre gens des milieux populaires, on se comprend": Bouchez à propos de @ahmedlaaouej.bsky.social 🙄
October 31, 2025 at 2:27 PM
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"En diffusant l’idée que 57 % des exclus du chômage seraient des étrangers (en réalité, ils sont 19 %, dont la moitié sont des Européens), l’objectif est évidemment de diffuser l’idée que les étrangers sont les parasites de notre système social, ce qui est faux" www.levif.be/opinions/car...
«Cette dérive n’a sa place dans aucune démocratie et devrait inquiéter tous les démocrates, y compris au MR» (carte blanche)
Pour Geoffrey Pleyers, «défendre les faits redevient une mission cruciale dans les sociétés démocratiques». Un message adressé au ministre Clarinval.
www.levif.be
October 31, 2025 at 10:18 AM
"Dans les 100 premiers jours, on va balayer Goodmove ! On va balayer GoodLiving !"

David Leisterh, has been.

www.rtbf.be/article/davi...
David Leisterh (MR) se retire du jeu national et régional : 'Je ne vois plus la solution… Je ne vois que le mur' - RTBF Actus
Il s’était donné 48 heures de réflexion. 48 heures pour décider, à nouveau, de faire un pas de côté. David...
www.rtbf.be
October 28, 2025 at 8:10 PM
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Dutch Left organization Rights Forum developed electoral campaign posters (🗳 20 Oct.) against leaders of the Far right parties PVV & BBB + ally VVD who led to the parliamentary rejection of measures against Israel 👏
"S•He voted for genocide"
web.archive.org/web/20251023...
cc @diplomatofnight.com
October 23, 2025 at 4:47 PM
Cruelty is the point
October 23, 2025 at 12:47 PM
Mais qui aurait pu prévoir !? 👏Bravo @lesengages-be.bsky.social d'avoir ruiné l'État au profit des propriétaires !
October 22, 2025 at 5:40 PM
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NEW: Inside the Trump Administration's Bluesky Invasion

Spoke with some administration officials who said the move was about "reaching new audiences." It's amounted to trench warfare.
www.wired.com/story/inside...
Inside the Trump Adminstration's Bluesky Invasion
On Friday, after months of internal discussions, federal agencies began posting on the left-friendly social network. Within days, they dominated a list of the most-blocked accounts.
www.wired.com
October 21, 2025 at 3:09 PM
October 17, 2025 at 6:10 AM
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Good Night World
October 13, 2025 at 8:34 PM
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Around six in ten of the UK’s biggest news websites have seen a drop in their visibility in Google search results in 2025 so far
pressgazette.co.uk/media-audien...
October 9, 2025 at 3:15 PM
"Pourquoi on manifeste plus pour les salariés que pour le patronat. Avec Le Vif, plongée dans les dessous d'une solidarité à géométrie variable"
Pourquoi on manifeste plus pour la Palestine, et moins pour l’Ukraine: les dessous d’une solidarité à géométrie variable
Pourquoi on manifeste plus pour la Palestine, et moins pour l’Ukraine: les dessous d’une solidarité à géométrie variable
Le soutien à l’Ukraine s’essouffle, celui à la Palestine s’amplifie. Lassitude, décalage entre action politique et émotion populaire, ancrage militant ancien: la solidarité européenne ne s’exprime pas avec la même intensité selon les causes. Des marées jaunes et bleues, de Tokyo à New York. 100.000 personnes à Berlin. Plusieurs milliers à Bruxelles. En 2022, l’invasion de l’Ukraine par la Russie suscitait l’indignation collective dans toutes les capitales européennes , ou presque. La Tour Eiffel s’illuminait alors aux couleurs ukrainiennes et les grandes avenues, de Dublin à Rome, revêtaient des drapeaux à la gloire de Kiev. Plus de trois ans et demi plus tard, et alors que Vladimir Poutine poursuit ses crimes de guerre quotidiennement, la dynamique de soutien populaire à l’Ukraine a fondu comme neige au soleil. Dernière manifestation en date à Bruxelles: le 2 mars 2025, devant l’ambassade américaine. Elle rassemblait à peine… 250 personnes. En parallèle, le soutien à la Palestine, lui, a explosé. Mi-juin, entre 75.000 et 110.000 personnes ont défilé dans les rues de Bruxelles pour dénoncer les crimes de guerre israéliens, alertant sur un «génocide en cours». Plus récemment, des protestations «dispersées» ont vu le jour, parfois accompagnées d’actes de vandalisme. Ukraine et Gaza: deux conflits aux natures distinctes, aux revendications pas toujours comparables, et dont les dynamiques de mobilisation dans la rue connaissent des courbes opposées. Comment l’expliquer? Lire aussi | Pourquoi protester sert encore à quelque chose 1. Palestine – Ukraine: une action politique différente Lorsque la Russie a envahi l’Ukraine, l’Europe a réagi au quart de tour: aide militaire et économique , accueil de réfugiés, prise de sanctions contre Poutine. «A l’inverse, lorsqu’Israël a intensifié sa guerre à Gaza, l’Union européenne n’a rien fait ou presque», dénonce Henri Goldman, ancien rédacteur en chef de la Revue politique et membre de l’Union des Progressistes Juifs de Belgique (UPJB). Il existerait donc «un vrai lien entre l’action ou l’inaction des autorités officielles et les répercussions dans la rue.» Sur le terrain, et aussi cruelle que soit la constatation, le conflit en Ukraine a trouvé son «rythme de croisière» , provoquant une certaine lassitude dans la population, alors que, dans le même temps, «les événements à Gaza ont pris des proportions délirantes.» «Il existe un vrai lien entre l’action ou l’inaction des autorités officielles et les répercussions dans la rue.» Henri Goldman Politiquement aussi, la disparité est claire: certains Etats européens condamnent plus fortement Israël que d’autres. Ce sont les mêmes, comme l’Espagne, qui ont rapidement reconnu l’Etat palestinien. «Mais aucun consensus ne se dégage, au sein de l’UE, pour un soutien massif en faveur de Gaza . La solidarité étatique n’est pas collective, telle que c’est le cas pour l’Ukraine», regrette Marie Kortam, chercheuse associée à l’Institut français du Proche-Orient ( Ifpo ). Pour Youri Lou Vertongen, chercheur en sciences politiques et sociales à l’UCLouvain Saint-Louis Bruxelles, le solide mouvement de soutien à la Palestine «est inversement proportionnel à la mollesse des sanctions occidentales envers Israël.» La réaction actuelle de la société civile «consiste donc à prendre le pli inverse de ce qui est reconnu institutionnellement.» Car, cela va de soi, l’essence même du mouvement social est de faire pression contre les organes décisionnels. «Or, dans le cas de l’Ukraine, la pression extérieure est moins indispensable , puisque des mesures fortes ont été prises spontanément contre la Russie», déduit le chercheur. Par exemple, et de façon plus symbolique, «si la Russie a rapidement été exclue des compétitions sportives, le débat n’est pas tranché concernant Israël.» Lire aussi | Mouvement climat: «Un sursaut de conscience face à une catastrophe lente» (sans les politiques) 2. Palestine – Ukraine: l’ancrage local des causes Contrairement à la cause ukrainienne , le combat palestinien est aussi plus ancien . En Belgique, il est enraciné à plusieurs égards. «Il peut compter sur de larges soutiens, et ce depuis des décennies», observe Jean Faniel, directeur général du Centre de recherche et d’information socio-politiques ( Crisp ). Monde associatif, milieux syndicaux, partis politiques de gauche, ONG, «tous incluent la cause palestinienne dans leurs revendications.» Cette dernière «est inscrite de longue date dans les répertoires du militantisme en Europe, embraye Marie Kortam, à travers les mouvements étudiants ou altermondialistes.» En Belgique, singulièrement, la population est aussi émotionnellement impliquée des deux côtés du conflit israélo-palestinien , observe encore Henri Goldman. «La population immigrée, en partie issue de la colonisation, développe une sympathie naturelle envers le peuple palestinien. En parallèle, la communauté juive, importante chez nous, est historiquement en phase avec Israël. Cette binarité n’est pas de mise dans le cadre du conflit entre la Russie et l’Ukraine », distingue-t-il. Lire aussi | Pourquoi le traumatisme du 7-Octobre ne s’apaise pas parmi les Israéliens 3. La perception des conflits En plus d’une différence d’enracinement des conflits, Jean Faniel distingue leur nature : «une invasion armée dans le cadre de l’Ukraine, une colonisation dans le cadre de Gaza, avec une aspiration à l’autodétermination du peuple palestinien.» Le conflit en Palestine s’inscrit «dans un schéma auquel nos sociétés sont davantage habituées , ajoute Henri Goldman. Il est lisible, presque séculaire, et représente quelque chose de central dans le monde occidental. Pour la population, il est donc plus aisé de prendre position.» A l’inverse, le conflit entre la Russie et l’Ukraine «est beaucoup plus difficile à lire. Nous n’avons toujours pas les clés pour le décoder entièrement.» «La Palestine est devenue est symbole général de lutte contre l’oppression.» Marie Kortam La crise humanitaire aiguë à Gaza suscite aussi un sentiment d’urgence, moins perceptible dans le cas ukrainien . «Cet élément change toute la donne, juge Marie Kortam. La mobilisation étatique et institutionnelle s’avère insuffisante pour répondre à l’impératif humanitaire. La mobilisation populaire, civile et sociale tente donc, sinon de combler ce manque, de l’exposer à la lumière du jour.» Ainsi, selon la chercheuse, Gaza devient un symbole plus général de lutte contre l’oppression . «La guerre y est asymétrique et coloniale: une puissance militaire –Israël– face à une population assiégée et démunie –les Gazaouis.» Par ailleurs, le mouvement d’accueil des réfugiés ukrainiens a été extrêmement fort en Europe, «alors qu’il est rendu impossible pour le peuple palestinien, sous blocus israélien», observe Jean Faniel. Et si la guerre en Ukraine a elle aussi d’abord dégagé ce sentiment de «David contre Goliath », «le soutien apporté par les puissances occidentales a ensuite rééquilibré cette impression, observe Jean Faniel. Face à la lassitude pour l’Ukraine, la notion de génocide est évoquée pour la Palestine. Cette graduation à deux vitesses mobilise les foules différemment.» D’un point de vue géopolitique, aussi, Israël représente le dernier bras armé «d’une forme d’impérialisme occidental résiduel au Proche-Orient» , estime Youri Lou Vertongen. A cet égard, «les manifestations propalestiniennes s’inscrivent aussi dans une réaction anti-impérialiste.» «Le soutien apporté par les puissances occidentales à l’Ukraine a rééquilibré cette impression de “David contre Goliath”.» Jean Faniel Début des années 2000, période où l’altermondialisme connaissait sa plus grande influence, la question de la libération du Tibet était un incontournable. «Aujourd’hui, dans la gauche militante, la solidarité avec la Palestine est devenue cet incontournable.» Ceci étant, les mouvements de solidarité pour la Palestine restent «composites , hétérogènes, et dissensuels en leur sein», souligne le chercheur. Lire aussi | Reconnaissance de la Palestine: «L’urgence, ce n’est pas la solution à deux Etats, c’est de mettre fin au génocide» 4. Une sélectivité de l’indignation? La couverture médiatique intense à propos de l’Ukraine et Gaza tend également à masquer d’autres conflits actuels, eux aussi meurtriers, mais qui ne font pas l’objet du même soutien populaire. Au Yémen, au Congo, ou au Soudan, pour ne citer qu’eux. Pourrait-on dès lors parler d’une «humanité à la carte», ou d’une «sélectivité de l’indignation», aussi bien de la part des médias que de la population? Non, estime Henri Goldman, car «il existe une implication politique et émotionnelle de longue date de nos sociétés envers les conflits au Proche-Orient. Le Soudan, le Yémen, ou les Ouïghours en Chine (NDLR: ces derniers subissent aussi une forme de génocide) sont des sociétés qui nous sont totalement extérieures , et pour lesquelles nous n’avons pas de liens historiques ou politiques. C’est déplorable, mais logique.» «L’indignation militante anti-impérialiste est aussi un élément qui n’est pas projeté dans ce qui se passe au Yémen ou au Soudan », relève Marie Kortam. Ces autres conflits « ne suscitent pas la même polarisation au sein de la société belge, et donc des prises de position politique moins tranchées», ajoute pour sa part Jean Faniel. 5. La Palestine, catalyseur des débats nationaux Les prises de position politique interne sont d’ailleurs devenues incontournables pour Gaza, qui «est devenue un catalyseur des débats nationaux en Europe », assure Marie Kortam. «Désormais, le degré d’humanité des partis n’est plus spécialement établi selon leur programme propre, mais surtout en fonction de leur position sur Gaza.» Le conflit israélo-palestinien «représente une ligne de clivage très nette entre les partis», abonde Jean Faniel. Cette division politique interne, limpide, «favorise aussi la manifestation.» En parallèle, «l’Ukraine dispose d’un soutien politique belge unanime, si ce n’est l’ambiguïté notable du PTB, surtout au début du conflit . Les voix qui soutiendraient la Russie sont inexistantes, ou inaudibles.» A l’inverse, «des voix importantes, du Premier ministre au président du MR, soutiennent Israël de façon assumée , jusqu’à nier la possibilité d’un génocide.» Gaza-Ukraine: deux guerres, deux récits, deux émotions collectives. La solidarité, elle aussi, obéit à ses propres frontières. Lire aussi | Après-guerre à Gaza: «2 visions s’affrontent, mais le déplacement de la population est une certitude» The post Pourquoi on manifeste plus pour la Palestine, et moins pour l’Ukraine: les dessous d’une solidarité à géométrie variable appeared first on Le Vif .
www.levif.be
October 8, 2025 at 7:09 AM
Il manque les fameux tracts racistes (avec caricatures reprises à Pan si je me souviens bien) de Draps et Vandenhaute au début des années 1990.
share.google/jg1jaYK5YGUZ...
October 7, 2025 at 5:04 PM
Quelqu'un a imaginé l'effet sur le marché de l'art si tous ces musées devaient fermer et liquider leur collection?
October 6, 2025 at 2:03 PM
Ha ha ha ha ha !
President Trump was met by silence as he began his Quantico address, a contrast from the rousing applause he expects at his speeches.

“I’ve never walked into a room so silent before,” Trump said. “If you want to applaud, you applaud.” wapo.st/4gSqzmS
September 30, 2025 at 5:53 PM
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Microsoft will no longer allow Israel to use its cloud services to enable its mass surveillance of occupied Palestinians – "the first known case of a US technology company withdrawing services provided to the Israeli military since the beginning of its war on Gaza"
Microsoft blocks Israel’s use of its technology in mass surveillance of Palestinians
Exclusive: Tech firm ends military unit’s access to AI and data services after Guardian reveals secret spy project
www.theguardian.com
September 25, 2025 at 3:16 PM
Nettoyer Bruxelles qu'ils disaient.
bx1.be BX1 @bx1.be · Sep 20
Ce dispositif permet la création de centaines de lits supplémentaires dans les centres d'hébergement pour sans-abri entre novembre et mars
Fin du financement fédéral des centres hivernaux pour sans-abri dans les grandes villes
bx1.be
September 22, 2025 at 11:00 AM
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Ce dispositif permet la création de centaines de lits supplémentaires dans les centres d'hébergement pour sans-abri entre novembre et mars
Fin du financement fédéral des centres hivernaux pour sans-abri dans les grandes villes
bx1.be
September 20, 2025 at 1:08 PM
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After years of complaining about cancel culture, the current administration has taken it to a new and dangerous level by routinely threatening regulatory action against media companies unless they muzzle or fire reporters and commentators it doesn’t like.
Let’s be clear about what happened to Jimmy Kimmel
Trump’s most brazen attack on free speech yet.
www.yahoo.com
September 18, 2025 at 2:10 PM
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I can’t believe I forgot to do this one.
September 17, 2025 at 10:49 AM
Mais est-ce que le hollandais ont envie des flamands?
September 17, 2025 at 6:59 AM