Rather than a buffed MSR, the EC should look into a transitional corridor on ETS2. A ceiling to avoid with certainty the price going past a certain price and a floor to have a minimum level of guaranteed revenues to reimburse the frontloading. This could be transitional (until lets say 2032).

Finally, the proposal on the MSR contradicts our latest finding. MS do not want an additional mechanism that could EVENTUALLY contain price volatility, they want CERTAINTY on that matter, hence why they forced their way and postponed the EC's hand regarding the postponement.

To answer these issues we propose a Japan-inspired mechanism: a common loan repaid from future carbon market revenues from ETS2 but also ETS1 :
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So far, 17 states have transposed ETS2, 7 partially, and 3, including France, have not. The map of member states’ positions is more complex.
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ETS2 is the new carbon market applying the polluter-pays principle to road transport, buildings, construction, and small industry sectors. Fossil fuel use in these sectors will be priced, increasing the bills for consumers expecting to drive consumption behaviour.
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Talking about simplification today, U. von der Leyen says that "we all agree, we need simplification, we need deregulation". Have I missed something? Because last time I checked, part of the coalition supporting her majority was not on board with a deregulation policy that distort Letta's report.

Having the $750B agreement not being legally binding puts the energy related numbers into perspective. As they were unrealistic its welcome that the EU can not be held responsible for not meeting them. ec.europa.eu/commission/p...

La réussite de la transition repose désormais sur la capacité de nos décideurs à ne pas céder aux sirènes populistes. En ne détricotant pas le Pacte vert. En mobilisant les financements nécessaires ainsi que l'ensemble des forces vives, pour faire vivre la promesse démocratique de 2019. Ma tribune:

La France ne voit pas de problème à ne pas respecter ces obj. EnR (dont acte). Mais dans le même doc @energy.contexte.com elle rappelle pourtant l'utilité de ces dernières. Cascade réalisée par des professionnels. D'ailleurs si toute l'UE se comportait ainsi, rien n'avancerait.

Si certains se demandent pourquoi la France n'est pas parvenue à pérenniser une politique sobriété post crise énergétique :
- écogestes identifiés comme étant l’unique avatar de la sobriété
- confusion avec l'efficacité énergétique
Nos propositions pour y remédier: institutdelors.eu/content/uplo...

2. Backpedaling on the Green Deal
The EC has flagged signs of regression—especially on CO2 standards and ETS2.
Yet, it still seems open to reopening the CO2 standards file while hesitating to act against Member States like France, Poland, and Hungary that haven’t transposed ETS2 into national law.

To give and order of magnitude regarding the $350 B Trump wants the EU to comit to, here is the estimated EU energy import bill over the last decade. His "energy dominance" basically means impoverishing the EU and increasing its fossil fuel reliance on one supplier. Definetly not the way to go...

Il est parfois bon de rappeler les évidences: nous majoritairement dépendons des énergies fossiles pour notre consommation d'énergie. A l'initiative de @goldnic.bsky.social, je signe cette tribune dans @lemonde.fr : www.lemonde.fr/idees/articl..., sortir des fossiles et accélérer l'électrification.

Les données @ember-energy.org montrent que les renouvelables déployées entre 2019 et 2024 ont permis à l'UE d'éviter d'importer 59 millards d'€ d'importations fossiles. Une bonne nouvelle pour le climat et notre portefeuille. Et dire qu'en FR certains appellent à une pause dans leur déploiement...

Le dévoiement des clauses juridique de révision contenues dans le Pacte vert représente un véritable risque de détricotage de l'acquis communautaire vert des 5 derniers années. Dernier exemple en date, sur la norme CAFE :
www.lesechos.fr/industrie-se...

En réalité, les chiffres de l'INSEE sont éloquents. Sur un an, la production manufacturière en France baisse de 3%. Pour l'ensemble de l'industrie, c'est -2,3%. Plus qu'une réindustrialisation, actuellement le défi est avant tout de maintenir en vie le tissu industriel existant.
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