Contrairementaux idées reçues, on écrivait déjà comme des pieds en 1905, même quand on était lord.

Rien que les bras qui surgissent du sol dans le noir pour vous attraper les pieds c'est juste flippant et digne de l'érosion mentale d'Amnesia, en plus d'être un indicateur simple et efficace qu'il fait assez noir pour qu'un truc paranormal se produise.

Un petit jeu à venir dont la démo m'a évoqué un mélange de l'horreur bizarre du premier Alone in the Dark et les premiers émois nocturnes dans Minecraft : Sepulchron. De la solitude, des grands moments de panique et un côté immersive sim intriguant. store.steampowered.com/app/3156910/...

En second sur le podium de très près c'est la séquence de fuite de l'hôtel de Call of Cthulhu: Dark Corners of the Earth et si vous connaissez le jeu vous savez exactement de quoi je parle, ça sert à rien de rouvrir des vieilles blessures 💀

Avec du recul et en glânant quelques informations (Amnesia a 15 ans, ça a l'air à la fois énorme et si peu par rapport au monument qu'est devenu le jeu), quelques détails expliquent la violence de ce premier contact. Merci pour les cauchemars... frictionalgames.com/2010-09-amne...

I had the exact same experience with Amnesia, couldn't even get through the demo the first time I played, I wish I could have lived a happy life in the safety of a light source and never step into the darkness with that relentless brain-nibbling sound.

Je pense à Golden Sun et Star Ocean 2 qui sont mes préférés alors qu'ils appliquent le concept sans trop d'originalité, redécouvrir le monde du remake de Star Ocean c'était magique pour moi.

Je que maintenant qu'il n'y a pas *vraiment* de mappemonde dans Secret of Evermore (tout au plus un fast travel déguisé), le fait de tout explorer à pieds, y compris les entre-deux sauvages, donne à ce petit monde une impression d'immensité.

La dance tragique des jumeaux de bronze est aussi déchirante que le moment où on contemple finalement la déchéance de Gwyn dans Dark Souls. Les coups ne sont jamais plus difficiles à porter que lorsqu'on s'arrache le cœur pour clore le dernier chapitre d'une tragédie.