www.youtube.com/watch?v=l17I...

...esprit fin, urbain, curieux de ses frères les hommes.
Le milieu de l'espionnage (ses missions, sa manipulation inhérente) devient ainsi l'occasion à différentes études de caractère, fines, intrigantes, enrichies de cosmopolitisme et préfigurant beaucoup les romans d'Ambler.

- Homicide* - Pièce vaguement Pinterienne déguisée en film Lumetien, sans le talent des deux. Résultat: crise identitaire hallucinée et verbeuse (juifs tendance Mossad face à des noirs antisémites pourvus étonnamment de tous les leviers de pouvoir !), avec une vraisemblance psychologique aléatoire.

...bas de visages) en oublient le mouvement d'idée.
Ainsi, la rudesse ou la sécheresse ou le sérieux des uns et des autres (et pour tout dire le terrorisme intellectuel de l'époque) laissent place à une large et vaste candeur adolescente.

Nubilité et innocuité du vintage 60's.

Il faut lui reconnaître d'avoir fait ses cascades lui-même; Jean-Marie n'avait qu'à bien se tenir !

Nous resterons dans le noir alors! Merci du moins de m'avoir alerté

Ici majorité de jpeg... Première fois que cela m'arrive

ça doit être la version audio-description🤭

Eh bien décidément.

Ah non moi aussi... Nouvelle tentative

...habilement tendus, qu'une (mini-)série actuelle aurait amplifiés n'importe comment. Et malheureusement 5/ craindre le pire avec la suite-préquel que veut faire son auteur dans les circonstances non-idoines d'une mauvaise fin de carrière.

1/ apprécier la gestion des seconds couteaux, à peine esquissés, aussi bien côté policiers que truands, 2/ focus sur les hommes, mais personnages femmes traitées avec une grande subtilité, 3/ guetter les fins détails du jeu des deux stars, 4/ admirer des arcs narratifs...

- Bound** - Film "fin d'études" des Wachowski. Vide, inconsistant, mais suavité (côté Lynch). Aucune scène, des motifs qui anticipent Matrix - téléphone, ascenseur, tapisserie. Féminisme lesbien, mais loi du charisme oblige: film vampirisé par Pantoliano. John Ryan délicieux.

- The Exorcist III** - 3ème volet repris en main par l'auteur. De l'énergie et des idées qui doivent beaucoup à Friedkin. Mais dialogues trop écrits et direction trop confuse, squattée en deuxième partie par un Brad Dourif lourdement mutin.

- Frankenstein (2025)*(*) - Le versant caméra fluide, grands angles et visuels ripolinés du cinéma fantastique qui, pour une homogénéité de style, fera toujours toc: on est déçu (et peiné pour del Torro) devant cet éternel feu de paille de sa filmo qu'il rêve en feu d'artifice.

- The Exorcist II* - Une sorte de catastrophe de mauvais goût dont Boorman a parfois le secret, malgré certaines visions folles et énergiques - dont Boorman a également le secret - la fin en particulier surprend par sa démesure. Mais scénario inepte; mais acteurs épouvantables.

- The Nickel Ride*** - Belle incursion de Mulligan dans ce néo-noir minimaliste et paranoïaque. Et plein de regrets de voir une fois de plus Jason Miller ne pas avoir eu la carrière qu'il aurait méritée.

...en enlisement, dans une tension permanente, survivant un temps aux transports et à la houle impossibles que leur renvoie le relief, puis sautant soudain. Rarement film n'aura rendu si palpable une si grande vision d’extrémité.