Jonathan Richboy
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Jonathan Richboy
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Cinéphile alcoolique et amateur de sandwichs au thon 🦜🔮
On ressort d’Un simple accident (Jafar Panahi, 2025) avec une telle impression de facilité et d’artificialité qu’on serait presque tenté de prendre le parti du bourreau
October 4, 2025 at 5:50 PM
2046 (Wong Kar-Wai, 2004) : un film comme un cristal, morcelé, ralenti, qui ne représente pas seulement du temps, des instants, mais l’éclat de ses instants, et en ce sens peut être le plus grand film maniériste de l’histoire du cinéma
September 22, 2025 at 10:01 AM
Je suis comme une affiche différente de 2046 chaque jour
September 20, 2025 at 9:54 AM
Alerte plan fellation - dans Autant en emporte le vent
September 11, 2025 at 8:44 PM
THREAD👇👇

Déception face à Sirat (Oliver Laxe, 2025), sensation à Cannes, soit disant il ne faut pas trop en dire alors que le scénario est d'une faiblesse : une mort choc téléphonée et une dérive qui se voudrait métaphysique comme Sorcerer ou le 7e Sceau quand elle se rapproche plutôt de Cube
September 11, 2025 at 9:44 AM
Les films de fantôme sont aussi des histoires d’amour, ici dans Les Autres (Alejandro Amenábar, 2001)
September 11, 2025 at 7:49 AM
Nicole Kidman si froide et si belle, pourtant à chaque scène elle semble sur le point d’éclater en sanglots dans Les Autres (Alejandro Amenábar, 2001)
September 11, 2025 at 7:48 AM
Pure vision d’horreur
September 11, 2025 at 7:48 AM
28 jours plus tard est peut être devenu un film culte, il n’en reste pas moins un pur film de golmons
June 19, 2025 at 2:31 PM
Hanté depuis dix jours par ce merveilleux film, peut-être le plus beau de son auteur : La Griffe du passé (Jacques Tourneur, 1947)
June 17, 2025 at 8:23 PM
Le mal vient d'un passé qui ressurgit - et dans une même logique c'est l'arrière plan qui impose sa fatalité dans La Griffe du passé (Jacques Tourneur, 1947)
June 10, 2025 at 3:14 PM
Je n'ai pas vu grand monde parler de ce beau film d'horreur, beau à pleurer, porté par une tristesse infinie que nous rappelle son titre original "El Llanto" - un cri de larmes - et en français Les Maudites de Pedro Martin-Calero
May 28, 2025 at 11:36 AM
Fish Tank et ses échos de lumières et de couleurs, c'est un film touché par la grâce à ce niveau
May 27, 2025 at 10:08 AM
Lundi au charbon
May 26, 2025 at 6:59 PM
L'horreur est histoire de couleurs et de matières dans From Beyond de Stuart Gordon
May 26, 2025 at 3:04 PM
Le poids du corps, la gravité, le vertige, tout ce qui importe encombre dans ce film qui cherche à regarder plus haut, plus loin que tous les hommes : The Devil’s Bath (Severin Fiala & Veronika Franz, 2024)
May 26, 2025 at 3:03 PM
La fin de The Devil’s Bath transforme le film en petit chef d’œuvre du folk horror - cette fin ce n’est ni une explosion de violence ni un retournement de la situation : c’est la fête, l’horreur dans ce qu’elle a de plus banal, rien d’autre que la croyance soulagée d’un ailleurs
May 26, 2025 at 3:02 PM
J’ai entendu quelques éloges de Harvest mais le film m’a déçu. Il ne traite pas le temps, à tel point qu’il n’a aucun rythme, ni lent ni nerveux ni rien : le film reste seulement l’esclave de son récit. Ensuite parce que ce récit est sursignifiant, on est plongés dans un... 1/2
May 6, 2025 at 10:47 AM
Echanger les "bouleversant" et "terrifiant" des affiches de ciné par un bon vieux : "ce film me donne envie d'avancer la date du jugement dernier"
April 25, 2025 at 1:40 PM
Un peu de fatalité avec Douglas Sirk
April 25, 2025 at 1:17 PM
Finir son film sur le gros puit de pétrole de Papa dans les mains c'est clairement un geste de maître
April 25, 2025 at 1:17 PM
Tout est là dès l'intro d'Ecrit sur du Vent : la violence exacerbée, les couleurs percutantes, les puits de pétrole et la maison bourgeoise en toile de fond. Encore plus belles ces feuilles d'automne qui volent et fouettent les visages : le mélodrame vu comme une peinture
April 25, 2025 at 1:16 PM
Either/Or, à mes yeux toujours l'album des changements et des grandes décisions
April 23, 2025 at 1:55 PM
Vendredi et un film méconnu à faire découvrir :

Más negro que la noche (Carlos Enrique Taboada, 1975, 🇲🇽)

Une histoire d'héritage, de chat noir et des crimes en tout genres
April 18, 2025 at 9:46 AM
Cette étrange scène dans Et la vie continue (Kiarostami, 92) où le père sort de la voiture puis entend un bébé qui pleure au milieu des arbres et s'approche, la mère arrive au loin, c'est comme un rêve qui nous rappelle la frontière fictionnelle de ce film si ancré dans le réel
April 15, 2025 at 12:06 PM