Comment concilier cela ? Simple, l'estimation du gouvernement ne porte que sur les biens, avec une évaluation différente pour les imports et les exports. L'excédent français ds les services (60 mds d'euros) est oublié! Pour en savoir +, voir ce post de blog www.ofce.sciences-po.fr/blog2024/fr/...

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L'intégralité de la prévision de printemps de l'OFCE est sur www.ofce.sciences-po.fr/prev/prev2503/

Avec notre prévision de croissance: pour rappel 0,5% en 2025 et 1,1% en 2026

Pour rappel, vous pouvez retrouver la synthèse des prévisions pour la France ici www.ofce.sciences-po.fr/prev/prev250...

Notre prévisions aurait été assez optimiste sur celui-ci en d'autres circonstances mais Donald Trump en a décidé autrement. Nos hypothèses sont donc très prudentes. 2/2

Votre serviteur a quant à lui écrit sur le commerce extérieur français. 1/2

www.ofce.sciences-po.fr/prev/prev250...

Au menu, une analyse détaillée des mesures du budget 2025 et les prévisions de déficit et dette publique 2/2

Retrouvez également la fiche finances publiques www.ofce.sciences-po.fr/prev/prev250..., par Raul Sampognaro 1/2

Le retour des gains de productivité permettrait un accroissement des marges mais l'investissement serait pénalisé par la forte incertitude.

Dans www.ofce.sciences-po.fr/prev/prev250..., Clémence Briodeau décrit les perspectives des entreprises. 1/2

L'inflation serait seulement de 1,3% en 25 puis de 1,8% en 26.
Le pouvoir d'achat des ménages progresserait lentement en raison notamment des fortes destructions d'emploi

Retour sur la prévision de printemps de l'OFCE, Ds www.ofce.sciences-po.fr/prev/prev250..., Mathieu Plane et Pierre Madec décrivent les évolutions attendues de l'inflation et du pouvoir d'achat des ménages en 2025 et 26.

2) Trump has had the same impact on economic uncertainty as a global pandemic.

De plus, les effets possibles sur la croissance française en 2024 (en cas de révisions) et 2025 ne doivent pas être négligés. Si ces effets se matérialisaient, il faudrait en relativiser la signification économique. 5/

Ce type de configuration rend les comptes à prix chainés difficile à interpréter économiquement. Si l'impact reste quantitativement limité, certains éléments du diagnostic qu'on porte sur la santé de l'économie française (output gap, termes de l'échange) doivent le prendre en compte. 4/

A prix chainés, la baisse de la production d'électricité de 2022, due principalement à la fermeture des centrales nucléaires, est évaluée aux prix bas de 2021 tandis que le rebond de 2023 est lui évalué aux prix nettement plus élevé de 2022. 3/

En 2023, la croissance a été de 1.1 pt à prix chainés mais de seulement 0.5 pt à prix constants. Cet écart particulièrement élevé s'explique essentiellement par la dynamique de la branche énergie. 2/