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[ 📕 À LIRE : ] Jérôme Duwa à propos de Vie imaginaire de Natalia Ginzburg dans le dernier numéro d’art press
Image de l’article de Jérôme Duwa à propos de Vie imaginaire de Natalia Ginzburg:  À l’exception du dernier, qui donne son titre à cet ouvrage inédit en français, les articles recueillis dans ce volume ont été écrits par Natalia Ginz- burg (1916-1991) pour La Stampa et Il Corriere della sera, au début des années 70. Inutile de comparer avec les standards actuels de l’écriture de presse. Dès les premières pages, un ton s’impose, celui d’une écrivaine qui entend dire le fond de sa pensée à un public n’aimant pas les “idées factices” mais s’imaginant devoir les aimer. Ginzburg ne scelle pas son sentiment au sujet de l’époque dans laquelle il lui faut vivre: “Je ne la juge pas: je la hais.” Cependant, dans ce moment historique des “années de plomb”, que le texte intitulé “Le tunnel” restitue en donnant forme à sa colère, elle n’oublie pas que des “choses essentielles et précieuses”existent dans les arts. N’est-ce pas le rôle du critique d’être animé par cette conscience divisée, à la fois irascible et vigilante à l’égard de ce qui doit mobiliser une attention que “rien au monde” ne saurait distraire? Ginzburg assiste à la prolifération des voitures dans Rome, au développement d’un consumérisme appauvrissant jusqu’à l’imaginaire enfantin (La magie de Noël), parce que l’idée désormais triomphante s’implante que “tout peut faire mal aux enfants” (Sans fées ni enchanteurs). Au critique incombe la tâche de défendre, par exemple, La Storia (1974) d’Elsa Morante ou les films d’Ingmar Bergman. Mais Ginzburg s’astreint en outre à la fermeté pour dire en quoi Pavese, qui fut son ami, a été odieusement défiguré dans une pièce de théâtre à succès. Elle ose aussi écrire dans quelle mesure le dernier livre de Moravia ne lui plaît pas, sans néanmoins négliger d’exprimer sa dette à l’égard de ses Indifférents (1929), une œuvre libératrice et initiatrice à l’époque d’une Italie pétrifiée par le fascisme.
December 20, 2025 at 1:05 PM
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[ 📘 🌊 À LIRE : ] Alain Nicolas, « Judith Schalansky, la petite fille qui n’a pas été “matelote” », @humanite.fr

➡️ www.humanite.fr/culture-et-s...
➡️ ypsilonediteur.com/catalogue/le...
Image de l’article : « Judith Schalansky, la petite fille qui n’a pas été “matelote” », par Alain Nicolas dans L’Humanité
December 18, 2025 at 6:00 PM
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Césure hivernale du 19 décembre 2025 au 5 janvier 2026 inclus.
Toute commande passée pendant cette période sera traitée dès notre retour. Vous pouvez toujours trouver nos livres chez votre libraire ou sur placedeslibraires.fr
« L’Extraction de la pierre de folie » de Jérôme Bosch (ca. 1494) : scène allégorique montrant un homme assis, maintenu immobile, tandis qu’un personnage lui ouvre le crâne pour en extraire la « folie », entouré de figures symboliques. Tableau dont le titre fait écho à celui du recueil d’Alejandra Pizarnik.
December 18, 2025 at 9:02 AM
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ffourchaume.hammicus.org
Peut-être mon acquisition favorite, merveilleuse, de l’année, « les cendres de Gramsci » chez @ypsilonediteur

#Littérature #Poésie
December 15, 2025 at 10:31 PM
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📚 Les inoubliables : Tous les mois, la maison vous raconte un ouvrage du fonds, à ne jamais oublier.

Il y a quelque chose d'anachronique, aujourd'hui, à parler de dictature. De mauvais souvenirs, ou des échos lointains, rien de plus. Seulement, dans l'Italie de 1950, on sort tout juste de ↓
Photographie de la couverture des Fables de la dictature de Leonardo Sciscia, trad. Jean-Noël Schifano. Couverture rouge, livre posé sur une table en mosaïque. Détail d'une page intérieure des Fables de la dictature de Leonardo Sciascia (trad. Jean-Noël Schifano) : « À l’interieur du pière, un de ces pièces en forme de cage, le rat restait calme, plein de dégoût et d’ennui. L’homme entra dans la cuisine et se mit à l’observer. Quand il rencontra le regard de l’homme, le rat compris qu’on lui choisissait un genre de mort. “Le pauvre”, pensa-t-il, "il y pense plus que moi qui dois mourir.“ »
December 17, 2025 at 9:00 AM
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C’matin, m’suis plongé dans le livre de Judith Schalansky :
" Le bleu ne te va pas "
( Blau steht dir nicht)
C’est traduit par Lucie Lamy
Publié chez @ypsilonediteur.bsky.social
#lecture #littérature
December 10, 2025 at 12:33 PM
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🌊 Merci à Romeu et Paul de la librairie Le Silence de la mer à Vannes —
Photographie de la couverture du Bleu ne te va pas de Judith Schalansky, texte du bandeau : « Jenny rend visite à ses grands-parents qui habitent au bord de la mer, “là où les autres [partent] en vacances”. Prise d'admiration pour les marins, elle souhaite en faire son métier. Mais une fille ne devient pas matelot. Est-ce qu'elle n'écrirait pas alors, pour voyager à sa manière, et “être son propre capitaine”? Le livre nous embarque à travers les époques, on circule en bateau et dirigeable, on marche en Europe et en Amérique, on se laisse porter à la force des souvenirs et d'un imaginaire sans frontières. Avec une écriture magnétique et documentaire pour guide, Judith Schalansky s'avère capable de naviguer dans ce qui a disparu. — Romeu & Paul »
December 9, 2025 at 12:25 PM
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✨ La constellation Ypsilon—celles et ceux qui connaissent la maison savent que des liens inattendus lient les titres du catalogue. Aujourd’hui, Monique Wittig, New York et la dictature de Salazar.

Comment, par l’écriture, trouve-t-on l’universel dans une situation “minoritaire” ? En 1973, ↓
Montage sur fond de papier jaune des portraits photographiques en noir et blanc des Trois Maria (Maria Isabel Barreno, Maria Teresa Horta, Maria Velho da Costa), Monique Wittig et de Djuna Barnes. Logo d'Ypsilon éditeur.
December 3, 2025 at 7:45 AM
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Judith Schalansky a reçu le Prix Lessing 2025 — déjà attribué à Alexander Kluge, Peter Weiss et Hannah Arendt entre autres.

www.suhrkamp.de/rights/nachr...
Judith Schalansky Receives the Lessing Prize 2025 . News on suhrkamp.de
The prize is endowed with €20,000 and is in recognition of the author's literary oeuvre.
www.suhrkamp.de
November 26, 2025 at 7:30 PM
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Nous serons présentes — avec une sélection spéciale de nos livres — au marché des éditeurs de la 2ᵉ édition du festival Créatine, le festival de poésie contemporaine organisé par Ground Control et Agence Book : buff.ly/luAZpFq

81 rue du Charolais Paris 12ᵉ
Entrée libre — Sam. 6 déc. 12h-22h30
Visuel affiche festival Créatine 2, un œil-fruit bleu sur fond rouge-rose. Logo organisateurs, dates et horaires.
November 26, 2025 at 7:45 AM
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[ 🌊 À LIRE : ] Christine Plantec, « Les belles obsessions de Schalansky » dans Le Matricule des Anges

2 rencontres avec Judith Schalansky semaine prochaine :
🔵 À Paris — le ven. 28 nov. à la Maison de la Poésie 🚲 buff.ly/VQeXjUj
🔵 À Bruxelles — le sam. 29 nov. à la Maison CFC 🚲 buff.ly/itSxMw3
November 20, 2025 at 10:45 AM
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mediapart.fr
Telles des ardoises magiques, les livres de l’écrivaine allemande font disparaître et réapparaître des choses et des êtres. Dans son nouveau livre traduit en français, « Le bleu ne te va pas », Judith Schalansky brave la vraisemblance pour suivre au bord de la mer l’image rémanente d’un matelot.
Prédire le passé avec Judith Schalansky
Telles des ardoises magiques, les livres de l’écrivaine allemande font disparaître et réapparaître des choses et des êtres. Dans son nouveau livre traduit en français, « Le bleu ne te va pas », Judith Schalansky brave la vraisemblance pour suivre au bord de la mer l’image rémanente d’un matelot.
l.mediapart.fr
November 16, 2025 at 6:40 PM
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[ 📘 À LIRE : ] « Judith Schalansky, lever l’encre. Un imaginaire marin d’une île à l’autre », Thomas Stélandre à propos du « Bleu ne te va pas » de Judith Schalansky dans @liberation.fr

➡️ www.liberation.fr/culture/livr...
➡️ ypsilonediteur.com/catalogue/le...
Capture d’écran de l’article de Thomas Stélandre à propos du « Bleu ne te va pas » de Judith Schalansky dans Libération. Portrait photographique de Judith Schalansky par Soeren Stache.
November 16, 2025 at 5:30 PM
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[ 📕 À LIRE : ] « LEÇON DE LITTÉRATURE » / Le feuilleton de Tiphaine Samoyault à propos de « Vie imaginaire » de Natalia Ginzburg dans Le Monde des livres @lemonde.fr

➡️ www.lemonde.fr/livres/artic...
➡️ ypsilonediteur.com/catalogue/vi...
Capture d’écran de l'article du feuilleton de Tiphaine Samoyault à propos de « Vie imaginaire » de Natalia Ginzburg dans Le Monde des livres. Portrait illustré de Natalia Ginzburg par Sylvie Serprix
November 15, 2025 at 5:30 PM
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À l’occasion de la parution de Le bleu ne te va pas — traduction par Lucie Lamy du premier roman de Judith Schalansky — deux rencontres au mois de novembre en présence de l’autrice. Toutes les informations sur notre site : ypsilonediteur.com/ephemeride
Flyer rencontres avec Judith Schalansky. Photographie portrait de l’autrice, photo de la couverture du livre « Le bleu ne te va pas » paru chez Ypsilon éditeur (traduction Lucie Lamy) sur fond bleu ciel. Texte du flyer : « À l’occasion de la parution de Le bleu ne te va pas deux rencontres avec l’autrice : ➤ À PARIS : Le vendredi 28 novembre à 19h à la @maisondelapoesie, lectures et entretien avec Judith Schalansky mené par Lucie Taïeb. À BRUXELLES : Le samedi 29 novembre à 15h à la @maisoncfceditions (Bruxelles), conversation entre Judith Schalansky et son éditrice Isabella Checcaglini animée par Haleh Chinikar. » Logo d'Ypsilon éditeur. URL du site : www.ypsilonediteur.com
November 14, 2025 at 7:45 AM
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📚 Les inoubliables : Tous les mois, la maison vous raconte un ouvrage du fonds, à ne jamais oublier.

Minnesota, 1908. «Ce que Papa n’a pas fait, Wanda devra le terminer» : voilà les derniers mots du père mourant de Wanda Gág à sa fille de quinze ans. Sacrée entrée en matière. Papa espérait-il ↓
Photographie de la couverture de Fichu, c’est fichu de Wanda Gág pardu chez Ypsilon éditeur dans la collection « Ymagier ». La couverture est sur fond jaune avec le titre complet « L’histoire d’un homme qui voulait faire les travaux domestiques » composé dans un lettrage inspiré des lettres dessinées par Gág. L’illustration centrale en rouge, jaune et noir, présente le personnage de Fritzl (le mari) qui fait chauffer des saucisses dans une poêle sur le feu, en bas de l'illustration Liesi, sa fille et Spitz, le chien de la famille. Photographie d’une page intérieure de Fichu, c’est fichu de Wanda Gág pardu chez Ypsilon éditeur dans la collection « Ymagier ». En haut de page une illustration en noir présente le personnage de Fritzl (le mari) qui s’essuie le front l'air fatigué. Le texte indique : « “Bah, si tu penses ça”, dit Liesi, “nous allons tourner et on fera l’échange demain. Je ferai ton travail, tu n’auras qu’à faire le mien. Je vais aller dans les champs et couper le foin, tu n’auras qu’à rester ici à la maison et traînailler et traînasser. Tu veux essayer ça — oui ? »
November 12, 2025 at 8:00 AM
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Dans les archives de la @revueballast.bsky.social, à relire la série «Italie : des écrivaines et leurs luttes» —

📚 Amelia en fragments (21/05/25)
tinyurl.com/5br3w48t

📖 Entretien avec Maria Attanasio : « L’écriture doit être une expérience de vérité et une parole de liberté »
tinyurl.com/5575ctfj
revueballast.bsky.social Ballast @revueballast.bsky.social · Nov 4
[La fin de Ballast]

Le 4 novembre 2014 était publié, en ligne, notre premier article. Ce 4 novembre 2025, après la parution cet été de notre douzième et dernier numéro papier, nous clôturons la revue Ballast.
🧵 [1/5]
image annonçant la fin de la revue et l'archivage en cours des articles parus
November 5, 2025 at 11:29 AM
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Pier Paolo Pasolini, né le 5 mars 1922 à Bologne, meurt assassiné le 2 novembre 1975 à Ostie : « poète, écrivain, cinéaste, une des plus importantes figures de notre époque, devait également être porteur d’une charge subversive d’une force exceptionnelle pour que des puissances occultes qui ↓
Photographie noir et blanc de Pier Paolo Pasolini se recueillant sur la tombe d’Antonio Gramsci. Couverture du recueil « Les cendres de Gramsci » (traduction de Jean-Paul Manganaro, Ypsilon éditeur)
November 2, 2025 at 10:47 AM
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✨La constellation Ypsilon — celles et ceux qui connaissent la maison savent que des liens inattendus lient les titres du catalogue. Aujourd’hui, Paris, Lisbonne, Pise, Athènes.

• A. Tabucchi, Une chemise pleine de taches. → buff.ly/vmzqp5L
• F. Pessoa, M. de Sá-Carneiro. Orpheu. → buff.ly/nQJoZZh
Montage photographique avec le portrait de Fernando Pessoa et Mário de Sá-Carneiro sur fond de papier gris-vert et leurs noms respectifs en cuivré composés comme sur la couverture d’Orpheu publié en traduction française chez Ypsilon éditeur. Montage photographique avec le portrait de Mário de Sá-Carneiro et Antonio Tabucchi sur fond de papier gris-vert et leurs noms respectifs en cuivré composés comme sur la couverture de Une chemise pleine de taches publié en traduction française chez Ypsilon éditeur. Image du texte de la Constellation Ypsilon : « Laissez, laissez, ainsi cela se comprend encore moins » : nous sommes en 1915, deux jeunes poètes portugais finissent de corriger les épreuves de leur nouvelle revue, Orpheu. Mário de Sá-Carneiro, 25 ans, a toujours été partisan de la radicalité. « Le juste milieu ? Quelle ignominie », dira-t-il plus tard dans une lettre à son ami et associé, Fernando Pessoa. Le premier numéro de Orpheu paraît en mars 1915 et provoque un scandale littéraire à Lisbonne. Un mois plus tard, il est épuisé. Exilé à Paris, le portugais s’ennuie, ne connaît personne, désespère. Il écrit sans cesse à Fernando Pessoa, son « unique camarade ». L’année suivante, à 26 ans, il l’avertit qu’il mettra bientôt fin à ses jours en avalant des doses de strychnine : « Ma vie pour finir, s’est assise et nul ne peut la relever », écrivait-il dans « Sciure », qui devait conclure sa participation au troisième numéro de Orpheu. 1/2 Image du texte de la Constellation Ypsilon : Antonio Tabucchi est aussi entré en littérature par une revue, Il Caffé, où écrivait aussi Calvino. Dans une conversation avec son traducteur grec, il raconte une rencontre : un jour, rentrant de Paris vers sa Pise natale, il cherche un livre pour accompagner son voyage. Il choisit celui d’un inconnu, parce que le titre l’amuse. Bureau de tabac, de Fernando Pessoa, est le plus grand choc littéraire de sa vie. Il s’inscrit en philologie portugaise à son retour en Italie, traduit bientôt Le livre de l’intranquillité de l’écrivain du portugais, en fait un personnage récurrent de ses romans. Dans Requiem, il va même jusqu’à partager un verre avec son idole, qu’il n’aura jamais rencontrée. « Nous allons porter un toast, dit-il. D’accord, dis-je, et à quoi ? Au siècle prochain, vous en avez bien besoin, vous autres ». 2/2
October 29, 2025 at 7:45 AM
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Première rencontre ce matin au salon du livre métropolitain de Marseille, et rendez-vous dimanche pour les suivantes.
Photographie des escaliers de la Citadelle de Marseille avec des panneaux portant le logo du Salon du livre métropolitain
October 18, 2025 at 7:18 AM
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On installe à côté de nos camarades de Zoème —• salon du livre métropolitaine de Marseille ! 🧿🧿🧿
Photographie des tables éditeur du salon du livre métropolitain à Marseille photographie de la sélection de nos titres pour le salon du livre métropolitain à Marseille
October 17, 2025 at 4:38 PM
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📚 Les inoubliables : Tous les mois, la maison vous raconte un ouvrage du fonds, à ne jamais oublier.
« It's ... the blues » : entendez une fois ces 4 mots de la bouche de May Ayim et vous céderez au magnétisme qui a séduit en un instant Maryse Condé et lui a inspiré l'avant-propos de son premier ↓
Photographie des couvertures des deux livres de May Ayim parus chez Ypsilon éditeur : « blues en noir et blanc » et « Nouveau départ » chacun traduits par Lucie Lamy et Jean-Philippe Rossignol. Ce dernier est suivi par un texte d’Amandine Gay intitulé « Ceci n’est pas une postface ». Les couvertures sont imprimés en lettres argentées sur papier bleu foncé. Photographie d'une page intérieure de « blues en noir et blanc » de May Ayim, traduit par Lucie Lamy et Jean-Philippe Rossignol et paru chez Ypsilon éditeur. La page montre le début du poème « afro-allemande I » et commence comme suit : Vous êtes afro-allemande ? / …ah je comprends : africaine et allemande. / Ça c’est un mélange intéressant ! / Vous savez, il y en a qui pensent encore / que les mulâtres / ne réussissent pas aussi bien / que les Blancs // Moi j’y crois pas / Je veux dire, avec une édication adaptée… / Parce que vous avez vraiment de la chance / d’avoir grandi « ici » / Et chez des parents allemands, en prime. Voyez ! » Photographie d'une page intérieure de « blues en noir et blanc » de May Ayim, traduit par Lucie Lamy et Jean-Philippe Rossignol et paru chez Ypsilon éditeur. La page montre la fin du poème « blues en noir et blanc » et commence comme suit : « pourtant nous savons — nous savons / 1/3 de l’humanité célèbre en blanc / 2/3 de l’humanité refuse de participer »
October 15, 2025 at 6:30 AM
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[ 🌊 RDV à Marseille 🚲 ]
Le Salon du livre métropolitain revient à la Citadelle de Marseille les 17-19 octobre. Destiné à mettre en valeur le livre et ses acteurs du pourtour méditerranéen, sa 2e édition est dédiée à la Grèce, pays fondateur de la ville de Marseille.
Programme : tinyurl.com/4f8hax5t
Flyer rencontre au Salon du livre métropolitain à la Citadelle de Marseille. Fond bleu, logos du Salon, Citadelle de Marseille et Métropole Aix-Marseille-Provence. Photographie noir et blanc des Trois Maria, autrices des Nouvelles lettres portugaises. Samedi 18 octobre à 10h30. Littérature et transgression : la postérité des « Trois Maria » Rencontre autour des Nouvelles lettres portugaises – livre mythique qui valut à ses trois autrices d’être poursuivies pour outrage aux mœurs. Publié à Lisbonne en 1972, ce texte subversif et polyphonique fit scandale et souleva un élan international de solidarité. Sa parution en français en 2025 chez Ypsilon célèbre ce moment littéraire et politique majeur. Avec la traductrice Ilda Mendes dos Santos, l’éditrice Isabella Checcaglini et l’autrice Margaux Mazellier. Flyer rencontre au Salon du livre métropolitain à la Citadelle de Marseille. Fond bleu, logos du Salon, Citadelle de Marseille et Métropole Aix-Marseille-Provence. Photographie noir et blanc de Yannis Ritsos, traduit par Pascal Neveu chez Ypsilon éditeur. dimanche 19 octobre à 10h30 Traductrices, traducteurs du grec : passeurs de pensée. Rencontre avec Pierre Guéry, poète, traducteur et performeur ; Pascal Neveu, traducteur ; et René Bouchet, traducteur ; Gilles Ortlieb, prosateur, poète, essayiste et traducteur et Anne-Laure Brisac, éditrice et traductrice, animée par Barbara Dimopoulou, maîtresse de conférences à Aix-Marseille Université. Traduire, c’est faire dialoguer les voix et les imaginaires, mêlant engagement poétique, attention politique et transmission culturelle. Une réflexion sur ce geste intime et collectif qui fait résonner les mots de l’autre. Flyer rencontre au Salon du livre métropolitain à la Citadelle de Marseille. Fond bleu, logos du Salon, Citadelle de Marseille et Métropole Aix-Marseille-Provence. Photographie couleur de Maria Attanasio (© Robbie Lee) publiée chez Ypsilon éditeur. dimanche 19 octobre à 14h La fille de Marseille Rencontre avec l’autrice Maria Attanasio et son éditrice Isabella Checcaglini, animée par Giulia Camin, responsable de la bibliothèque de poésie contemporaine du Cipm – Centre international de poésie Marseille. La fille de Marseille (2024, Ypsilon) donne voix à Rosalie Montmasson, héroïne oubliée de l’unité italienne. Maria Attanasio mêle sources et fiction pour révéler cette femme libre trahie, transformant son histoire en une leçon d’histoire captivante. Flyer rencontre au Salon du livre métropolitain à la Citadelle de Marseille. Fond bleu, logos du Salon, Citadelle de Marseille et Métropole Aix-Marseille-Provence. Collage de plusieurs couvertures de livres d’Ypsilon éditeur. dimanche 19 octobre à 16h30 Itinéraire d’une éditrice Rencontre avec Isabella Checcaglini, fondatrice des éditions Ypsilon, animée par Barbara Dimopoulou, maîtresse de conférences à Aix-Marseille Université Fondé en 2007, Ypsilon Éditeur publie des œuvres où fond et forme dialoguent, alliant littérature étrangère, poésie et typographie, avec un souci d’invention et d’exigence éditoriale.
October 9, 2025 at 4:30 PM
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📖 AUJOURD’HUI EN LIBRAIRIE 📖
Judith Schalansky — Le bleu ne te va pas. Roman de matelots.
Traduction de Lucie Lamy | 978-2-35654-135-2 | 144 p. | 12,5 × 21 cm | 17 €
🔗 ypsilonediteur.com/catalogue/le...

« Quand je serai grande, je serai matelote. »
« On dit matelot — lui répond le grand-père ↓
Photographie de la couverture du livre « Le bleu ne te va pas » de Judith Schalansky traduit par Lucie Lamy et paru chez Ypsilon éditeur dans la série « Fragile ». La couverture est imprimée sur un papier bleu clair, typographie en bleu marine, le titre et le nom de l'autrice est disposé sur un motif de traits évoquant des vagues ou un paysage marin. Le livre est pris en photo sur une feuille miroir déformante. Photographie d’une double page du livre « Le bleu ne te va pas » de Judith Schalansky traduit par Lucie Lamy et paru chez Ypsilon éditeur dans la série « Fragile ». La photo montre la page 77 où est reproduit une photographie noir et blanc de Claude Cahun. Photographie d’une double page du livre « Le bleu ne te va pas » de Judith Schalansky traduit par Lucie Lamy et paru chez Ypsilon éditeur dans la série « Fragile ». La photo montre une citation en exergue de l’ouvrage « Vertiges » de W.G. Sebald « Sur le pont se tenait, jambes écartées, rubans de béret flottant au vent, un matelot brandissant à bout de bras deux pavillons multicolores, et qui lançait de complexes signaux sémaphoriques. » Photographie d’une double page du livre « Le bleu ne te va pas » de Judith Schalansky traduit par Lucie Lamy et paru chez Ypsilon éditeur dans la série « Fragile ». La photo montre les pages 40-41 où est reproduit une photographie noir et blanc du yacht impérial russe, Standart, avec à son bord le tsarévitch Alexis Nikolaïevitch de Russie et l'équipage du bateau. Sur le livre est posé un marque page montrant une citation du livre « Il y avait toujours un autre côté. »
October 3, 2025 at 9:35 AM