Bonjour,
J'y ai répondu, je me souviens que c'était la veille de votre première relance début mai,
Si toutefois ça n'a pas fonctionné dites moi et je devrais pouvoir le refaire d'ici là,
Bon courage pour la suite !

Il me semble 1918, en Haute-Vienne, si je me rappelle bien Moriceau. Bien que ça change rien au schmilblick.

Je ne crois pas qu'il en ait parlé, j'ai beaucoup pris de notes sur les pistes ouvertes par Jacques Baillon et je ne l'avais pas relevé.
C'est vous qui avez identifié une jeune victime de la Bête de l'hiver 1765 ?

Voilà où j’en suis. L’article est prêt, rédigé selon le format universitaire classique, sourcé de même, mais je ne sais pas quoi en faire ! Est-ce que ça vaut le coup ? Bonnes idées, conseils, contacts, pièces jaunes, je suis preneur… Et gare au voirloup !

L’auteur doit présenter son background et joindre une note biographique, avec programmes d’études… Je n’ai ni cursus ni diplôme ni métier vaguement en rapport ! “Je fAiS dEs ViDéOs SuR YouTube, lol abonnez-vous”, c’est pas fou comme bio.

La taille irait bien pour une “chronique” mais cette fois c’est le sujet qui ne convient pas aux règles éditoriales. De toute façon, même sans ça je ne crois pas pouvoir passer la première étape : la présentation… mais je ne suis personne !

J’avais pensé proposer ça à la revue Études Rurales ( journals.openedition.org/etudesrurales/ ), le thème serait bien adapté mais mon article n’est pas assez dense pour fournir un article selon leurs consignes (à peine la moitié du minimum requis).

Mais après réflexion, je me dis que ça ferait peut-être une publication intéressante ? J’ai donc rédigé un petit article sur cette histoire de “Bête du Pays d’Othe” et de l’origine du voirloup. Et maintenant… eh bien, on en est là ! Comment procéder ?

#trucdeouf Ce terme renvoie clairement au voirloup ! C’est la première trace historique écrite du mythe, et ça n'avait encore jamais été relevé. Pour me passer les nerfs j’ai mis à jour la page Wikipédia consacrée…

Une pauvre gamine d'Isle-Aumont (Aube) n’avait que 13 ans quand elle fut dévorée à la porte d’une maison. Le curé proposa une liste de coupables potentiels, commençant par : “on croit que cette beste est un loup-garou ou voileloup (…)”

J’ai intégré ces données pour une comparaison avec celle du Gévaudan, et pour une analyse plus complète de ce genre de phénomènes (autre projet, bien plus vaste…), mais ma surprise est venue de l’un des actes de sépulture.

Je me suis remonté les manches (et les lunettes surtout). La récolte a été assez bonne dans les registres paroissiaux : 20 victimes entre l’été 1713 et janvier 1714, en 5 mois à peine ! La #Bête du Gévaudan n’a qu’à bien se tenir.