ComPaRe se construit et évolue grâce aux patients, à leurs réponses aux questionnaires bien sur mais aussi grâce à leurs idées, questions, remarques, que cela soit au sein des conseils scientifiques des études ou aux échanges via différents canaux.

Il ne faut pas psychologiser une maladie qui ne l'est pas. En revanche, nier l'importance des aspects psychologiques dans la souffrance et le vécu des maladies pourrait conduire à moins bien traiter les patients.

L'idée n'est pas de réduire les maladies à ces aspects, mais d'étudier comment ces aspects jouent sur le vécu de la maladie et doivent être considérés quand on prend en charge les patients (on ne fait pas la même intervention à des patients avec des personnalités et des motivations différentes).

En effet, de nombreux facteurs personnels (culture, personnalité, niveau économique et éducatif, etc.) jouent sur la perception et le vécu d'une maladie chronique, concept dénommé "personomics".

Bonjour,
Merci de votre message. Nous sommes désolés que cette étude vous ait inquiétée.
L'étude POPS n'est pas une étude sur le COVID long. Elle a été envoyée à tous les patients souffrant de maladies chroniques dans ComPaRe.