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Syndicartiste, développeur de jeu vidéo, passionné d'économie, de sociologie et de culture populaire.
Mes avis me sont propres.
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STJV statement: "Unions have always faced repression, the last resort of the weak to try to delay what is bound to happen... The STJV stands with IWGB Game Workers and all workers at Rockstar. We demand immediate reintegration for all our fired comrades, in the United Kingdom and in Canada.”
November 14, 2025 at 5:19 PM
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chrisbratt.bsky.social
Protests continued today outside Take Two's offices in London, but also in Paris, where Le Syndicat des Travailleureuses du Jeu Vidéo (@stjv.fr) came out to show their international solidarity with the fired Rockstar workers.
STJV demonstrate outside the Paris offices of Take Two, holding flags, banners and flares.
November 14, 2025 at 5:19 PM
chekbo.bsky.social
@chrisbratt.bsky.social Thanks for the reporting, i feel the disgust on how the victims of this firing have been treated, i share my support with the workers of Rockstar Games and the union of @gameworkers.co.uk
(From a member of @solinfonat.bsky.social of Paris)
www.youtube.com/watch?v=c9nO...
The Rockstar Workers Fired Before They Could Finish GTA 6
YouTube video by People Make Games
www.youtube.com
November 12, 2025 at 7:10 PM
chekbo.bsky.social
Courage aux camarades britannique et aux confrères et consœurs de Rockstar, c'est un scandale qui ne doit pas rester sans conséquence
✊ Free workers
November 7, 2025 at 9:40 AM
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solinfonat.bsky.social
📣BUILD A ROCKET BOY
Management déphasé, Salarié-es en DANGER !

La sortie de MindsEye en Juin dernier a mis en lumière les dérives d'un management autoritaire, désorganisé et illusoire laissant derrière lui un échec industriel et des équipes épuisées.

solidairesinformatique.org/2025/11/03/b...
1 - CONTEXTE Le lancement du jeu MindsEye en Juin dernier aurait dû marquer un tournant pour Build A Rocket Boy et ses équipes mais il a surtout mis en lumière les dérives d'un management autoritaire, désorganisé et illusoire laissant derrière lui un échec industriel et des équipes épuisées, désorientées voire contraintes de partir. 2 – CONSEQUENCE DU MANAGEMENT Depuis plusieurs années, les changements de direction à répétition, les priorités mouvantes et l'absence totale de vision ont rendu le travail des équipes impossible à planifier et épuisant au quotidien. En trois ans, quatre Project Directors se sont succédés, chacun imposant sa propre organisation, souvent sans concertation ni prise en compte des réalités de production. La culture du "génie visionnaire" imposée par Leslie Benzies a transformé l'entreprise en un environnement de peur et d'arbitraire : chaque idée ou caprice devenait une priorité absolue, sans reflexion sur la cohérence du projet ni sur l'impact humain. Depuis cet été, près de la moitié des 500 employé·es du groupe ont perdu leur emploi ou ont démissionné, épuisé·es par le climat d'incertitude crée par un management qui n'a que faire des répercussions de son incompétence sur la vie de ses employé·es. Les postes supprimés l’ont été sans justification, y compris celui de la direction du studio de Montpellier, pourtant garante de la sécurité et du bon fonctionnement du site. Au Royaume-Uni, l’ensemble du personnel a été “mis à risque”, provoquant une vague de démissions et un effondrement de la confiance auprès de la direction. Certain·es salarié·es ont vu leurs accès professionnels coupés dans les minutes suivant leur licenciement, sans pouvoir prévenir leurs collègues ni organiser la reprise de leur tâche, parfois sans que leur managers soient mis au courant. 3 – REFUS DE REMISE EN QUESTION & AUCUNE COMMUNICATION Malgré l'échec critique et commercial de MindsEye, la direction basée à Edimbourg et représentée par Leslie Benzies et Mark Gerhard, refuse d'assumer ses responsabilités. Aucun post-mortem n'a été organisé, aucune analyse collective n'a été menée et les salarié·es ayant tenté de signaler les problèmes ont été ostracisé·es ou poussé·es vers la sortie. Pire encore, quelques semaines après la sortie, la direction a affirmé vouloir "traquer les employés infidèles" tout affirmant que les mauvaises critiques faites à l'encontre du jeu avaient été "achetées". À ce jour, aucune vision à long terme crédible n'a été présentée aux salarié·es pour répondre à la situation désastreuse de l'entreprise, confortant plus encore les doutes des salarié·es quant à la viabilité de l'entreprise. 4. DENONCER ET SOUTENIR Solidaires Informatique dénonce la maltraitance organisationnelle, la mise en danger et le mépris systémiques dont font preuve Leslie Benzies, Mark Gerhard et la direction de Build A Rocket Boy. Nous réaffirmons notre soutien plein et entier à tous·tes les salarié·es actuel·les et ancien·nes de l’entreprise, en France comme à l’étranger. Ce climat de peur doit cesser et les salarié·es ne doivent en aucun cas payer les erreurs d'un management deconnecté des réalités de nos métiers. La seule réplique possible à la posture si courante dans le jeu vidéo et toujours nocive du génie visionnaire, c'est l'organisation collective par celles et ceux qui connaissent leur métier : nous appelons les salarié·es en difficulté au sein du groupe à se rapprocher des organisations syndicales pour former une riposte solide face à un management déconnecté et toxique.
November 3, 2025 at 3:40 PM
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solinfonat.bsky.social
Ubisoft - Solidarité avec Massive et RedLynx

Le groupe Ubisoft a récemment décidé de lancer une “série de mises à jour stratégiques” aux studios de Massive et RedLynx.
La section S.I d’Ubisoft Paris Studio apporte son total soutien aux collègues licencié-es

siubiparis.github.io/2025-10-27-S...
Tract : "Le groupe Ubisoft a récemment décidé de lancer une “série de mises à jour stratégiques” aux studios de Massive et RedLynx, c’est à dire, de licencier plusieurs dizaines de collègues. La section Solidaires Informatique d’Ubisoft Paris Studio apporte son total soutien aux collègues de Suède et Finlande qui subissent les conséquences d’une direction qui n’assume pas ses échecs et préfère les reporter sur les salarié-es en continuant de supprimer des postes partout, et qui s’en prend principalement aux personnes qui sont en intermission ; pour rappel, la loi française oblige l’entreprise à fournir un travail aux salariés. Dans le même temps, la restructuration du groupe amène de nouvelles couches décisionnelles dans les hautes sphères de la hiérarchie, dont l’utilité ne semble pas évidente. Même si les studios Massive et RedLynx ne sont pas français, l’entité parentale l’est, et nous travaillons avec nos collègues scandinaves, donc nous réclamons les mêmes droits pour eux."
October 29, 2025 at 8:18 AM
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erwancario.bsky.social
Résister dans le travail, animé par @quineapple.bsky.social avec le STJV, Solidaire informatique, et @mariuschapuis.bsky.social au #Stunfest
Table ronde au Stunfest.
October 24, 2025 at 4:13 PM
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stjv.fr
Chez Ubisoft, le dialogue social se termine au tribunal…Mais la direction ne semble pas comprendre pourquoi elle a été condamnée. On lui explique. Citation choisie ⤵️
Chez Ubisoft, le dialogue social se termine au tribunal
Entre les syndicats et la direction de l’éditeur de jeux vidéo, les différends se règlent désormais devant la justice. Cet été, il a fallu une condamnation du tribunal de Bobigny pour que le CSE obtienne des renseignements sollicités.
www.linforme.com
September 2, 2025 at 10:00 AM
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solinfonat.bsky.social
Charlie Guillemot à Ubisoft
Le retour du fils prodige

Le fils du patron est de retour dans l'entreprise, un exemple parfait de népotisme.

siubiparis.github.io/2025-07-25-C...
Dans un récent communiqué, la direction d’Ubisoft indique le retour dans ses rangs de Charlie Guillemot, le fils du patron (Ubisoft est une multinationale familiale après tout). Charlie est un parfait exemple du népotisme d’entreprise. Tout juste sorti de l’école en 2014, il prend la tête du studio Owlient racheté quelques années plus tôt par son père. Il dirige l’entreprise (sa gestion provoquant un ensemble de départs au cours des années parmi les salarié-es) jusqu’à son départ en 2020, peu après la sortie controversée du jeu Tom Clancy’s Elite Squad dont il est directeur créatif. Le jeu propose une rhétorique fasciste et complotiste (jouer un commando militaire chargé de mater un mouvement social dont l’imagerie reprend celle de Black Lives Matter ; mouvement qui serait contrôlé dans l’ombre par un groupe mystérieux ; le jeu faisant aussi la justification de la torture). Charlie Guillemot crée alors Unagi, une entreprise basée sur les NFTs ; une technologie critiquée pour son caractère inutile, nuisible, écologiquement mortifère, et déjà sans avenir à la date de création de l’entreprise. N’importe qui avec un CV similaire (pas/peu de succès, une expérience assez faible, etc.) aurait peu de chances d’être recruté dans un poste à responsabilité. C’est donc sans surprise qu’on le voit revenir chez Ubisoft dans le top management, en tant que “Co-PDG” de la nouvelle entité d’Ubisoft conjointement avec le cousin des Guillemot : Christophe Derennes. Nous regrettons une fois de plus que la direction d’Ubisoft ne prenne pas la mesure du défi de transformation qui est le sien. Les mêmes causes provoquant les mêmes conséquences, nous ne pouvons que facilement prédire qu’une nouvelle suite d’échecs stratégiques à venir, dont les salarié-es paieront les pots cassés.
July 25, 2025 at 7:24 AM
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rbreich.bsky.social
Remember: There is nothing natural or inevitable about extreme inequality; it’s the result of an economic system that values wealth and power over human dignity and justice.

It doesn't have to be this way.
July 17, 2025 at 11:00 PM
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baguette.tube
Une nouvelle super vidéo sur @blast-info.fr avec @marino de stupid économic et @heu7reka.bsky.social www.youtube.com/watch?v=Z-95...
TRAVAIL : LES JEUNES SONT-ILS VRAIMENT DES "FEIGNASSES" ?
YouTube video by BLAST, Le souffle de l'info
www.youtube.com
June 11, 2025 at 4:48 PM
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clara-laine.bsky.social
Les témoignages des plaignants et les discussions dans les couloirs du tribunal ont laissé entrevoir le coût pour ceux qui ont assumé publiquement en avoir été victimes : des trajectoires cabossées, une précarité durable et des traumatismes toujours présents : www.franceinfo.fr/societe/harc...
"J'ai été SDF pendant quelque temps" : après le harcèlement chez Ubisoft, la double peine pour les victimes confrontées à la précarité
Le procès de trois anciens cadres d'Ubisoft s'est achevé jeudi. Les parties civiles décrivent une reconstruction professionnelle minée par le silence de l'industrie du jeu vidéo et la crainte d'être b...
www.franceinfo.fr
June 7, 2025 at 10:05 AM
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c418.org
I genuinely don’t understand why we need nuclear reactors to make more AI movies. I like a camera? I like making polygons? I like drawing lines and making them move :(
May 27, 2025 at 9:58 PM
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jlmelenchon.bsky.social
J'alerte. Cette fois-ci, l'islamophobie franchit un seuil. Un Conseil de défense autour du Président accrédite les thèses délirantes de Retailleau et de Le Pen. Ça suffit ! Vous allez détruire notre pays. Ce genre de méthodes a déjà été appliqué dans le passé d'abord contre les protestants et les juifs. Cela conduit tout droit à un déchaînement d'inquisitions cruelles contre les personnes et désastreuses pour l'unité du pays. Arrêtez ça !
May 21, 2025 at 11:50 AM
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UBISOFT PARIS
Un accord télétravail entre résistance et pragmatisme.
stjv.fr Syndicat des Travailleureuses du Jeu Vidéo @stjv.fr · May 9
🔴✊ UBISOFT PARIS : négociations sous tension, pas d'accord majoritaire.

Suite à des négociations chaotiques du fait de la direction, deux organisations sur trois n'ont pas signé l'accord proposé. Nous resterons vigilant-es pour protéger nos camarades au sein du studio !
UBISOFT PARIS, DES NÉGOCIATIONS SOUS TENSION : LES SYNDICATS DÉNONCENT UN PROCESSUS BIAISÉ Solidaires Informatique, le STJV et la CFE-CGC prennent position par rapport à l'accord sur le télétravail proposé par la direction. Les représentants des salariés ont dû faire face à un véritable parcours d'obstacles : • Quatre changements d'interlocuteurs imposés par la direction • Représentants patronaux non formés • Actes de répression syndicale • Suspension unilatérale des discussions pendant trois mois • Absence d'études d'impact sur les conséquences psychosociales et environnementales • Ultimatums de calendrier imposés en fin de négociation • Refus systématique de se justifier par la direction Xavier Poix nous avait promis une "co construction" : nous avons eu la déconstruction du dialogue social. STRATÉGIE FACE À UN TEXTE INSUFFISANT La majorité des syndicats a refusé de signer un accord qui n'offre pas assez de garanties. Les organisations syndicales restent unies pour le futur.
May 9, 2025 at 12:29 PM
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Sétif, Guelma et Kherrata, le 8 mai 1945
On n’oublie pas, on ne pardonne pas

En ce jour célébrant la victoire contre le fascisme , il nous paraissait important rappeler que les « vainqueurs » étaient des puissances coloniales.
Sétif, Guelma et Kherrata, le 8 mai 1945 On n’oublie pas, on ne pardonne pas. En ce jour célébrant la victoire contre le fascisme , il nous paraissait important rappeler que les « vainqueurs » étaient des puissances coloniales et que non contents de ne pas reconnaître le rôle de leurs colonies dans cette victoire , la France par exemple n’a pas attendu l’armistice pour commencer un processus de répression dans les chairs des populations aspirant à la décolonisation. Alors que dans l’hexagone , la France fêtait sa libération, de l’autre coté de la méditerranée son armée tuait les partisans de la libération de l’Algérie. « L'enterrement des vérités est la cause des calamités » Kateb Yacine Le 8 mai il est célébré la victoire contre l’Allemagne nazie et le gouvernement de Vichy mais nous nous souvenons aussi des massacres commis en Algérie par la France «libre». Le roman national a volontairement invisibilise le rôle les personnes racisées dans la lutte contre le nationalisme, le racisme et l’extrême droite en reconnaissant que récemment l’importance des Francs Tireurs et Partisans de la Main d’Oeuvre Immigrée dans la résistance et en n’ayant toujours pas reconnu l’importance des combattants embrigadés dans les colonies[1] pour la victoire contre l’internationale fasciste. Le 8 mai ne tient pas compte de l’oppression que la France a exercé sur ses colonies passées et exerce encore sur ses colonies présentes. [1] : Armelle Mabon : « Le massacre de Thiaroye » Désignés par euphémisme sous l’appellation d’«événements» ou de «troubles du Nord constantinois», les massacres du 8 mai 1945 dans les régions de Sétif et de Guelma sont considérés rétrospectivement comme le début de la guerre algérienne d’indépendance. Cet épisode appartient aux lignes de clivage liées à la conquête coloniale. La vie politique de l’Algérie, plus distincte de celle de la France au fur et à mesure que s’affirme un mouvement national, a été dominée par les déchirements résultant de cette situation. L’enlèvement de Messali Hadj et sa déportation à Brazzaville, le 25 avril 1945, après les incidents de Reibell, où il est assigné à résidence, préparent l’incendie. La crainte d’une intervention américaine à la faveur de démonstrations de force nationalistes hantait certains, dont l’islamologue Augustin Berque. Exaspéré par le coup de force contre son leader, le PPA (Parti du Peuple Algérien) fait de la libération de Messali Hadj un objectif majeur et décide de défiler à part le 1er mai, avec ses propres mots d’ordre, ceux de la CGT et des PC(parti communiste) français et algérien restant muets sur la question nationale. A Oran et à Alger, la police et des Européens tirent sur le cortège nationaliste. Il y a des morts, des blessés, de nombreuses arrestations, mais la mobilisation continue. Le 8 mai, le Nord constantinois, délimité par les villes de Bougie, Sétif, Bône et Souk-Ahras et quadrillé par l’armée, s’apprête, à l’appel des AML et du PPA, à célébrer la victoire des alliés. Les consignes sont claires : rappeler à la France et à ses alliés les revendications nationalistes, et ce par des manifestations pacifiques. Aucun ordre n’avait été donné en vue d’une insurrection. On ne comprendrait pas sans cela la limitation des événements aux régions de Sétif et de Guelma. [...] résumé découpé dans l’article du monde-diplomatique « La guerre d’Algérie a commencé à Sétif le 8 mai 1945 » Mohammed Harbi
May 9, 2025 at 12:27 PM
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franceinter.fr
L'autre 8 Mai 1945 : jour de paix retrouvée en France et dans le monde, et jour de massacres en Algérie ➡️ https://l.franceinter.fr/QRz

[Édito politique, Patrick Cohen]
May 8, 2025 at 7:30 AM
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msf.fr
Au moins 33 personnes ont été tuées et des dizaines d'autres blessées, selon le ministère de la Santé, à la suite de frappes aériennes sur la ville de Gaza hier, à quelques mètres d'une clinique MSF. Nos équipes ont stabilisé 28 patients. Deux membres du personnel de MSF ont été blessés.
May 8, 2025 at 7:45 AM
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🏛️Audition du patronat du JV et du CNC à l'Assemblée Nationale

Le @stjv.fr et Solidaires Informatique étaient reçus peu avant l'audition pour discuter de l'industrie.
État du JV: le patronat toujours sans réponses, même face à l'Assemblée Nationale Le 12/03 à l'A.N., étaient auditionnés les lobbies patronaux du secteur et le CNC, pour tenter de comprendre la crise du secteur du JV et ses enjeux économiques et culturels. L'industrie du JV en France est en croissance depuis des décennies, avec + de 10 000 emplois. Le STJV et Solidaires Informatique ont été entendus avant l'audition. Le patronat déroulé ses arguments, que nous avions prédit aux député•es : jeunesse de l'industrie, concurrence "rude", "correction post-covid" (que tout le monde pouvait anticiper), "complexité" fantasmée de la production de JV. Les représentant•es patronaux ont cité le crédit d'impôts jeu vidéo (CIJV) comme solution à tous les pbs. Il n'existe pas de réel contrôle sur cette subvention, son utilisation et ou le respect de ses critères par les entreprises. Et le patronat ne veut pas qu'il y en ai : « il ne faut pas contraindre les entreprises ». C'est bien beau de répéter en boucle que les patron•nes « ont conscience » des problèmes, mais où sont les actions ? Les représentant•es du patronat : • n’ont apporté aucune réponse aux pbs des écoles et aux dérives des formations privées. Il n'ont fait que brasser du vent sur une fantasmée « excellence française » • n’ont apporté aucune réponse concrète sur les pbs de sexisme et l’absence de parité dans les écoles et l'industrie • n’ont apporté aucune réponse aux revendications sur les carrières et l'emploi, ou à la mobilisation des travailleur•ses salariés et indépendant.es. Devant cette incapacité, on peut se demander si les patron•nes servent à quelque chose (sauf empocher de grosses rémunérations et à gêner les productions). Nous regrettons l'absence de représentant•es des travailleur•ses à cette audition : iels fabriquent les jeux et ont des réponses à apporter aux problèmes de l'industrie. Nous espérons pouvoir participer aux discussions dans le futur, pour ne pas laisser la parole aux patron•nes du JV.
April 2, 2025 at 7:38 AM
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UBISOFT - Procès renvoyé

Ce lundi 10 Mars devait se tenir le procès pour harcèlement sexuel et moral de plusieurs anciens cadres d’Ubisoft.
En raison d’un ensemble d’erreurs de procédure du parquet, l’audience a été renvoyée à début juin 2025.

TW: viol
solidairesinformatique.org/2025/03/12/u...
Ce lundi 10 Mars devait se tenir le procès de plusieurs anciens cadres d’Ubisoft : Serge Hascoët, Tommy François et Guillaume Patrux. En raison d’erreurs du parquet, l’audience a été renvoyée à début juin 2025. Une grande part du dossier n’a été transmise aux parties que quelques jours avant l’audience, un délai insuffisant. D'autre part, le procureur refuse de retenir le caractère systémique du harcèlement et d’impliquer Ubisoft et Yves Guillemot dans le procès en cours, nous contraignant à lancer une procédure distincte. Pourtant, comme l’a rappelé Maitre Beckers, cette affaire implique un bien plus grand nombre de personnes, tant du côté des victimes que des prévenu·e·s. A titre d’exemple, une enquête interne à Ubisoft mentionne le viol d’une employée. Or, le parquet n’a pas jugé bon de l’entendre, ni elle, ni son agresseur. Ce procès ne concerne pas uniquement des individus isolés, mais bien tout un système managérial qui ont permis à ces violences de se produire et de perdurer au sein de l’entreprise. Même l’un des avocats des prévenus le reconnaît : « Ubisoft, c’est le fantôme du dossier » Pas plus tard qu’hier, Ubisoft cherchait à rassurer ses employé·e·s par un communiqué interne, expliquant que l’entreprise ne fait pas partie du procès et traitant cette affaire comme une histoire du passé. Pourtant, les faits reprochés n’ont pas encore été jugés. Se contenter d’évoquer des changements internes et un engagement pour l’avenir ne suffit pas à répondre aux souffrances des victimes et à la nécessité de rendre justice. L’entreprise s’arroge ainsi le droit de décider seule de ce qui est réglé ou non, alors même qu’en laissant agir des harceleurs agir durant des années, elle est à l’origine des violences qui ont poussé ses victimes à se battre pour obtenir justice. Face à cette impunité, nous réaffirmons notre intention syndicale de voir comparaître Ubisoft en tant que personne morale ainsi que Yves Guillemot (PDG) et Marie Derain (DRH).
March 12, 2025 at 10:22 AM
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UBISOFT - L'heure du procès

Une plainte était déposée en Juillet 2021 contre Ubisoft et plusieurs cadres pour des faits de harcèlement moral, sexuel et d'agressions sexuels.
Le procès se tiendra du 10 au 14 Mars au tribunal de Bobigny.

solidairesinformatique.org/2025/03/03/u...
Le 15 Juillet 2021, une plainte était déposée auprès du Procureur de Bobigny par maître Maude Beckers représentant à la fois le syndicat Solidaires Informatique et plusieurs victimes au sein de l’entreprise, concernant des faits de harcèlement moral, sexuel et d’agressions sexuelles existants dans l’entreprise depuis de nombreuses années, avec la complaisance des services des Ressources Humaines, protégeant les harceleurs et réduisant les victimes au silence. C’est avec une volonté forte que nous avons souhaité dénoncer collectivement les rouages d’un système qui manipule, épuise et broie les travailleur·euse·s de l’entreprise. Depuis les révélations dans la presse de ce système, la direction Ubisoft n’a pas cessé de s’auto-féliciter de ses audits privés et de ses enquêtes internes, assurant que « l’ensemble des allégations ont fait l’objet d’enquêtes indépendantes et approfondies ». En parallèle à ces soi-disant promesses s’opérait des interrogatoires, des examens psychologiques ainsi que tout un travail d’enquête obligeant les victimes et leur entourage à se replonger dans des évènements traumatiques. Comme en témoigne les mouvements sociaux et grève à répétition qui touchent l’entreprise de ces derniers mois, l’ADN de l’entreprise n’a toujours pas changé : culte de l’entre-soi, silence managérial et indifférence de la direction à ses salarié-es. Du 10 au 14 Mars 2025 se tiendra devant la 15 ème chambre correctionnelle du Tribunal de Bobigny le procès de trois cadres de l’entreprise Ubisoft : - Serge HASCOET, directeur créatif du groupe - Tommy FRANCOIS, vice-président du service éditoral d’Ubisoft - Guillaume PATRUX, Game Director Au-delà de leurs responsabilités individuelles, ce procès, impliquant deux ex-dirigeants de l’entreprise ainsi que d’un haut cadre, ne pourra que mettre en lumière la responsabilité de l’entreprise Ubisoft et de son service des Ressources humaines dans le maintien d’un harcèlement moral, sexiste et sexuel institutionnels. Le syndicat Solidaires Informatique annonce ainsi qu’une citation directe sera délivrée dans la continuité de ce procès pour faire comparaitre à une date ultérieure, devant le même tribunal : - Yves GUILLEMOT, PDG du groupe Ubisoft, pour des faits de complicité de harcèlement sexuel et moral - Marie DERAIN, Directrice des Ressources Humaines, pour des faits de complicité de harcèlement sexuel et moral - la société UBISOFT, en tant que personne morale, pour harcèlement moral et sexuel, harcèlement moral et sexuel environnemental, harcèlement sexuel institutionnel, agression sexuelle et blessures involontaires. Ce second procès permettra cette fois de mettre en valeur le caractère systémique du harcèlement chez Ubisoft, qui a mis en danger les salarié-es durant des années en protégeant les harceleurs plutôt que leurs victimes pour des raisons d’entre-soi masculin et de rentabilité financière. Contre les violences masculinistes Riposte syndicale !
March 3, 2025 at 8:01 AM
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mehdirhasan.bsky.social
“If you're not careful, the newspapers will have you hating the people who are being oppressed, and loving the people who are doing the oppressing.”

A classic quote from Malcolm X, who was assassinated 60 years ago today.
February 22, 2025 at 4:50 AM
chekbo.bsky.social
Les chroniqueur-euse-s de cnews ?
katiephang.bsky.social Katie Phang @katiephang.bsky.social · Feb 3
(h/t: @the.language.nerds)
February 3, 2025 at 5:46 PM
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solinfonat.bsky.social
✊Ubisoft Paris - Appel à la grève - 13 Février

La section S.I d'Ubisoft Paris studio rejoint l'appel à la grève du 13 Février 2025 à l'initiative du STJV.
Ubisoft est entré dans un plan de licenciement mondial. Il est temps de défendre nos emplois !

siubiparis.github.io/2025-02-03-R...
La section syndicale Solidaires Informatique d'Ubisoft Paris studio rejoint l'appel à la grève du 13 Février 2025 à l'initiative du STJV. En effet, nous nous retrouvons dans les revendications du STJV tant sur la forme que sur le fond (emploi, transparence, conditions de travail, prises de décision), car il est temps de défendre nos emplois. Après le plan dit "d'attrition naturelle",Ubisoft a récemment passé la vitesse supérieure en fermant des studios et licenciant nos collègues par centaines. Le groupe est passé de 21 000 en 2021 à moins 19 000 (environ 10% des salarié-es), et nous devons nous mobiliser contre ce plan de licenciement mondial qui affecte la santé de nombre de nos collègues, nos conditions de travail, et la qualité de nos jeux. Cette réduction du personnel a pour seul objectif de faire plaisir aux actionnaires en vue d'une possible revente (ou fusion, acquisition, ou toute autre construction dont la direction tient activement à garder le secret). Les salarié-es d'Ubisoft n'ont pas à être la variable d'ajustement des stratégies erratiques de la direction, ni à payer les pots cassés des erreurs de celle-ci. Aussi, nous exigeons d'avoir voix au chapitre; il est de plus en plus nécessaire dans un secteur aussi lucratif que créatif que les travailleur-euse s'approprient leur entreprise et obtiennent une démocratie réelle et nécessaire à l'heure où les patrons se remplissent les poches et puis pleurent lorsqu'ils font "moins de profit". Tou-tes ensemble, mobilisons nous pour un meilleur Ubisoft ! Vive les travailleur-euses, vive le jeu vidéo
February 3, 2025 at 8:52 AM
chekbo.bsky.social
Le racisme, une lutte de classes aussi ✊
stjv.fr Syndicat des Travailleureuses du Jeu Vidéo @stjv.fr · Jan 30
Entendu dans le jeu vidéo : pas besoin d'aller chercher très loin les causes du problème d'homogénéité sociale de l'industrie, quand les travailleur‧ses subissent du racisme aussi décomplexé #gg25
Entendu dans le JV : "Comment il a fait pour se payer une école privée, lui ? Il a volé l'argent des maîtres ?" - un‧e patron‧ne à propos d'un travailleur noir Entendu dans le JV : "Tu préfères ça ou un sac de riz ?" - un‧e RH, en distribuant des tickets restaurants à un‧e travailleur‧es asiatique Entendu dans le JV : "Avec lui on a le combo gagnant ! Il est noir, gay, musulman et diabétique !" - un‧e directeur‧ice à propos d'un‧e travailleur‧se
January 30, 2025 at 12:27 PM