Régisseur surcafeiné
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Je lis tous vos posts - Je ne poste plus - J'ai presque mes 507 heures (embauchez moi svp!) - Créateur du podcast "RETAKE" - boit du café par intraveineuse - Je parle de cinéma parfois, souvent, tout le temps
D’anti-film de braquage à paisible partie de campagne, Los Delincuentes est une réflexion existentielle de chaque instant sur le sens donné à sa vie, le bonheur des choses simples, l’appropriation de sa liberté.
On ressort éreinté par le rythme d’un long fleuve tranquille mais tout de même charmé.
On ressort éreinté par le rythme d’un long fleuve tranquille mais tout de même charmé.
March 31, 2024 at 12:48 AM
D’anti-film de braquage à paisible partie de campagne, Los Delincuentes est une réflexion existentielle de chaque instant sur le sens donné à sa vie, le bonheur des choses simples, l’appropriation de sa liberté.
On ressort éreinté par le rythme d’un long fleuve tranquille mais tout de même charmé.
On ressort éreinté par le rythme d’un long fleuve tranquille mais tout de même charmé.
Après deux excellentes adaptations, Netflix s’est dit que ça serait bien de faire une version éclatée au sol du « Salaire de la Peur ». Le contrat est plus que rempli.
Personnages lisses, dialogues affligeants, découpage à la ramasse, tension inexistante et dénouement de l’enfer.
Epargnez-vous ça!
Personnages lisses, dialogues affligeants, découpage à la ramasse, tension inexistante et dénouement de l’enfer.
Epargnez-vous ça!
March 30, 2024 at 8:27 AM
Après deux excellentes adaptations, Netflix s’est dit que ça serait bien de faire une version éclatée au sol du « Salaire de la Peur ». Le contrat est plus que rempli.
Personnages lisses, dialogues affligeants, découpage à la ramasse, tension inexistante et dénouement de l’enfer.
Epargnez-vous ça!
Personnages lisses, dialogues affligeants, découpage à la ramasse, tension inexistante et dénouement de l’enfer.
Epargnez-vous ça!
Pur produit d’un cinéma indépendant punk, The Sweet East dessine les contours de qui est deviant dans une Amérique post-Trump. S’il est loin d’être exempt de défauts, S.P. Williams réussit néanmoins à transmettre une énergie cathartique pour raconter le spectacle grotesque qui se joue dans son pays.
March 21, 2024 at 8:33 AM
Pur produit d’un cinéma indépendant punk, The Sweet East dessine les contours de qui est deviant dans une Amérique post-Trump. S’il est loin d’être exempt de défauts, S.P. Williams réussit néanmoins à transmettre une énergie cathartique pour raconter le spectacle grotesque qui se joue dans son pays.
Énorme carton au box-office italien, “Il reste encore demain” étonne par sa liberté de ton, jonglant entre légèreté et mélodrame pour raconter un patriarcat italien rance fait de violences conjugales et de schémas qui se répètent inlassablement. Pas dénué de maladresses, le film reste attachant.
March 16, 2024 at 11:09 PM
Énorme carton au box-office italien, “Il reste encore demain” étonne par sa liberté de ton, jonglant entre légèreté et mélodrame pour raconter un patriarcat italien rance fait de violences conjugales et de schémas qui se répètent inlassablement. Pas dénué de maladresses, le film reste attachant.
Huis-clos qui ne quitte jamais vraiment l’enceinte de l’école, La Salle des Profs est mis en scène comme un suspense étouffant, interprétée de main de maître(sse) par Leonie Benesch. Bien qu’un chouïa artificiel, son scénario nous saisit par ses thématiques jusqu’à se heurter à une impossible vérité
March 7, 2024 at 10:53 PM
Huis-clos qui ne quitte jamais vraiment l’enceinte de l’école, La Salle des Profs est mis en scène comme un suspense étouffant, interprétée de main de maître(sse) par Leonie Benesch. Bien qu’un chouïa artificiel, son scénario nous saisit par ses thématiques jusqu’à se heurter à une impossible vérité
Pas la peine d’utiliser tous les superlatifs déjà bien usés pour qualifier la grandeur phénoménale de ce Dune : Deuxième Partie. Plus dense, plus aboutie, plus expérimentale, cette deuxième partie est une bouffée d’air frais dans le paysage du blockbuster hollywoodien.
****1/2
boxd.it/5Xr12x
****1/2
boxd.it/5Xr12x
March 2, 2024 at 7:59 PM
Pas la peine d’utiliser tous les superlatifs déjà bien usés pour qualifier la grandeur phénoménale de ce Dune : Deuxième Partie. Plus dense, plus aboutie, plus expérimentale, cette deuxième partie est une bouffée d’air frais dans le paysage du blockbuster hollywoodien.
****1/2
boxd.it/5Xr12x
****1/2
boxd.it/5Xr12x
En nous faisant miroiter un drame familial en préambule, “Le Successeur” opère à mi-parcours un changement de genre drastique.
Aussi peu subtil et inégal qu’imprévisible et saisissant, on se laisse finalement prendre à cette descente aux enfers sur le poids de l’héritage patriarcal.
boxd.it/5SgcJ1
Aussi peu subtil et inégal qu’imprévisible et saisissant, on se laisse finalement prendre à cette descente aux enfers sur le poids de l’héritage patriarcal.
boxd.it/5SgcJ1
February 21, 2024 at 9:05 AM
En nous faisant miroiter un drame familial en préambule, “Le Successeur” opère à mi-parcours un changement de genre drastique.
Aussi peu subtil et inégal qu’imprévisible et saisissant, on se laisse finalement prendre à cette descente aux enfers sur le poids de l’héritage patriarcal.
boxd.it/5SgcJ1
Aussi peu subtil et inégal qu’imprévisible et saisissant, on se laisse finalement prendre à cette descente aux enfers sur le poids de l’héritage patriarcal.
boxd.it/5SgcJ1
Considéré comme le «Orange Mécanique hongkongais», ‘’L’Enfer des armes’’ est une sorte de polar cartoon complètement bordélique, foncièrement nihiliste et absolument imprévisible.
3ème essai de Tsui Hark, c’est un film tellement fou et dégénéré qu’il faut le voir pour le croire.
boxd.it/5R3btV
3ème essai de Tsui Hark, c’est un film tellement fou et dégénéré qu’il faut le voir pour le croire.
boxd.it/5R3btV
February 18, 2024 at 1:50 PM
Considéré comme le «Orange Mécanique hongkongais», ‘’L’Enfer des armes’’ est une sorte de polar cartoon complètement bordélique, foncièrement nihiliste et absolument imprévisible.
3ème essai de Tsui Hark, c’est un film tellement fou et dégénéré qu’il faut le voir pour le croire.
boxd.it/5R3btV
3ème essai de Tsui Hark, c’est un film tellement fou et dégénéré qu’il faut le voir pour le croire.
boxd.it/5R3btV
Le film d’une cinéaste en colère qui décrit sans prendre de pincettes les horreurs qui se passent à la frontière de son pays.
Bien qu’alourdi par moment, la force de Green Border réside dans l’uppercut cinématographique qu’il nous envoie en pleine face.
Puissant et révoltant.
****
boxd.it/5PJJp5
Bien qu’alourdi par moment, la force de Green Border réside dans l’uppercut cinématographique qu’il nous envoie en pleine face.
Puissant et révoltant.
****
boxd.it/5PJJp5
February 15, 2024 at 1:27 PM
Le film d’une cinéaste en colère qui décrit sans prendre de pincettes les horreurs qui se passent à la frontière de son pays.
Bien qu’alourdi par moment, la force de Green Border réside dans l’uppercut cinématographique qu’il nous envoie en pleine face.
Puissant et révoltant.
****
boxd.it/5PJJp5
Bien qu’alourdi par moment, la force de Green Border réside dans l’uppercut cinématographique qu’il nous envoie en pleine face.
Puissant et révoltant.
****
boxd.it/5PJJp5
Argylle ou le Suicide Squad de Matthew Vaughn.
D’une laideur vertigineuse, d’un vide scénaristique abyssale, d’une longueur interminable, d’une puérilité affolante dans lequel un casting all-star tente de maintenir la barque à flot, c’est le pire film vu depuis très longtemps.
1/2*
boxd.it/5OxFGX
D’une laideur vertigineuse, d’un vide scénaristique abyssale, d’une longueur interminable, d’une puérilité affolante dans lequel un casting all-star tente de maintenir la barque à flot, c’est le pire film vu depuis très longtemps.
1/2*
boxd.it/5OxFGX
February 15, 2024 at 1:22 PM
Argylle ou le Suicide Squad de Matthew Vaughn.
D’une laideur vertigineuse, d’un vide scénaristique abyssale, d’une longueur interminable, d’une puérilité affolante dans lequel un casting all-star tente de maintenir la barque à flot, c’est le pire film vu depuis très longtemps.
1/2*
boxd.it/5OxFGX
D’une laideur vertigineuse, d’un vide scénaristique abyssale, d’une longueur interminable, d’une puérilité affolante dans lequel un casting all-star tente de maintenir la barque à flot, c’est le pire film vu depuis très longtemps.
1/2*
boxd.it/5OxFGX
Daaaaaali ! est un non-portrait du peintre surréaliste, à la fois sophistiqué et rigolard, dont la personnalité narcissique intéresse plus que l’artiste.
Les clients de Dupieux -dont moi- apprécieront ce court voyage labyrinthique mais la mécanique ressassante finit par lasser.
***
boxd.it/5N14eJ
Les clients de Dupieux -dont moi- apprécieront ce court voyage labyrinthique mais la mécanique ressassante finit par lasser.
***
boxd.it/5N14eJ
February 15, 2024 at 1:15 PM
Daaaaaali ! est un non-portrait du peintre surréaliste, à la fois sophistiqué et rigolard, dont la personnalité narcissique intéresse plus que l’artiste.
Les clients de Dupieux -dont moi- apprécieront ce court voyage labyrinthique mais la mécanique ressassante finit par lasser.
***
boxd.it/5N14eJ
Les clients de Dupieux -dont moi- apprécieront ce court voyage labyrinthique mais la mécanique ressassante finit par lasser.
***
boxd.it/5N14eJ
💥ÉPISODE 33 du podcast RETAKE💥
🎙️Toujours à la pointe de l’actualité (non), on fait le bilan sur l’année cinéma écoulée, on balance nos cinq films préférés de 2023 et on termine par nos attentes pour 2024.
➡️Pour écouter l’épisode : smartlink.ausha.co/retake/retak...
Bisous, bonne écoute 🔥
🎙️Toujours à la pointe de l’actualité (non), on fait le bilan sur l’année cinéma écoulée, on balance nos cinq films préférés de 2023 et on termine par nos attentes pour 2024.
➡️Pour écouter l’épisode : smartlink.ausha.co/retake/retak...
Bisous, bonne écoute 🔥
January 31, 2024 at 10:19 AM
💥ÉPISODE 33 du podcast RETAKE💥
🎙️Toujours à la pointe de l’actualité (non), on fait le bilan sur l’année cinéma écoulée, on balance nos cinq films préférés de 2023 et on termine par nos attentes pour 2024.
➡️Pour écouter l’épisode : smartlink.ausha.co/retake/retak...
Bisous, bonne écoute 🔥
🎙️Toujours à la pointe de l’actualité (non), on fait le bilan sur l’année cinéma écoulée, on balance nos cinq films préférés de 2023 et on termine par nos attentes pour 2024.
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Bisous, bonne écoute 🔥
S’il nous manque la puissance émotionnelle d’un Loin du Paradis ou d’un Carol, May December arrive à nous troubler avec ce jeu de miroirs vénéneux entre deux femmes, inspiré d’un fait réel.
Un Todd Haynes des petits jours mais qui vaut le coup d’œil pour ce face-à-face Moore/Portman complexe.
Un Todd Haynes des petits jours mais qui vaut le coup d’œil pour ce face-à-face Moore/Portman complexe.
January 28, 2024 at 12:08 PM
S’il nous manque la puissance émotionnelle d’un Loin du Paradis ou d’un Carol, May December arrive à nous troubler avec ce jeu de miroirs vénéneux entre deux femmes, inspiré d’un fait réel.
Un Todd Haynes des petits jours mais qui vaut le coup d’œil pour ce face-à-face Moore/Portman complexe.
Un Todd Haynes des petits jours mais qui vaut le coup d’œil pour ce face-à-face Moore/Portman complexe.
Il y a tout d’une tragédie grecque dans ce récit d’une fratrie soudée mais retenue dans l’étau de fer de leur patriarche. Iron Claw est paradoxalement tellement maîtrisé qu’il en devient monocorde mais ce serait nier la force de cette histoire saisissante de bout en bout, jusqu’aux larmes finales.
January 26, 2024 at 9:34 AM
Il y a tout d’une tragédie grecque dans ce récit d’une fratrie soudée mais retenue dans l’étau de fer de leur patriarche. Iron Claw est paradoxalement tellement maîtrisé qu’il en devient monocorde mais ce serait nier la force de cette histoire saisissante de bout en bout, jusqu’aux larmes finales.
Dès l’apparition du titre, le film nous met dans un état d’inconfort qui ne nous lâchera jamais.
Avec La Zone d’Intérêt, Glazer use d’un dispositif glaçant pour représenter la Shoah. On s’interroge beaucoup sur ce parti-pris mais à la fin, on ne ressort pas indemne de la salle.
boxd.it/5F830t
Avec La Zone d’Intérêt, Glazer use d’un dispositif glaçant pour représenter la Shoah. On s’interroge beaucoup sur ce parti-pris mais à la fin, on ne ressort pas indemne de la salle.
boxd.it/5F830t
January 23, 2024 at 7:43 AM
Dès l’apparition du titre, le film nous met dans un état d’inconfort qui ne nous lâchera jamais.
Avec La Zone d’Intérêt, Glazer use d’un dispositif glaçant pour représenter la Shoah. On s’interroge beaucoup sur ce parti-pris mais à la fin, on ne ressort pas indemne de la salle.
boxd.it/5F830t
Avec La Zone d’Intérêt, Glazer use d’un dispositif glaçant pour représenter la Shoah. On s’interroge beaucoup sur ce parti-pris mais à la fin, on ne ressort pas indemne de la salle.
boxd.it/5F830t
Je le recherche encore ce blockbuster titanesque dont tous se sont fait l’écho. Dès son prologue, le film fait montre de son talent dans l’absence de subtilité. Sans compter un héros lisse au possible.
Reste la séquence de destruction a Ginza qui vaut le détour. Maigre récompense.
boxd.it/5EAKtv
Reste la séquence de destruction a Ginza qui vaut le détour. Maigre récompense.
boxd.it/5EAKtv
January 23, 2024 at 7:38 AM
Je le recherche encore ce blockbuster titanesque dont tous se sont fait l’écho. Dès son prologue, le film fait montre de son talent dans l’absence de subtilité. Sans compter un héros lisse au possible.
Reste la séquence de destruction a Ginza qui vaut le détour. Maigre récompense.
boxd.it/5EAKtv
Reste la séquence de destruction a Ginza qui vaut le détour. Maigre récompense.
boxd.it/5EAKtv
Cédric Kahn nous livre sa « Nuit Américaine » sur fond de lutte sociale, où un tournage prend l’eau de tous les côtés. On rit autant de cette douce absurdité qu’on compatit avec le cinéaste dans ce qui s’avère être son « projet galère » par excellence.
Imparfait mais réjouissant.
boxd.it/5EADFp
Imparfait mais réjouissant.
boxd.it/5EADFp
January 23, 2024 at 7:33 AM
Cédric Kahn nous livre sa « Nuit Américaine » sur fond de lutte sociale, où un tournage prend l’eau de tous les côtés. On rit autant de cette douce absurdité qu’on compatit avec le cinéaste dans ce qui s’avère être son « projet galère » par excellence.
Imparfait mais réjouissant.
boxd.it/5EADFp
Imparfait mais réjouissant.
boxd.it/5EADFp
Un survival en huis clos énervé qui loupe juste le coche dans son derniers tiers.
C’était si prometteur mais l’écriture bancale des personnages et un dénouement tiré par les cheveux l’empêchent de vraiment s’imposer comme un gros morceau de cinéma de genre local.
À voir.
boxd.it/5EAxP9
C’était si prometteur mais l’écriture bancale des personnages et un dénouement tiré par les cheveux l’empêchent de vraiment s’imposer comme un gros morceau de cinéma de genre local.
À voir.
boxd.it/5EAxP9
January 23, 2024 at 7:30 AM
Un survival en huis clos énervé qui loupe juste le coche dans son derniers tiers.
C’était si prometteur mais l’écriture bancale des personnages et un dénouement tiré par les cheveux l’empêchent de vraiment s’imposer comme un gros morceau de cinéma de genre local.
À voir.
boxd.it/5EAxP9
C’était si prometteur mais l’écriture bancale des personnages et un dénouement tiré par les cheveux l’empêchent de vraiment s’imposer comme un gros morceau de cinéma de genre local.
À voir.
boxd.it/5EAxP9
Les bonnes intentions de «L’Innocence» n’évitent pas un ennui poli.
Si Kore-eda continue à magnifier l’enfance et à dessiner des personnages attachants, son récit fragmenté, abandonnant toute cohérence, nous laisse sur le bas-côté.
Pas désagréable mais bien mineur dans la filmographie du maître.
Si Kore-eda continue à magnifier l’enfance et à dessiner des personnages attachants, son récit fragmenté, abandonnant toute cohérence, nous laisse sur le bas-côté.
Pas désagréable mais bien mineur dans la filmographie du maître.
January 17, 2024 at 11:51 AM
Les bonnes intentions de «L’Innocence» n’évitent pas un ennui poli.
Si Kore-eda continue à magnifier l’enfance et à dessiner des personnages attachants, son récit fragmenté, abandonnant toute cohérence, nous laisse sur le bas-côté.
Pas désagréable mais bien mineur dans la filmographie du maître.
Si Kore-eda continue à magnifier l’enfance et à dessiner des personnages attachants, son récit fragmenté, abandonnant toute cohérence, nous laisse sur le bas-côté.
Pas désagréable mais bien mineur dans la filmographie du maître.
Hitchcock remake son propre film (sorti en 1934) avec une exécution aussi efficace que quelconque.
De «L’Homme qui en savait trop», reste un film d’espionnage distrayant porté par un morceau de bravoure à l’Albert Hall sans dialogues durant 9min et un couple de stars moins banal qu’il n’en a l’air.
De «L’Homme qui en savait trop», reste un film d’espionnage distrayant porté par un morceau de bravoure à l’Albert Hall sans dialogues durant 9min et un couple de stars moins banal qu’il n’en a l’air.
January 17, 2024 at 11:45 AM
Hitchcock remake son propre film (sorti en 1934) avec une exécution aussi efficace que quelconque.
De «L’Homme qui en savait trop», reste un film d’espionnage distrayant porté par un morceau de bravoure à l’Albert Hall sans dialogues durant 9min et un couple de stars moins banal qu’il n’en a l’air.
De «L’Homme qui en savait trop», reste un film d’espionnage distrayant porté par un morceau de bravoure à l’Albert Hall sans dialogues durant 9min et un couple de stars moins banal qu’il n’en a l’air.
Complètement envoûté par ce “Pique-nique à Hanging Rock”
Fort de son atmosphère évanescente, la disparition de quatre filles d’un institut privé permet de révéler une société cadenassée et comment les vivants doivent vivre avec l’inexplicable.
Disponible jusqu’au 15 janvier sur @artefr.bsky.social
Fort de son atmosphère évanescente, la disparition de quatre filles d’un institut privé permet de révéler une société cadenassée et comment les vivants doivent vivre avec l’inexplicable.
Disponible jusqu’au 15 janvier sur @artefr.bsky.social
January 9, 2024 at 7:09 PM
Complètement envoûté par ce “Pique-nique à Hanging Rock”
Fort de son atmosphère évanescente, la disparition de quatre filles d’un institut privé permet de révéler une société cadenassée et comment les vivants doivent vivre avec l’inexplicable.
Disponible jusqu’au 15 janvier sur @artefr.bsky.social
Fort de son atmosphère évanescente, la disparition de quatre filles d’un institut privé permet de révéler une société cadenassée et comment les vivants doivent vivre avec l’inexplicable.
Disponible jusqu’au 15 janvier sur @artefr.bsky.social
Avec “Le Cercle des Neiges”, J.A. Bayona fait le choix d’une reconstitution didactique, sublimée par quelques fulgurances esthétiques.
Fort de ses percutantes scènes de crash et d’avalanches, le film s’avère in fine plutôt convenu mais reste une œuvre Netflix convaincante.
***
boxd.it/5xlp4L
Fort de ses percutantes scènes de crash et d’avalanches, le film s’avère in fine plutôt convenu mais reste une œuvre Netflix convaincante.
***
boxd.it/5xlp4L
January 8, 2024 at 10:05 AM
Avec “Le Cercle des Neiges”, J.A. Bayona fait le choix d’une reconstitution didactique, sublimée par quelques fulgurances esthétiques.
Fort de ses percutantes scènes de crash et d’avalanches, le film s’avère in fine plutôt convenu mais reste une œuvre Netflix convaincante.
***
boxd.it/5xlp4L
Fort de ses percutantes scènes de crash et d’avalanches, le film s’avère in fine plutôt convenu mais reste une œuvre Netflix convaincante.
***
boxd.it/5xlp4L
Avec “Marchands de douleur”, Netflix a voulu faire son “Loup de Wall Street” dans le milieu pharmaceutique.
L’histoire en soi est plus intéressante que l’exécution de ce film qui possède la finesse d’un phacochère dans un magasin de porcelaines.
L’histoire en soi est plus intéressante que l’exécution de ce film qui possède la finesse d’un phacochère dans un magasin de porcelaines.
January 5, 2024 at 9:35 AM
Avec “Marchands de douleur”, Netflix a voulu faire son “Loup de Wall Street” dans le milieu pharmaceutique.
L’histoire en soi est plus intéressante que l’exécution de ce film qui possède la finesse d’un phacochère dans un magasin de porcelaines.
L’histoire en soi est plus intéressante que l’exécution de ce film qui possède la finesse d’un phacochère dans un magasin de porcelaines.
Le contrechamp approprié du Elvis de Baz Luhrman, qui brise le mythe à travers le regard d’une ingénue à qui l’on a enlevé la vie trop tôt. Un film bien dans son époque, joliment réalisé mais trop sage pour être mémorable.
Reste ce faux conte de fées qui comblera les fans de Sofia.
boxd.it/5tCVNL
Reste ce faux conte de fées qui comblera les fans de Sofia.
boxd.it/5tCVNL
January 3, 2024 at 12:07 AM
Le contrechamp approprié du Elvis de Baz Luhrman, qui brise le mythe à travers le regard d’une ingénue à qui l’on a enlevé la vie trop tôt. Un film bien dans son époque, joliment réalisé mais trop sage pour être mémorable.
Reste ce faux conte de fées qui comblera les fans de Sofia.
boxd.it/5tCVNL
Reste ce faux conte de fées qui comblera les fans de Sofia.
boxd.it/5tCVNL
Farouchement féministe et socialiste (!), excentrique, cul(otté), Lanthimos y va à fond et ne se gêne pas pour fracasser des portes sans s’essuyer les pieds. Habité par la performance monstrueuse d’Emma Stone, Pauvres Créatures est un objet aussi réjouissant que fucked up.
boxd.it/5sRDMh
boxd.it/5sRDMh
January 2, 2024 at 8:34 AM
Farouchement féministe et socialiste (!), excentrique, cul(otté), Lanthimos y va à fond et ne se gêne pas pour fracasser des portes sans s’essuyer les pieds. Habité par la performance monstrueuse d’Emma Stone, Pauvres Créatures est un objet aussi réjouissant que fucked up.
boxd.it/5sRDMh
boxd.it/5sRDMh