42) Quand une collègue sort de l’innocence de ses premières années et donc réalise finalement que, non, tu n’es pas formidablement génial, tu la remplaces par une autre. Après tout, elles sont interchangeables. Et une femme ça sert avant tout à flatter l’ego.

31) Tu ne l’invites plus jamais quand elle refuse de ken

30) Tu invites une collègue femme débutante dans une émission juste parce que tu veux la ken

J'ai retrouvé un truc que j'avais écrit sous la colère mais jms posté y'a qques années, à propos du microsexisme ds le journalisme culturel
jsais que y'a + grave ds la vie mais jme suis dit ct l'occaz de se défouler un peu ici vu que y'a quasi dégun

D’abord les fouilles de sacs par la police dans les « établissements à risques » d’Elisabeth Borne et de ses amis de l’état-major de sécurité et maintenant la propagande de guerre de Jean-Noël Barrot.

PROPAGANDE DE GUERRE POUR LES ÉCOLIERS

Voici la phrase stupéfiante qu'a prononcé le ministre macroniste Jean-Noël Barrot à Nantes le 10 mars : «Le réarmement des esprits commence à l’école».

Notre analyse à lire ici : contre-attaque.net/2025/03/12/p...

"J'ai un tel regard de méfiance sur tout le monde que je ne laisse jamais mon fils seul avec une personne, sauf à l'école, garderie. Mais toute personne, même dans la famille, j'ai toujours des appréhensions", explique-t-il.

The Trump administration is purging government websites of mentions of LGBTQ+ people and resources for people with HIV.

Terms no longer found on the official White House website include lesbian, gay, bisexual and transgender.

Erasing LGBTQ+ people is part of the goal of the new fascist regime.

What is gaslighting? Gaslighting is when an Episcopalian bishop pleads with the President for mercy for Gay, Lesbian, transgender and immigrant groups who are now feeling endangered and fearful—and Trump calls her a hater.

Pas les hommes qui découvrent le gaslighting face à la théorie de la « maladresse » d’Elon

AFFAIRE PÉLICOT : LES ZONES D'OMBRE DU PROCÈS

Avertissement : certains faits peuvent heurter

Le verdict est tombé ce 19 décembre après 3 mois et 17 jours d'un procès aussi médiatisé qu'insoutenable. L’ensemble des 51 prévenus de l'affaire tentaculaire des viols de Mazan a été reconnu coupable.

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