Julganeche - Critique Ciné
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Je critique mais je pourrais pas mieux faire.
ton. C’est à travers leurs yeux que nous explorerons ce royaume rempli d’enchantements, où les aventures d’une journée représentent la quête d’une vie. (4/4)
December 2, 2024 at 1:46 PM
authenticité jubilatoire. RIDDLE OF FIRE prouve son génie dans l’importance qu’il accorde à ses enjeux et dans la crédibilité qu’il insuffle à ses personnages. Ce sont ces petits aventuriers qui donnent le (3/4)
December 2, 2024 at 1:46 PM
propre identité. Le récit trouve sa force dans l’adaptation contemporaine d’un conte de fées totalement assumée, dès la scène d’introduction fantasque où le personnage de Petal nous donne les clés de cet univers de fantasy. Les enfants, dans une merveilleuse harmonie, font preuve d’une (2/4)
December 2, 2024 at 1:46 PM
Now We Are Free de Lisa Gerrard et Hans Zimmer au générique de fin sonne comme un aveu d’échec : Lucius n’arrive pas à la cheville de Maximus. (4/4)
December 2, 2024 at 11:11 AM
une action maitrisée au détriment de tout le reste. Hormis Denzel Washington et sa délicieuse interprétation, elle abandonne toute la profondeur et la complexité du premier film. La présence de la musique (3/4)
December 2, 2024 at 11:11 AM
trouver des similitudes avec le premier GLADIATOR. Attention, il s’agit bel et bien d’une suite : Ridley Scott tient à le rappeler avec un générique d’introduction de mauvais goût et des flashbacks franchement maladroits. Mais cette filiation reste purement théorique. Cette suite privilégie (2/4)
December 2, 2024 at 11:11 AM
d’un style unique. Entre documentaire animalier et fable universelle, FLOW propose une expérience qui réconcilie avec la magie de la salle de cinéma. (4/4)
December 2, 2024 at 11:08 AM
interactions entre ces animaux. La complexité de l’animation crée un équilibre parfait et bluffant avec la sobriété du conte. En se donnant la difficulté de ne pas humaniser ses personnages, le film s’habille (3/4)
December 2, 2024 at 11:08 AM
l’œuvre d’un voile de perfection. L’ingéniosité du silence laisse une place de choix à une composition musicale enivrante, tout en développant un sens de l’immersion d’une efficacité remarquable. L’absence de dialogue implique le public dans la narration : c’est à nous d’imaginer les (2/4)
December 2, 2024 at 11:08 AM
inspirations (THE SHINING, CARRIE, LA MOUCHE, etc.) et à grossir les traits de son message. Appuyée par une mise en scène grandiose et cauchemardesque, Coralie Fargeat remporte le pari de l’excessif. (4/4)
December 2, 2024 at 11:05 AM
malformations qu’il y a d’anomalies dans ce système profondément misogyne. On peut ne pas être réceptif, mais on ne peut pas reprocher au film son caractère outrancier. THE SUBSTANCE n’hésite pas à hurler ses (3/4)
December 2, 2024 at 11:05 AM
féminité décomplexée (sans jamais être sexualisée), la réalisatrice décortique la femme fatale vieillissante. Demi Moore s’avère être le parfait cobaye de cette expérience aussi écœurante que jouissive. L’actrice s’efface derrière ce monstre de Frankenstein moderne et expose autant de (2/4)
December 2, 2024 at 11:05 AM
la légèreté de la vie, chères au cinéma de Zemeckis, sont toujours aussi efficaces. HERE a tout pour être le film testament du maître de la rêverie. (4/4)
December 2, 2024 at 11:03 AM
Zemeckis séduit. En dépit de son immobilité, l’exploration à travers les époques insuffle au film une aura d’aventure omnisciente. Les thématiques de l’héritage, de la fatalité du temps et de (3/4)
December 2, 2024 at 11:03 AM
réalisateur, ce concept aurait échoué, torpillé par un public perfectionniste et avide de précision. Mais sous la houlette de Zemeckis, HERE charme par son audace et sa sincérité. On pardonne les tentatives visuelles souvent ratées et la mollesse de son rythme contemplatif tant l’effet (2/4)
December 2, 2024 at 11:03 AM
le film de porter correctement son message. En dépit de son long périple, le personnage d’Anora ne se défait pas des chaînes masculines devant et derrière la caméra. (4/4)
December 2, 2024 at 11:00 AM
accentue l’aspect comique de ses personnages et de leurs échanges. Mais le perfectionnement technique du réalisateur ne l’empêche pas de tomber dans un male gaze quasi réactionnaire. La sexualisation des corps féminins empêche (3/4)
December 2, 2024 at 11:00 AM
parfaitement un minable petit proxénète responsable de détournement de mineur. Le regard masculin du réalisateur visait juste en se posant sur un personnage éminemment masculin. Avec ANORA, Sean Baker aiguise son sens du montage. Le cinéaste insuffle à sa nouvelle œuvre un rythme effréné et (2/4)
December 2, 2024 at 11:00 AM