Une logique qui se poursuit dans la déclinaison en trois versions de GPT-5 qui adopte une logique produit à la Apple : simplicité extrême, sophistication invisible. S’imposer partout, du grand public au développeur. Plus qu’un outil, une plateforme fluide, adaptative… et toujours plus autonome.

Cette automatisation totale pose question : que reste-t-il du contrôle utilisateur ? L’interface s’allège, mais l’IA devient une boîte noire. On gagne du confort, oui, mais la relation à la machine se fait plus floue, et la confiance devient affaire de foi.

Mais derrière un effort pour la confiance des usagers, une autre lecture possible : celle d'une contrainte pour pousser à l’abonnement. Une stratégie qui pourrait être mal perçue si la concurrence reste plus souple, d’autant plus que filigranes et métadonnées sont faciles à contourner ou effacer.

Au-delà de la visibilité, les marques cherchent à devenir des sources fiables et reconnues. D'où un nouvel enjeu pour les acteurs publics, qui mènent souvent l'effort de recherche : reprendre la main sur la nouvelle fabrique du savoir qu'est l'IA, dans les thèmes où leur expertise fait autorité.

"Bye forever WeTransfer", s'est écrié le très suivi
@ramiismail.com, actant la rupture de confiance. Comme Bluesky après la tourmente X, SwissTransfer récupère la base d'usagers, alors que WeTransfer rétropédale en annonçant des CGU revues pour le 8 août. L'ire populaire, à défaut de cadre légal ?

On assiste à une sémantisation des pages web qui fait écho à une conception rhizomatique du savoir, où l’exploration ne suit plus une hiérarchie mais des chemins mouvants, guidés par notre volonté. L’interface devient cognitive, en lisant, interprétant et agissant en symbiose avec l’utilisateur.

Mais les séries "ne sont que le début du débat" pour le scénariste d'Adolescence : elles créent une culture et un langage communs là où ils font défaut. Elles n'ont dès lors de portée qu'adossées à des politiques publiques dont elles se font l'écho, et grâce à des enseignants formés à les employer.

Pointer du doigt l'IA permet d'absoudre toutes les agences qui ont fait usage de faux avant cette révolution techno - alors que la nouveauté de cette affaire est surtout la mise en cause public par un média. Une charte éthique IA se prépare aux Cannes Lions - pour un vrai changement de paradigme ?

Happn intègre ainsi un agent dans un rôle subordonné aux envies des users en les aidant seulement à résoudre un problème aval du parcours : trouver un lieu de date. Une fonction qui respecte leur consentement, et s'inscrit dans la mission de la marque : faciliter les rencontres dans la vraie vie.

Biberonnée à nos datas Instagram et LinkedIn, Gigi prend ainsi en charge à la place de l'utilisateur une part de l'effort de recherche et de discussion - mais alors, c'est son autonomie qui semble amoindrie.

Un risque bien compris par Happn, qui avec Mistral AI place l'IA au niveau d'un outil 👇

Nicolas, c'est une figure valorisée, dominante, et pourtant victime, du système, des assistés, des impôts. Utilisée comme porte-étendard par une partie du personnel politique. C'est la France éternelle, virile, en forme. Pas loin d'un Super Dupont, mais sans ironie. Ou du John Bull britannique.

3️⃣ Exiger des réponses courtes
4️⃣ Privilégier la recherche web pour les requêtes factuelles et univoques (horaires d'ouverture par ex.)
5️⃣ Minimiser les automatisations superflues
En résumé, pour le climat, réserver les agents à des usages que ne pourraient remplir des outils moins sophistiqués !

Dans cette nouvelle approche, l’émotion remplace la réprimande. Portée par la voix chaleureuse de Gilles Lellouche, la campagne rend hommage à ceux qui aiment et protègent leurs animaux. Une démarche poétique et positive, qui vise à inspirer plutôt qu’à condamner.