Doudou nostalgique et réconfortant, RIDDLE OF FIRE offre une aventure qui ne ressemble à aucune autre. Garni d’une myriade de références esthétiques et thématiques, le premier long-métrage de Weston Razooli parvient à se construire sa (1/4)
Doudou nostalgique et réconfortant, RIDDLE OF FIRE offre une aventure qui ne ressemble à aucune autre. Garni d’une myriade de références esthétiques et thématiques, le premier long-métrage de Weston Razooli parvient à se construire sa (1/4)
Si vous attendez de GLADIATOR II une expérience aussi intense que le premier opus, passez votre chemin. Le péplum magistral qui ouvrait le XXIᵉ siècle s’est vu déterrer pour offrir une suite en demi-teinte. À vrai dire, il est difficile de (1/4)
Si vous attendez de GLADIATOR II une expérience aussi intense que le premier opus, passez votre chemin. Le péplum magistral qui ouvrait le XXIᵉ siècle s’est vu déterrer pour offrir une suite en demi-teinte. À vrai dire, il est difficile de (1/4)
L’animation sublime le cinéma comme aucun autre format. En laissant toute présence humaine de côté, FLOW nous rappelle la pureté d’une histoire lorsqu’elle est libérée des entraves imposées par la nature de l’être humain. La simplicité du récit imprègne (1/4)
L’animation sublime le cinéma comme aucun autre format. En laissant toute présence humaine de côté, FLOW nous rappelle la pureté d’une histoire lorsqu’elle est libérée des entraves imposées par la nature de l’être humain. La simplicité du récit imprègne (1/4)
THE SUBSTANCE fascine autant qu’il répugne, pour notre plus grand plaisir. Avec ce scénario au concept brut et percutant, Coralie Fargeat s’amuse à désosser l’industrie du divertissement pour en révéler ses pires travers. Par le prisme d’une (1/4)
THE SUBSTANCE fascine autant qu’il répugne, pour notre plus grand plaisir. Avec ce scénario au concept brut et percutant, Coralie Fargeat s’amuse à désosser l’industrie du divertissement pour en révéler ses pires travers. Par le prisme d’une (1/4)
Quand Robert Zemeckis s’attaque au rajeunissement numérique, ça promet. Et comme si le défi technique ne suffisait pas, le réalisateur complique l’expérience avec la promesse d’un film statique, en plan fixe, pendant 1h45. Dirigé par n’importe quel autre (1/4)
Quand Robert Zemeckis s’attaque au rajeunissement numérique, ça promet. Et comme si le défi technique ne suffisait pas, le réalisateur complique l’expérience avec la promesse d’un film statique, en plan fixe, pendant 1h45. Dirigé par n’importe quel autre (1/4)
Male Gaze, quand tu nous tiens... Après l’excellent RED ROCKET, Sean Baker jette à nouveau son dévolu sur les travailleuses du sexe. Son précédent film était déjà une critique des dérives causées par une inégalité des rapports de force, où Simon Rex incarnait (1/4)
Male Gaze, quand tu nous tiens... Après l’excellent RED ROCKET, Sean Baker jette à nouveau son dévolu sur les travailleuses du sexe. Son précédent film était déjà une critique des dérives causées par une inégalité des rapports de force, où Simon Rex incarnait (1/4)
Mon plus gros regret, c’est que la comédie musicale n’ait pas surpassé le thriller. Habituellement hermétique à ce genre cinématographique, ma curiosité me conduit de plus en plus vers cette forme d’expression artistique. À l’annonce de ce nouveau (1/4)
Mon plus gros regret, c’est que la comédie musicale n’ait pas surpassé le thriller. Habituellement hermétique à ce genre cinématographique, ma curiosité me conduit de plus en plus vers cette forme d’expression artistique. À l’annonce de ce nouveau (1/4)
Un vent de fraîcheur semble guider le studio Dreamworks dans sa quête du renouveau. Après LES BAD GUYS et LE CHAT POTTÉ 2, l’opposant à Disney affine un style d’animation dont on ne se lasse pas. Qu’elle soit au service de scènes d’action ou de (1/4)
Un vent de fraîcheur semble guider le studio Dreamworks dans sa quête du renouveau. Après LES BAD GUYS et LE CHAT POTTÉ 2, l’opposant à Disney affine un style d’animation dont on ne se lasse pas. Qu’elle soit au service de scènes d’action ou de (1/4)
Après LE GRAND BAIN, Gilles Lellouche revient avec un cinéma encore plus épileptique. Son déluge d’idées de mise en scène explose à l’écran, pour le meilleur comme pour le pire. Certain·es y verront une bouillie clipesque et boursouflée, faisant de (1/4)
Après LE GRAND BAIN, Gilles Lellouche revient avec un cinéma encore plus épileptique. Son déluge d’idées de mise en scène explose à l’écran, pour le meilleur comme pour le pire. Certain·es y verront une bouillie clipesque et boursouflée, faisant de (1/4)
SPEAK NO EVIL offre une vision moderne de l’horreur humaine. L'antagoniste, véritable incarnation de la masculinité toxique, exerce une influence malsaine sur le couple de protagonistes, particulièrement l’homme. James McAvoy, dans un rôle qui rappelle (1/3)
SPEAK NO EVIL offre une vision moderne de l’horreur humaine. L'antagoniste, véritable incarnation de la masculinité toxique, exerce une influence malsaine sur le couple de protagonistes, particulièrement l’homme. James McAvoy, dans un rôle qui rappelle (1/3)
JOKER FOLIE À 2 va déplaire. Cette suite divisera et fera de nombreux déçus, moi y compris. Pourtant, on ne peut pas dire que le film est raté. Todd Phillips semble ne pas avoir apprécié l'accueil triomphal de son premier JOKER, en particulier (1/4)
JOKER FOLIE À 2 va déplaire. Cette suite divisera et fera de nombreux déçus, moi y compris. Pourtant, on ne peut pas dire que le film est raté. Todd Phillips semble ne pas avoir apprécié l'accueil triomphal de son premier JOKER, en particulier (1/4)
2h 20 d’un documentaire sans documentation, c’est dur à avaler. En dépit de sa réalisation stylisée, KAIZEN se démarque rarement. Outre les critiques (légitimes) d’ordre moral que l’on pourrait faire à InoxTag, son film n’a fait qu’effleurer la (1/4)
2h 20 d’un documentaire sans documentation, c’est dur à avaler. En dépit de sa réalisation stylisée, KAIZEN se démarque rarement. Outre les critiques (légitimes) d’ordre moral que l’on pourrait faire à InoxTag, son film n’a fait qu’effleurer la (1/4)
Qu’on aime ou qu’on déteste Zack Snyder, sa vision cinématographique des super-héros n’en est pas moins singulière. Plus que jamais, le metteur en scène aborde son sujet en jouant avec une iconographie épique, à l’esthétique léchée. Son identité rentre (1/4)
Qu’on aime ou qu’on déteste Zack Snyder, sa vision cinématographique des super-héros n’en est pas moins singulière. Plus que jamais, le metteur en scène aborde son sujet en jouant avec une iconographie épique, à l’esthétique léchée. Son identité rentre (1/4)
Monia Chokri joue avec les genres cinématographiques et livre une œuvre hybride, particulièrement touchante. Au fur et à mesure du récit, la réalisatrice transforme sa narration. Les codes se métamorphosent et passent d’une romance ordinaire à (1/4)
Monia Chokri joue avec les genres cinématographiques et livre une œuvre hybride, particulièrement touchante. Au fur et à mesure du récit, la réalisatrice transforme sa narration. Les codes se métamorphosent et passent d’une romance ordinaire à (1/4)
Tout se passait bien. Le film était séduisant. J’avais confiance en lui. Mais il a fallu qu’il sorte de cette fichue salle de concert. Ça faisait une éternité qu’un film ne m’avait pas déçu à ce point. S’il avait été un moyen-métrage de 30 minutes, ma note aurait (1/4)
Tout se passait bien. Le film était séduisant. J’avais confiance en lui. Mais il a fallu qu’il sorte de cette fichue salle de concert. Ça faisait une éternité qu’un film ne m’avait pas déçu à ce point. S’il avait été un moyen-métrage de 30 minutes, ma note aurait (1/4)
Ce “Marvel Jesus” ressemble enfin au film qu’il aurait voulu être depuis 2016. Avec les clés du MCU en main, Deadpool s’affranchit de toutes ses contraintes (ou presque) et embrasse une irrévérence encore jamais atteinte. Mais même une (1/4)
Ce “Marvel Jesus” ressemble enfin au film qu’il aurait voulu être depuis 2016. Avec les clés du MCU en main, Deadpool s’affranchit de toutes ses contraintes (ou presque) et embrasse une irrévérence encore jamais atteinte. Mais même une (1/4)
Après un deuxième volet peu marquant, la saga SANS UN BRUIT a eu l’intelligence de décliner son concept sur plusieurs histoires (à la manière des films CLOVER FIELD). Si la proposition d’immerger le spectateur au cœur d’une cacophonie urbaine (1/5)
Après un deuxième volet peu marquant, la saga SANS UN BRUIT a eu l’intelligence de décliner son concept sur plusieurs histoires (à la manière des films CLOVER FIELD). Si la proposition d’immerger le spectateur au cœur d’une cacophonie urbaine (1/5)
L’avantage d'adapter un récit aussi dense que celui du COMTE DE MONTE CRISTO (en un seul film, qui plus est), c’est que de nombreux choix doivent être faits afin de créer un rythme davantage cinématographique que littéraire. Certaines ellipses (1/4)
L’avantage d'adapter un récit aussi dense que celui du COMTE DE MONTE CRISTO (en un seul film, qui plus est), c’est que de nombreux choix doivent être faits afin de créer un rythme davantage cinématographique que littéraire. Certaines ellipses (1/4)
Faux départ pour le lancement de cette nouvelle épopée.
Avec un bond dans le temps de plus de 300 ans, les bases d’une narration solides doivent être à nouveau posées. Mais cet opus de LA PLANÈTE DES SINGES semble souffrir (1/4)
Faux départ pour le lancement de cette nouvelle épopée.
Avec un bond dans le temps de plus de 300 ans, les bases d’une narration solides doivent être à nouveau posées. Mais cet opus de LA PLANÈTE DES SINGES semble souffrir (1/4)
C’est avec très peu d’espoir que j’ai abordé cette suite. À mes yeux, VICE-VERSA avait imaginé un concept brillant qui se suffisait à lui-même et qui aurait gagné en génie à rester à usage unique. Au-delà de l’ingéniosité que renfermait le film de (1/4)
C’est avec très peu d’espoir que j’ai abordé cette suite. À mes yeux, VICE-VERSA avait imaginé un concept brillant qui se suffisait à lui-même et qui aurait gagné en génie à rester à usage unique. Au-delà de l’ingéniosité que renfermait le film de (1/4)
Quelle bouffée d'air frais d’observer un tel score d'entrées en salle pour ce genre de comédie française. La première réalisation d'Artus est loin d'être exempte de défauts. Son amateurisme cinématographique se fait encore sentir : (1/4)
Quelle bouffée d'air frais d’observer un tel score d'entrées en salle pour ce genre de comédie française. La première réalisation d'Artus est loin d'être exempte de défauts. Son amateurisme cinématographique se fait encore sentir : (1/4)
À la sortie de FURIOSA, je suis partagé entre l'admiration
et l'inquiétude. George Miller est resté le visionnaire inépuisable qu'il est, et parvient même, et c'en est troublant aux vues de son âge avancé, à proposer du neuf en dépit de (1/4)
À la sortie de FURIOSA, je suis partagé entre l'admiration
et l'inquiétude. George Miller est resté le visionnaire inépuisable qu'il est, et parvient même, et c'en est troublant aux vues de son âge avancé, à proposer du neuf en dépit de (1/4)
J'abandonne l'expérience Dupieux. Ses récentes productions, comme AU POSTE ! ou YANNICK, m'ont conquis, mais le bilan que je dresse à la sortie de LE DEUXIÈME ACTE me désespère. Le réalisateur a fait de l'absurde son fer de lance et mène (1/4)
J'abandonne l'expérience Dupieux. Ses récentes productions, comme AU POSTE ! ou YANNICK, m'ont conquis, mais le bilan que je dresse à la sortie de LE DEUXIÈME ACTE me désespère. Le réalisateur a fait de l'absurde son fer de lance et mène (1/4)
Cette fièvre euphorisante que peut atteindre le cinéma de sport n'a définitivement pas pris. En dépit d'un contexte scénaristique prometteur (la faute à un CINQUIÈME SET dont je ne me suis toujours pas remis), le nouveau projet de Luca Guadagnino m'a (1/4)
Cette fièvre euphorisante que peut atteindre le cinéma de sport n'a définitivement pas pris. En dépit d'un contexte scénaristique prometteur (la faute à un CINQUIÈME SET dont je ne me suis toujours pas remis), le nouveau projet de Luca Guadagnino m'a (1/4)