On ressort éreinté par le rythme d’un long fleuve tranquille mais tout de même charmé.
On ressort éreinté par le rythme d’un long fleuve tranquille mais tout de même charmé.
Personnages lisses, dialogues affligeants, découpage à la ramasse, tension inexistante et dénouement de l’enfer.
Epargnez-vous ça!
Personnages lisses, dialogues affligeants, découpage à la ramasse, tension inexistante et dénouement de l’enfer.
Epargnez-vous ça!
****1/2
boxd.it/5Xr12x
****1/2
boxd.it/5Xr12x
Aussi peu subtil et inégal qu’imprévisible et saisissant, on se laisse finalement prendre à cette descente aux enfers sur le poids de l’héritage patriarcal.
boxd.it/5SgcJ1
Aussi peu subtil et inégal qu’imprévisible et saisissant, on se laisse finalement prendre à cette descente aux enfers sur le poids de l’héritage patriarcal.
boxd.it/5SgcJ1
3ème essai de Tsui Hark, c’est un film tellement fou et dégénéré qu’il faut le voir pour le croire.
boxd.it/5R3btV
3ème essai de Tsui Hark, c’est un film tellement fou et dégénéré qu’il faut le voir pour le croire.
boxd.it/5R3btV
Bien qu’alourdi par moment, la force de Green Border réside dans l’uppercut cinématographique qu’il nous envoie en pleine face.
Puissant et révoltant.
****
boxd.it/5PJJp5
Bien qu’alourdi par moment, la force de Green Border réside dans l’uppercut cinématographique qu’il nous envoie en pleine face.
Puissant et révoltant.
****
boxd.it/5PJJp5
D’une laideur vertigineuse, d’un vide scénaristique abyssale, d’une longueur interminable, d’une puérilité affolante dans lequel un casting all-star tente de maintenir la barque à flot, c’est le pire film vu depuis très longtemps.
1/2*
boxd.it/5OxFGX
D’une laideur vertigineuse, d’un vide scénaristique abyssale, d’une longueur interminable, d’une puérilité affolante dans lequel un casting all-star tente de maintenir la barque à flot, c’est le pire film vu depuis très longtemps.
1/2*
boxd.it/5OxFGX
Les clients de Dupieux -dont moi- apprécieront ce court voyage labyrinthique mais la mécanique ressassante finit par lasser.
***
boxd.it/5N14eJ
Les clients de Dupieux -dont moi- apprécieront ce court voyage labyrinthique mais la mécanique ressassante finit par lasser.
***
boxd.it/5N14eJ
🎙️Toujours à la pointe de l’actualité (non), on fait le bilan sur l’année cinéma écoulée, on balance nos cinq films préférés de 2023 et on termine par nos attentes pour 2024.
➡️Pour écouter l’épisode : smartlink.ausha.co/retake/retak...
Bisous, bonne écoute 🔥
🎙️Toujours à la pointe de l’actualité (non), on fait le bilan sur l’année cinéma écoulée, on balance nos cinq films préférés de 2023 et on termine par nos attentes pour 2024.
➡️Pour écouter l’épisode : smartlink.ausha.co/retake/retak...
Bisous, bonne écoute 🔥
Un Todd Haynes des petits jours mais qui vaut le coup d’œil pour ce face-à-face Moore/Portman complexe.
Un Todd Haynes des petits jours mais qui vaut le coup d’œil pour ce face-à-face Moore/Portman complexe.
Avec La Zone d’Intérêt, Glazer use d’un dispositif glaçant pour représenter la Shoah. On s’interroge beaucoup sur ce parti-pris mais à la fin, on ne ressort pas indemne de la salle.
boxd.it/5F830t
Avec La Zone d’Intérêt, Glazer use d’un dispositif glaçant pour représenter la Shoah. On s’interroge beaucoup sur ce parti-pris mais à la fin, on ne ressort pas indemne de la salle.
boxd.it/5F830t
Reste la séquence de destruction a Ginza qui vaut le détour. Maigre récompense.
boxd.it/5EAKtv
Reste la séquence de destruction a Ginza qui vaut le détour. Maigre récompense.
boxd.it/5EAKtv
Imparfait mais réjouissant.
boxd.it/5EADFp
Imparfait mais réjouissant.
boxd.it/5EADFp
C’était si prometteur mais l’écriture bancale des personnages et un dénouement tiré par les cheveux l’empêchent de vraiment s’imposer comme un gros morceau de cinéma de genre local.
À voir.
boxd.it/5EAxP9
C’était si prometteur mais l’écriture bancale des personnages et un dénouement tiré par les cheveux l’empêchent de vraiment s’imposer comme un gros morceau de cinéma de genre local.
À voir.
boxd.it/5EAxP9
Si Kore-eda continue à magnifier l’enfance et à dessiner des personnages attachants, son récit fragmenté, abandonnant toute cohérence, nous laisse sur le bas-côté.
Pas désagréable mais bien mineur dans la filmographie du maître.
Si Kore-eda continue à magnifier l’enfance et à dessiner des personnages attachants, son récit fragmenté, abandonnant toute cohérence, nous laisse sur le bas-côté.
Pas désagréable mais bien mineur dans la filmographie du maître.
De «L’Homme qui en savait trop», reste un film d’espionnage distrayant porté par un morceau de bravoure à l’Albert Hall sans dialogues durant 9min et un couple de stars moins banal qu’il n’en a l’air.
De «L’Homme qui en savait trop», reste un film d’espionnage distrayant porté par un morceau de bravoure à l’Albert Hall sans dialogues durant 9min et un couple de stars moins banal qu’il n’en a l’air.
Fort de son atmosphère évanescente, la disparition de quatre filles d’un institut privé permet de révéler une société cadenassée et comment les vivants doivent vivre avec l’inexplicable.
Disponible jusqu’au 15 janvier sur @artefr.bsky.social
Fort de son atmosphère évanescente, la disparition de quatre filles d’un institut privé permet de révéler une société cadenassée et comment les vivants doivent vivre avec l’inexplicable.
Disponible jusqu’au 15 janvier sur @artefr.bsky.social
Fort de ses percutantes scènes de crash et d’avalanches, le film s’avère in fine plutôt convenu mais reste une œuvre Netflix convaincante.
***
boxd.it/5xlp4L
Fort de ses percutantes scènes de crash et d’avalanches, le film s’avère in fine plutôt convenu mais reste une œuvre Netflix convaincante.
***
boxd.it/5xlp4L
L’histoire en soi est plus intéressante que l’exécution de ce film qui possède la finesse d’un phacochère dans un magasin de porcelaines.
L’histoire en soi est plus intéressante que l’exécution de ce film qui possède la finesse d’un phacochère dans un magasin de porcelaines.
Reste ce faux conte de fées qui comblera les fans de Sofia.
boxd.it/5tCVNL
Reste ce faux conte de fées qui comblera les fans de Sofia.
boxd.it/5tCVNL
boxd.it/5sRDMh
boxd.it/5sRDMh