Je le vois bien en poste avec eux en effet.

Je suis plutôt quelqu’un de l’écrit.
Je pense que cette société en a aussi besoin peut-être, de prendre le temps de dire ou déposer collectivement des choses à l’écrit.
Un dépôt social de textes sur ce qui nous porte ou nous unit ( contre un seul récit) serait vraiment bien.

Je suis désolée.
Je n’investis pas assez bluesky.
Il y a certainement moyen de s’en servir pour créer un récit collectif différent.

Merci à vous.
Cela permet d’entendre d’autres discours et d’autres perspectives.
Je rêve d’un format de réflexion sur le monde des associations et sur le monde du travail.

Merci, je vais écouter.
J’avais eu des échanges très intéressants avec vous.
Et je suis assez fatiguée de la deconstruction pédagogique que recouvre en effet l’IA .

Et plus encore dans la version longue de cette émission où j'ai eu le temps de développer nos* arguments contre le déploiement des IA en éducation (et de dire 45 fois "en fait")

* ceux développés au sein du SNES-FSU notamment avec Amélie Hart 😍
www.radiofrance.fr/francecultur...

C’était très bien comme réunion et comme échange.
J’espère vraiment que tout cela va donner de l’élan politique et vital, de résistance aussi.
On a tous besoin d’un souffle contre ces temps de haine et d’automatisations.

🙏👍

Il y aura une version filmée ou une possibilité d’échanger par chat @davduf.net ? Impossible pour moi d’aller sur Paris.
Et il se trouve que ce plateau m’intéresse en plus haut lieu.

Je parle de l’intellectualisme en tant que sphère délimitée et labellisée.
Mais c’est un vaste sujet.
Je ne supporte plus la délimitation d’un champ de réflexion sans pratique constante dans la réalisation.
Cela vaudrait aussi pour le pb vaste de la politique ou bureaucratie comme « métier » .

Il n’y a que deux types de capitaux reconnus dans la société capitaliste : l’intellectualisme comme capitalisation de l’espace théorique ou la spéculation comme capitalisation de l’espace commun.

Pour moi c’est essentiel.
D’ailleurs le spectre est plus large.
J’estime que beaucoup trop de pervers et de déficients affectifs arrivent bien plus facilement au pouvoir que ceux qui disposent d’une intelligence émotionnelle.
Le capitalisme les érigent en modèles de réussite exclusive.

Sur le site : www.monde-diplomatique.fr/2025/08/MORO...

Certains ressemblent de plus en plus à un troupeau de moutons infantilisés( soit par démagogie soit par doute intégré, à force d’être traités comme des ignorants), et pensent qu’ils doivent se mettre à niveau comme de vulgaires logiciels sur le marché.
Un profond déficit de cs sur les besoins réels.

Le pb n’est aucunement le seul remplacement d’un métier sur le seul plan économique, mais le remplacement de la pensée individuelle et donc de l’Histoire même des idées, et la liberté d’un être à dominer les outils critiques ou affectifs dans sa vie intérieure et sociale.

Ce sont les premiers qui se plaignent le plus de la triche normalisée ( comme dans la société du factice d’ailleurs) ou du niveau de non pensée autonome ou complexe des élèves qui obéissent tête baissée au marché de l’outil technologique, servi depuis des années par notre inspection et le Ministère.

Ou sur nos collègues…🤦‍♀️

Oui, je ne vois strictement aucun rapport.
De plus il ne s’agit pas d’y survivre, mais de penser à cela dans le cadre social, éthique, et à ses implications dans la formation d’un être humain et de sa pensée.
Et ce qui m’inquiète est le nombre de collègues qui n’y voient qu’un outil.
C’est sidérant.

Ah bein j’avais oublié que j’étais sur la liste…
Hi hi hi.