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#arthropods #science #biology #ecology #biodiversity
#education #nature #environment #edusky #insects

📸 Haute-Loire (France)
À INRAE, plus de 300 projets de recherches ont impliqué des non-scientifiques. Qu'ils soient collecteurs de données ou qu’ils participent plus fortement au processus de recherche, leur implication est très variable. Ces collaborations permettent de faire un lien entre la science et la société.
Les sciences et recherches participatives à INRAE
Les sciences et recherches participatives, c'est la participation de personnes qui ne sont pas des chercheurs professionnels à la production de connaissances. Au-delà des 300 projets de recherche participative conduits à INRAE, l'institut s'engage pour faire connaitre et développer ces pratiques qui contribuent indéniablement au lien entre science et société.   Prix de la recherche participative Les candidatures au Prix de la recherche participative 2026 sont ouvertes jusqu'au 12 janvier 2026   À INRAE, plus de 300 projets de recherches ont impliqué des non-scientifiques. Qu'ils soient collecteurs de données ou qu’ils participent plus fortement au processus de recherche, leur implication est très variable. Mais quel que soit le degré d'investissement des acteurs de la société civile dans nos recherches, ces collaborations permettent de faire un lien entre la science et la société. Il s'agit pour la science de valoriser différentes formes de savoir et d'être au plus près des attentes de la société, et pour la société de mieux appréhender la démarche scientifique, ses contraintes et sa rigueur. « Les sciences et recherches participatives sont des formes de production de connaissances scientifiques auxquelles participent, aux côtés des chercheurs, des acteurs de la société civile, à titre individuel ou collectif, de façon active et délibérée. » Voici la définition des recherches participatives énoncées dans la Charte des sciences et recherches participatives en France signée par des acteurs académiques et associatifs en mars 2017.     Faire science ensemble, la stratégie INRAE 2025-2030 pour les sciences et recherches participatives   [...]
sco.lt
November 30, 2025 at 7:28 PM
Ce guide répond aux besoins d’accompagnement dans l’utilisation de ces outils au quotidien. Il rappelle les principes essentiels, les points de vigilance, les usages possibles, les risques et les cadres réglementaires.
Recommandations sur le bon usage des assistants à base d’intelligences artificielles génératives
INRAE publie un guide à destination de ses agents pour un usage éclairé des assistants à base d'intelligence artificielle générative (IAG). Ce document présente les risques et impacts à considérer, ainsi que des recommandations pour une utilisation professionnelle responsable. À travers divers cas d'usage, il permet de mieux appréhender les opportunités et les défis liés à ces technologies.     Les assistants à base d'intelligences artificielles génératives suscitent un intérêt croissant, mais soulèvent également des questions éthiques et pratiques. Ce guide répond aux besoins d’accompagnement dans l’utilisation de ces outils au quotidien. Il rappelle les principes essentiels, les points de vigilance, les usages possibles, les risques et les cadres réglementaires, afin d’encourager une utilisation responsable, efficace  et conforme aux valeurs d’INRAE.   Pour aller à l'essentiel, le guide est accompagné de deux notices pratiques.     Sur les usages dans l’enseignement • La CNIL a publié des conseils sur l’usage de l’IA dans l’enseignement : https://www.cnil.fr/fr/deux-faq-utilisation-des-systemes-dia-scolaire • Le ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a publié en juin 2025 le cadre d’usage de l’intelligence artificielle en éducation : https://www.education.gouv.fr/publication-du-cadre-d-usage-de-l-intelligence-artificielle-en-education-450652  
science-ouverte.inrae.fr
November 30, 2025 at 7:15 PM
Le radon se trouve naturellement dans le sol. Il s’infiltre dans nos habitations, mettant en danger notre santé. Il est la principale cause de cancer du poumon après le tabagisme.
Rénover sans risque, les étapes pour mesurer et éliminer le radon | RTS
Présent dans nos habitations, le radon est un gaz naturel et radioactif responsable de 200 à 300 décès par cancer du poumon chaque année en Suisse. La prise en compte de ce facteur cancérigène lors de la rénovation énergétique des bâtiments est capitale.   Publié lundi à 14:29 Modifié mardi à 10:26   Le radon se trouve naturellement dans le sol. Il s’infiltre dans nos habitations, mettant en danger notre santé. Il est la principale cause de cancer du poumon après le tabagisme.  
sco.lt
November 30, 2025 at 6:59 PM
Les changements globaux de la flore au fil du temps ont considérablement influencé les trajectoires évolutives des hémiptères.
Diversification and extinction of Hemiptera in deep time | L’Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité
Une équipe de chercheurs de l’ISYEB et d’Oxford University Museum of Natural History publie un article dans Communications biology vol8. qui démèle les dynamiques et les facteurs de diversification du groupe d’insectes méga-diversifié des Hémiptères. Boderau, M., Nel, A., & Jouault, C. (2025). Diversification and extinction of Hemiptera in deep time. Communications Biology, 8(1), 352. (Open Access.) https://doi.org/10.1038/s42003-025-07773-x   ------ ndé traduction du résumé   Démêler les schémas et les facteurs à l'origine de la diversification et de l'extinction des lignées hautement diversifiées reste un défi en biologie évolutive. Si la diversification des insectes a été largement étudiée à travers les « quatre grands » ordres d'insectes (Coleoptera, Hymenoptera, Lepidoptera et Diptera), le cinquième ordre le plus diversifié, Hemiptera, a souvent été négligé.   Les hémiptères présentent un riche patrimoine fossile et sont très diversifiés dans les écosystèmes actuels, de nombreuses lignées étant étroitement associées à leurs plantes hôtes, ce qui en fait un groupe crucial pour étudier comment les changements écologiques passés, tels que les extinctions massives et les changements floraux, ont influencé la diversification des insectes.   Cette étude s'appuie sur des modèles de naissance-mort dans un cadre bayésien et sur le patrimoine fossile des hémiptères pour estimer leur dynamique de diversité passée. Nos résultats révèlent que les changements globaux de la flore au fil du temps ont considérablement influencé les trajectoires évolutives des hémiptères.   Deux bouleversements faunistiques majeurs ont particulièrement influencé la diversification des hémiptères : (i) les conséquences de l'extinction massive du Permien-Trias et (ii) la révolution terrestre des angiospermes. Nos analyses suggèrent que la diversification des clades d'hémiptères a été motivée par des changements floristiques combinés à des pressions concurrentielles provenant de niches écologiques qui se chevauchaient. L'exploitation des archives fossiles exhaustives des hémiptères nous a permis d'affiner notre compréhension des modèles de diversification parmi les principales lignées d'hémiptères.   Traduit avec DeepL.com (version gratuite)   image : Bayesian inferences of correlation parameters on origination (left panel) and extinction (right panel) for Hemiptera (genus- and family-level analyses) with the set of abiotic and biotic variables: Clade Diversity-dependence; Angiosperms; Gymnosperms, Polypodiales ferns, Spore plants, Temperature and Polypodiales ferns.  
sco.lt
November 29, 2025 at 6:57 PM
Une exposition à partir de photographies du Museum national d’histoire naturelle qui éclaire la vie de ce personnage hors du commun, apprécié aujourd’hui jusqu’au Japon.
Du mercredi 21 janvier 2026 au samedi 09 mai 2026
Jean-Henri Fabre, Homère des insectes – exposition Bibliothèque André Malraux Paris 21 janvier 2026
Jean-Henri Fabre, Homère des insectes - exposition Bibliothèque André Malraux Paris une exposition à partir de photographies du Museum national d'histoire naturelle qui éclaire la vie de ce personnage hors du commun, apprécié aujourd'hui jusqu'au Japon   Visite commentée mercredi 11 février à 16h par Yves Cambefort, entomologiste du MNHN.   Une exposition à partir de photographies du Museum national d’histoire naturelle qui éclaire la vie de ce personnage hors du commun, apprécié aujourd’hui jusqu’au Japon   Du mercredi 21 janvier 2026 au samedi 09 mai 2026  
sco.lt
November 29, 2025 at 6:30 PM
"En se qualifiant de naturaliste, plutôt que de paléontologue, l’auteur appuie sur son intérêt pour l’histoire naturelle, qui comprend la discipline dont il s’est fait une spécialité, mais englobe plus largement toutes les sciences qu’il pratiquait."
On a lu « Dinosaures, crocodiles et coccinelles », les joyeuses tribulations du naturaliste Philippe Taquet
Décédé en novembre, le paléontologue à l’origine de la Grande Galerie de l’évolution raconte dans son ultime livre les grandes lignes de son parcours de chercheur, émaillées d’anecdotes et de petites confidences   Par Isabelle de Montvert-Chaussy 25 novembre 2025 Mis à jour le 28/11/2025 à 19h01.   image : Philippe Taquet en 2014, sur le site d’Angeac (16), important gisement d’os de sauropodes. Archives « Sud Ouest »   ------ ndé complément   Le paléontologue Philippe Taquet raconte les pérégrinations d’un chercheur d’os, 23.10.2025 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2025/10/23/le-paleontologue-philippe-taquet-raconte-les-peregrinations-d-un-chercheur-d-os_6649008_1650684.html   Extrait : Pesticides à six pattes Des dinosaures, des crocodiles… Et les coccinelles qui complètent le titre de ce livre, direz-vous ? Le naturaliste rappelle que la charmante bête à Bon Dieu est « un redoutable prédateur, dont les larves et les adultes se nourrissent principalement des pucerons qui prolifèrent sur les arbres fruitiers, la vigne, les cultures légumières et ornementales ».   D’où l’intérêt d’étudier ces pesticides à six pattes dans leur habitat naturel, dans le Vaucluse. Normal. Moins banal fut le coup de téléphone que Philippe Taquet, alors directeur du MNHN, reçut de la gendarmerie, laquelle pensait avoir arrêté de dangereux espions, en fait des chercheurs du Muséum qui avaient posé leurs pièges à coccinelles au bord du plateau d’Albion, non loin du site abritant les missiles intercontinentaux français…  
sco.lt
November 29, 2025 at 6:23 PM
Le commissaire européen à la Santé a carrément proposé que les autorisations de mise sur le marché des insecticides, herbicides et autres fongicides soient délivrées ad vitam aeternam. Actuellement, le droit de commercialiser un pesticide est accordé pour dix à quinze ans seulement.
Pesticides : L'agrochimie fête la fin des haricots
Le commissaire européen à la Santé va soumettre à la mi-décembre une idée mortelle aux agences sanitaires de l'Union : les pesticides mis sur le marché seront……   Publié le 25 novembre 2025 Par Jérôme Canard   "... les pesticides mis sur le marché seront désormais autorisés ad vitam æternam. Et tant pis si de nouvelles données scientifiques rebattent les cartes !   Sonnez, bidons ! Les fabricants de pesticides additionnent les bonnes nouvelles.   Pour Noël, Bruxelles leur prépare un joli cadeau. Le commissaire européen à la Santé, le hongrois Olivér Várhelyi, a carrément proposé que les autorisations de mise sur le marché des insecticides, herbicides et autres fongicides soient délivrées ad vitam aeternam. Actuellement, le droit de commercialiser un pesticide est accordé pour dix à quinze ans seulement. S’il veut continuer de vendre son produit, l’industriel doit déposer une nouvelle demande, qui sera passée au crible par les agences sanitaires de l’Union européenne. Cette chouette idée poussée par ce proche du Premier ministre hongrois (...)"
sco.lt
November 29, 2025 at 6:00 PM
Les collections sont conservées au centre de ressources du musée à Rouen.
Créé en 1879 par Jules Ferry, le Munaé offre la plus grande collection de patrimoine éducatif en Europe avec plus 950 000 objets et documents. Un parcours permanent et des expositions temporaires permettent de la découvrir.
Les collections du Musée national de l'Éducation consultables en ligne 
À la fois catalogue et base d’images d’une grande richesse, dans les domaines de l’histoire de l’éducation et de l’histoire de l’enfance, le site web du Musée national de l’Éducation permet d'explorer ses collections en ligne, en partie numérisées.   L’internaute accèdera ici aux informations patrimoniales et documentaires qui accompagnent les objets et documents. Pour approfondir sa visite, il pourra venir consulter les collections au centre de ressources du musée à Rouen où celles-ci sont conservées, ou encore fréquenter son centre d’expositions.   ------ ndé matériel didactique > Henry Gillet > 1901 > Album de la décoration, 3e volume. Tapisserie.     image : Art Nouveau lithograph of butterflies and insects from the 1901 "Album De La Decoration", France.   Album de la décoration, 3e volume. Tapisserie., Musée National de l'Éducation, Les collections du Musée national de l'Éducation https://www.munae.fr/collections-en-ligne/fr/museum/mne/album-de-la-decoration-3eme-volume-tapisserie/62882e28c07506d9ad8c237e   ------ via ArtNouveauDeco on X: "Art Nouveau lithograph of butterflies and insects from the 1901 "Album De La Decoration", France. https://t.co/g873epgSAt" / X, 26.11.2025 https://x.com/NouveauDeco/status/1993737433574461885  
www.munae.fr
November 29, 2025 at 5:45 PM
Les observations ont confirmé la présence d'insectes adultes de Stegobium paniceum, dont certains vivants, a indiqué jeudi le MHNG. Des dommages localisés et superficiels ont été observés sur les collections, notamment au niveau des ailes d'oiseaux naturalisés.
Le Muséum d'histoire naturelle de Genève lutte contre un insecte ravageur | RTS
Un foyer d'infestation de la vrillette du pain a été découvert le 24 septembre au Muséum d'histoire naturelle de Genève (MHNG) lors d'un contrôle régulier. La présence de cet insecte ravageur est limitée à la galerie "Faune de Suisse". Des mesures urgentes de sauvegarde ont été prises.   ther avec ats Publié à 07:36 Modifié à 07:42     "Les observations ont confirmé la présence d'insectes adultes de Stegobium paniceum, dont certains vivants, a indiqué jeudi le MHNG. Des dommages localisés et superficiels ont été observés sur les collections, notamment au niveau des ailes d'oiseaux naturalisés. "Nous n'avons pas vu de larve active, mais le niveau d'infestation a été atteint", a précisé le directeur du MHNG Arnaud Maeder." (...)   "... Cette situation pourrait repousser les réaménagements des galeries et la réouverture du Muséum d'histoire naturelle, prévue pour septembre 2026. Une opération similaire avait été menée en 2023, dans les herbiers des Conservatoire et Jardin botanique de Genève, infestés par un autre insecte ravageur, le Lasioderma du tabac."   ------ ndé   image : La vrillette du pain est une espèce proche de la petite vrillette (Anobium punctatum), insecte ravageur du bois, qui s'en distingue par sa teinte nettement plus foncée et sa tête capuchonnée. Elle est parfois confondue avec la vrillette du tabac (Lasioderma serricorne) qui s'attaque également aux stocks de denrées alimentaires ; ces deux espèces peuvent être différenciées par l'aspect de leurs antennes et de leurs élytres.   via Stegobium paniceum — Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Stegobium_paniceum  
sco.lt
November 28, 2025 at 7:10 PM
Eric Vallé, conservateur de la réserve naturelle nationale de la vallée de Chaudefour située dans le Massif du Sancy, propose un diaporama sur la découverte de la flore exceptionnelle de cette vallée glaciaire et sur les plantes visitées par les insectes.
Les fleurs et les insectes en moyenne montagne au programme d'Université pour tous au Puy-en-Velay
La prochaine conférence d'Université pour tous portera le jeudi 4 décembre à 14 h 45 au Ciné Dyke sur "Les Fleurs et les insectes en moyenne montagne" par Eric Vallé, conservateur de la réserve nationale naturelle de la vallée de Chaudefour.   vendredi, 28 novembre 2025 06:51   "Eric Vallé, conservateur de la réserve naturelle nationale de la vallée de Chaudefour située dans le Massif du Sancy, propose un diaporama sur la découverte de la flore exceptionnelle de cette vallée glaciaire et sur les plantes visitées par les insectes." (...)   "... vous serez étonnés par la Pédiculaire feuillée, plante hémi-parasite, par le Thym serpolet, espèce qui émet des substances toxiques pour éliminer les autres plantes qui sont à ses côtés, par l’Alisier Blanc dont les fruits donnent le sorbitol, ainsi que par le Trolle d’Europe qui a créé une mutualisation avec de petites mouches du genre Chiastocheta pour se reproduire." (...)
sco.lt
November 28, 2025 at 6:22 PM
Lutte contre l’achat de produits phytopharmaceutiques – PPP - dont la détention et l’usage sont interdits en France : il s’agit à la fois de rappeler aux acheteurs l’interdiction d’acquérir et d’utiliser ces produits et de les sensibiliser aux enjeux associés sur la santé et la biodiversité.
Malgré l’interdiction de certains pesticides en 2019, 3 000 litres saisis chez des particuliers
Les quantités de produits phytosanitaires saisis représentent 1 000 hectares de surfaces traitées, soit près de 1 500 terrains de foot selon un dosage standard du produit, affirme l’Office français de la biodiversité, qui effectue des contrôles depuis le début d’année.   Le Monde avec AFP Publié hier à 17h40   ------ ndé le communiqué   Lutte contre l’achat de produits phytopharmaceutiques – PPP - dont la détention et l’usage sont interdits en France : bilan de la campagne nationale de contrôles - 27.11.2025 https://ofb.gouv.fr/sites/ofb-gouv-fr/files/2025-11/cp-bilan_flamenco_2025_vdef.pdf   Depuis le 1er janvier 2019, il est interdit aux particuliers et aux professionnels non agréés d’acheter ou d’utiliser, dans les jardins, potagers, balcons, terrasses et plantes d’intérieur, des produits phytopharmaceutiques de synthèse. La vente de ces produits en jardineries et dans les rayons spécialisés de la grande distribution a été arrêtée. Or, il est encore fréquent que des sites de vente en ligne proposent illégalement et de manière frauduleuse ces produits à la vente.   Au-delà du constat des infractions et des réponses judiciaires qui seront apportées de manière graduelle par les parquets, il s’agit aussi à travers cette opération de rappeler aux acheteurs l’interdiction d’acquérir et d’utiliser ces produits et indirectement de les sensibiliser aux enjeux associés sur la santé et la biodiversité.
sco.lt
November 28, 2025 at 6:10 PM
Paru au Journal officiel de l'UE du 26 novembre 2025, le "règlement (UE) 2024/1991 impose aux États membres d’améliorer la diversité des pollinisateurs et d’inverser le déclin des populations de pollinisateurs d’ici à 2030 au plus tard".
Pollinisateurs : la Commission européenne publie le dispositif de surveillance
Le dispositif était prévu par le règlement sur la restauration de la nature du 24 juin 2024 qui fixe l'objectif d'inverser le déclin des pollinisateurs d'ici à 2030. La Commission européenne a publié, ce mercredi 26 novembre, au Journal officiel d   Reproduction interdite sauf accord de l'Éditeur ou établissement d'un lien préformaté [47145] / utilisation du flux d'actualité.   ------ ndé Journal officiel, 26 novembre 2025   Règlement délégué (UE) [...] établissant une méthode scientifique de surveillance de la diversité des pollinisateurs et des populations de pollinisateurs - 2025/2188 - FR - EUR-Lex https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=OJ:L_202502188   Date de prise d'effet: 16/12/2025   (1) Le règlement (UE) 2024/1991 impose aux États membres d’améliorer la diversité des pollinisateurs et d’inverser le déclin des populations de pollinisateurs d’ici à 2030 au plus tard, puis d’obtenir une tendance à l’augmentation de ces populations, mesurée au moins tous les six ans à partir de 2030, jusqu’à ce que des niveaux satisfaisants soient atteints. (2) La Commission est tenue d’établir une méthode scientifique pour surveiller la diversité des pollinisateurs et les populations de pollinisateurs (ci-après la «méthode de surveillance») qui fournit une approche normalisée pour la collecte de données annuelles sur l’abondance et la diversité des espèces de pollinisateurs dans tous les écosystèmes, ainsi que pour l’évaluation de l’évolution des populations de pollinisateurs et de l’efficacité des mesures de restauration. (3) Le règlement (UE) 2024/1991 impose aux États membres de surveiller chaque année, à l’aide de la méthode de surveillance, l’abondance et la diversité des espèces de pollinisateurs et de communiquer les résultats de cette surveillance à la Commission. (4) Afin de faire en sorte que les données collectées soient de haute qualité et, partant, de garantir une évaluation solide sur le plan scientifique des progrès accomplis dans la réalisation de l’objectif de restauration des populations de pollinisateurs, la méthode de surveillance devrait être fondée sur des principes et des méthodes scientifiques établis. Bien qu’elle soit normalisée dans l’ensemble des États membres, la méthode de surveillance devrait laisser une marge de manœuvre suffisante pour que les conditions environnementales locales puissent être prises en compte. (5) Le champ d’application de la méthode de surveillance devrait inclure les groupes taxonomiques de pollinisateurs pour lesquels les capacités techniques de surveillance sont suffisantes ou pour lesquels de telles capacités peuvent être constituées de manière rentable à court terme. Le champ d’application devrait être revu et étendu à d’autres groupes taxonomiques de pollinisateurs une fois que les capacités techniques auront augmenté. (6) Pour faire en sorte que la méthode de surveillance présente un bon rapport coût-efficacité, il convient d’utiliser diverses approches pour surveiller les espèces communes et les espèces rares de pollinisateurs. Les espèces communes devraient être surveillées dans des sites sélectionnés par échantillonnage aléatoire stratifié. Les espèces rares de pollinisateurs devraient être surveillées au moyen de visites ciblées sur le terrain, étant donné qu’il n’est pas possible de suivre l’évolution des populations de ces espèces par échantillonnage aléatoire stratifié dans un nombre limité de sites de surveillance. (7) Compte tenu des capacités limitées disponibles pour surveiller les espèces rares de pollinisateurs au moyen de visites ciblées sur le terrain, il convient de concentrer les efforts sur les espèces les plus menacées au niveau de l’Union ou au niveau national; les États membres devraient ainsi être autorisés à limiter la surveillance à 15 espèces rares de pollinisateurs. Le nombre d’espèces rares de pollinisateurs à surveiller devrait être revu à la hausse une fois que les capacités de surveillance ciblée auront augmenté. (8) Le règlement (UE) 2024/1991 impose aux États membres de veiller à ce que les données de surveillance proviennent d’un nombre suffisant de sites pour garantir que l’ensemble de leur territoire soit représenté. À cette fin, et pour que l’évolution de l’abondance et de la diversité des pollinisateurs puisse être évaluée de manière fiable, il est nécessaire de fixer pour chaque État membre un nombre minimal de sites de surveillance dans lesquels les données doivent être collectées. L’établissement de ce nombre minimal permettra aux États membres de surveiller un plus grand nombre de sites de surveillance afin de mieux détecter les variations dans l’abondance et la diversité des pollinisateurs. (9) L’activité des pollinisateurs est influencée par diverses conditions environnementales, qui dépendent des circonstances locales. Par conséquent, la surveillance devrait être limitée aux périodes pendant lesquelles les pollinisateurs sont actifs au stade adulte de leur cycle de vie. Les conditions environnementales appropriées pour la surveillance devraient être définies au niveau national, régional ou local, selon le cas. (10) La diversité des espèces communes de pollinisateurs devrait être décrite au moyen de l’indice de diversité de Shannon-Wiener (2), qui est largement accepté pour quantifier la diversité biologique. L’abondance des espèces communes de pollinisateurs devrait être quantifiée en combinant les indices d’abondance de chacune des espèces de pollinisateurs pour lesquelles des données de surveillance suffisantes ont été recueillies. (11) Il convient de combiner l’abondance et la diversité de toutes les espèces communes surveillées en un seul indicateur «pollinisateurs communs», qui donne une valeur par État membre et par an. (12) Les espèces exotiques, au sens du règlement (UE) no 1143/2014 du Parlement européen et du Conseil (3), ne devraient pas être prises en compte dans l’évaluation de l’abondance et de la diversité des espèces de pollinisateurs, étant donné que la présence de ces espèces ne peut être considérée comme une contribution aux communautés indigènes de pollinisateurs; elle représente plutôt une menace pour la biodiversité. (13) Étant donné que l’indice de diversité de Shannon-Wiener n’est pas approprié pour mesurer la diversité des espèces rares, il convient, pour représenter la diversité globale des espèces de pollinisateurs, tant communes que rares, d’intégrer les espèces rares de pollinisateurs dans l’évaluation de la diversité des pollinisateurs au moyen d’un indicateur «richesse des espèces de pollinisateurs», à savoir un indicateur combinant le nombre d’espèces de pollinisateurs rares et communes enregistrées dans chaque État membre. La surveillance des espèces rares devrait exclure les papillons de nuit, car la charge que représente la surveillance de ces espèces ne peut pas être estimée en raison de l’absence, à ce jour, d’évaluations de la liste rouge pour les papillons de nuit. (14) Afin d’évaluer l’efficacité des mesures de restauration mises en œuvre dans les États membres, il y a lieu d’estimer l’évolution de l’abondance et de la diversité des espèces de pollinisateurs respectivement dans les écosystèmes agricoles, les écosystèmes forestiers et dans d’autres écosystèmes, étant donné que les mesures de restauration sont sensiblement différentes dans chacun de ces types d’écosystèmes, A ADOPTÉ LE PRÉSENT RÈGLEMENT:   Article premier Définitions Aux fins du présent règlement, on entend par: 1) «abeilles»: les espèces d’Anthophila (Apoidea), à l’exclusion des abeilles mellifères (Apis mellifera); 2) «syrphes»: les espèces de Syrphidae; 3) «papillons»: les espèces de Papilionoidea; 4) «papillons de nuit»: les espèces appartenant aux familles suivantes d’Heterocera: Brachodidae, Castniidae, Cimeliidae, Drepanidae, Erebidae (y compris les Lymantriinae), Euteliidae, Geometridae, Heterogynidae, Limacodidae, Noctuidae, Nolidae, Notodontidae, Sesiidae, Sphingidae, Uraniidae et Zygaenidae, à condition qu’elles fassent 20 mm ou plus d’envergure d’après la littérature spécialisée; 5) «papillons de nuit diurnes»: les espèces de papillons de nuit qui sont actives en journée au stade adulte de leur cycle de vie; 6) «papillons de nuit nocturnes»: les espèces de papillons de nuit qui sont actives la nuit au stade adulte de leur cycle de vie; 7) (...)   Article 2 Espèces cibles Les États membres collectent des données sur l’abondance et la diversité des espèces de pollinisateurs appartenant aux groupes taxonomiques suivants: a) abeilles; b) syrphes; c) papillons; d) papillons de nuit.   (...)
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November 28, 2025 at 10:10 AM
Des chercheurs de l’Université de Sydney et du Max-Planck-Institut ont découvert que la synchronisation dépend du type de “chemins” possibles dans un réseau. Plus il y a de parcours convergents dans un réseau, plus il est difficile pour le réseau de se synchroniser.
Ce qu'ont en commun des neurones, des lucioles et une danse en ligne : une nouvelle étude dévoile les mathématiques cachées derrière la synchronisation
Synchronicity is all around us, but it is poorly understood. Jürgen Jost, Joseph Lizier, and colleagues have now developed new tools to understand how human and natural networks fall in and out of sync.   Press Release “What Do Neurons, Fireflies and Dancing the Nutbush Have in Common?”: MPI MIS   ------ ndé résumé vulgarisé de l'article   Pourquoi des lucioles brillent-elles toutes ensemble, pourquoi nos neurones peuvent-ils se synchroniser jusqu’à provoquer une crise d’épilepsie, et pourquoi une foule de danseurs peut-elle soudain perdre le rythme ? 👉 Parce que se synchroniser – ou perdre la synchro – dépend profondément de la manière dont les individus sont connectés dans un réseau. Une énigme omniprésente mais mal comprise La synchronisation est partout : lucioles qui clignotent, battements du cœur, neurones qui s’activent, personnes qui applaudissent ensemble, groupes sur les réseaux sociaux. Mais les mécanismes qui rendent la synchro facile… ou difficile… restaient mystérieux. Une percée mathématique Des chercheurs de l’Université de Sydney et du Max-Planck-Institut ont découvert que la synchronisation dépend du type de “chemins” possibles dans un réseau. Ils ont étudié ce qu’ils appellent des “marches jumelées” (paired walks) : On part d’un même point dans le réseau. On fait deux parcours aléatoires d’un certain nombre d’étapes. Les deux parcours peuvent : 🔁 converger vers le même point, ↔️ diverger vers deux points différents. La découverte clé ➡️ Plus il y a de parcours convergents dans un réseau, plus il est difficile pour le réseau de se synchroniser. Un paradoxe apparent… mais aux implications majeures.   Cette principale conclusion est que plus les marches jumelées d’un réseau ont tendance à converger, plus la synchronisation y est de mauvaise qualité.   « On peut même établir une analogie avec les réseaux sociaux et le phénomène des chambres d’écho », ajoute le co-auteur Jürgen Jost, dont le groupe étudie également la dynamique des réseaux sociaux. « Nous voyons des sous-groupes renforcer leurs propres messages, grâce à des marches convergentes à l’intérieur de leur groupe, sans nécessairement se synchroniser avec la population générale. »   Ces résultats représentent une avancée majeure dans la théorie expliquant comment la structure des réseaux complexes affecte leur dynamique ou leur capacité à calculer, comme la manière dont la structure du cerveau sous-tend la cognition. via ChatGPT   ------ l'étude   Analytic relationship of relative synchronizability to network structure and motifs | PNAS, 05.09.2023 https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2303332120   ------ lire aussi (en anglais)   Fireflies, brain cells, dancers: new synchronisation research shows nature’s perfect timing is all about connections - 07.09.2023 https://theconversation.com/fireflies-brain-cells-dancers-new-synchronisation-research-shows-natures-perfect-timing-is-all-about-connections-212708  
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November 27, 2025 at 7:46 PM
Des biologistes de l’université Tunghai (Taïwan) ont découvert que les araignées Psechrus clavis laissent briller les lucioles mâles capturées dans leur toile, appâtant ainsi d’autres insectes vers leur piège.
Ces araignées tropicales qui piègent les lucioles
Dans les forêts taïwanaises, une araignée colorée, Psechrus clavis, transforme ses victimes en appâts vivants. Des biologistes de l’université Tunghai (Taïwan) ont découvert que ces tisseuses nocturnes laissent briller les lucioles mâles capturées dans leur toile, appâtant ainsi d’autres insectes vers leur piège.   Sybille Buloup Publié le 26 novembre 2025 (abonnés)   image : Elizaveta Efimova/Getty Images   ------ ndé l'étude   Prey bioluminescence‐mediated visual luring in a sit and wait predator - Yip - Journal of Animal Ecology (2025)  
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November 27, 2025 at 6:40 PM
"Une jolie petite guêpe parasitoïde en train de choisir l'œuf qui siéra le mieux au développement de sa progéniture." | Evelyndroid's Aperture Séance and Spooky Spood-Finding 🏳️‍⚧️🕷️
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Choisir les bons œufs ! – @apsciencebylyn on Tumblr
She shopping for eggs 🥹 (Eupelmid wasp, and her host's eggs. She couldn't decide which ones she wanted. Tyranny of choice)   ------ via Post de @adrienbalg.bsky.social — Bluesky https://bsky.app/profile/adrienbalg.bsky.social/post/3m6lzqajcts2b   "Une jolie petite guêpe parasitoïde en train de choisir l'œuf qui siéra le mieux au développement de sa progéniture."
sco.lt
November 27, 2025 at 5:46 PM
Cimex hemipterus, une punaise tropicale, peut constituer une source d’ADN humain en contexte judiciaire.
Absentes des investigations classiques faute de traces visibles, ces punaises pourraient néanmoins porter dans leur tube digestif l’ADN du dernier hôte humain qu’elles ont piqué.
Punaises de lit : une nouvelle arme pour la police scientifique ?
Les punaises de lit pourraient devenir de précieuses sources d’ADN humain sur les scènes de crime. Une avancée inédite en police scientifique   6 juillet 2025   "Une chercheuse et un chercheur malaisiens ont exploré l’intérêt des punaises de lit tropicales, Cimex hemipterus, comme nouvelles sources d’ADN humain en contexte judiciaire. Absentes des investigations classiques faute de traces visibles, ces punaises pourraient néanmoins porter dans leur tube digestif l’ADN du dernier hôte humain qu’elles ont piqué. Cette étude visait à déterminer si et pendant combien de temps un profil ADN exploitable pouvait être extrait du contenu sanglant de ces insectes, notamment via des marqueurs génétiques STR (Short Tandem Repeat) et SNP (Single Nucleotide Polymorphism). Méthodologie et résultats Des colonies de punaises de lit élevées en laboratoire ont été nourries sur des volontaires humains, puis sacrifiées à différents intervalles (0, 5, 14, 30 et 45 jours après repas sanguin). L’ADN a été extrait et soumis à des analyses STR et SNP selon les standards forensiques. Les résultats sont clairs : un profil STR et SNP complet n’a pu être obtenu que le jour même du repas (0 jour), tandis que des profils partiels, certes plus fragmentaires, restaient obtenables jusqu’à 45 jours post‑repas. Les SNP utilisés pouvaient être interprétés avec le système HIrisPlex‑S, permettant notamment des prédictions de phénotypes (couleur des yeux, peau, cheveux) même à partir de données partielles. En outre, des punaises collectées sur le terrain ont corroboré la faisabilité des marqueurs STR, révélant parfois des profils mixtes, ce qui pourrait indiquer un repas sur plusieurs individus . Implications légales et perspectives Ces résultats ouvrent une piste inédite pour la criminalistique : lorsque les traces biologiques classiques ont disparu ou ont été nettoyées, des punaises de lit pourraient rester sur les lieux et constituer des micro‑réservoirs d’ADN humain fiables, permettant d’identifier des personnes venues sur les lieux ou d’établir une chronologie de passages . Cependant, plusieurs limitations doivent être prises en compte. D’abord, les analyses sont longues et nécessitent un protocole rigoureux. Le profil devient partiel après quelques jours et certaines loci ne sont plus détectables. De plus, lorsqu’un insecte a ingéré du sang de plusieurs personnes, les signaux génétiques peuvent être mélangés, rendant l’interprétation plus complexe.   Les auteurs soulignent la nécessité de valider ces résultats sur des échantillons plus variés, avec davantage d’individus donneurs et différents kits STR/SNP commerciaux. Des essais in situ sur scènes de crime simulées seraient également souhaitables pour confirmer la robustesse de la méthode, notamment en lien avec d’autres insectes ou intermédiaires biologiques considérés en entomologie médico‑légale . Conclusion En résumé, cette étude démontre qu’on peut exploiter l’ADN humain conservé dans l’estomac de punaises de lit tropicales jusqu’à 45 jours après le repas, grâce à l’analyse STR et SNP. Bien que seule une extraction immédiate permette un profil complet, ces insectes constituent une ressource nouvelle et prometteuse pour la police scientifique, notamment dans les contextes où les méthodes traditionnelles échouent. Toutefois, l’approche exige des protocoles rigoureux, plus d’études de validation et une modélisation réaliste des scènes d’enquête avant toute utilisation judiciaire. Des recherches complémentaires permettront de déterminer comment intégrer cette stratégie au panel des outils forensiques à disposition des enquêteurs et scientifiques."   Human profiling from STR and SNP analysis of tropical bed bug, Cimex hemipterus, for forensic science | Lim Li et al. |Scientific Reports, 27.01.2023 https://www.nature.com/articles/s41598-023-28774-y   Photo: Isabelle Leong Agence France-Presse «On peut dire que [les punaises] sont parfaites comme outil médico-légal», explique la chercheuse Lim Li.   via Des scientifiques malaisiens transforment les punaises de lit en redoutables détectives | Le Devoir/AFP, 25.11.2025 https://www.ledevoir.com/actualites/science/936639/scientifiques-transforment-punaises-lit-redoutables-detectives?  
sco.lt
November 26, 2025 at 7:10 PM
Comment trouver le nom de la substance active d’un produit phytosanitaire ? Pour aider à l’identification des molécules, le site Toxibees propose une recherche par suggestion. Ainsi, en insérant les premières lettres de la molécule, l’outil vous proposera les molécules référencées correspondantes.
Toxibees, un outil accessible et complet ! 
Dans Toxibees, les molécules sont souvent référencées avec leur nom anglais, mais pour aider à l’identification des molécules, le site propose une recherche par suggestion. Ainsi, en insérant les premières lettres de la molécule, l’outil vous proposera les molécules référencées correspondantes. Si vous ne trouvez pas la molécule, vous pouvez aussi aller directement à la page "substances actives" et procéder à une recherche par premières lettres.   Comment trouver le nom de la substance active d’un produit phytosanitaire ? Pour cette première version développée, le moteur de recherche fonctionne par nom de molécule (ou substance active). Pour trouver le nom de la molécule entrant dans la composition d’un produit, vous avez plusieurs possibilités : – consulter l’étiquette sur le produit – faire une recherche internet – utiliser le site officiel de l’Agence Française de sécurité sanitaire : Ephy https://ephy.anses.fr/ Dans la barre de recherche Ephy écrire le nom de votre produit et sélectionner la catégorie "PPP". Les molécules présentes dans le produit s’afficheront dans les premières informations en haut de page.   ------   Substances actives - Toxibees https://toxibees.org/-Substances-actives-   Glossaire - Toxibees https://toxibees.org/Glossaire   Foire aux questions - Toxibees https://toxibees.org/Foire-aux-questions    
toxibees.org
November 26, 2025 at 5:04 PM
La majorité des cas d’exposition ont lieu :
- par la contamination des cultures suivantes pour les substances systémiques ou des ressources alimentaires aux alentours des parcelles ;
- via le sol pour les pollinisateurs qui nichent dans le sol (la majorité des abeilles sauvages).
Quelles sont les différentes voies d’exposition des abeilles aux pesticides ?
Les abeilles et autres insectes pollinisateurs sont exposés aux pesticides de plusieurs manières. On pense souvent au contact direct entre le traitement et les abeilles lors de l’application, mais saviez-vous que la majorité des cas d’exposition ont lieu en dehors de l’application ?   Illustration réalisée par Carolina Levicek
sco.lt
November 26, 2025 at 4:40 PM
L’outil se présente sous forme d’un moteur de recherche. Pour chaque molécule, une fiche d’identité est générée présentant des informations générales, le toxiscore, des infos plus détaillées quant aux effets de la molécule sur les abeilles et dans l’environnement ainsi que des recommandations.
Un outil pour informer et guider les agriculteurs à réduire les risques des traitements sur les abeilles
Toxibees - L'outil pour s'informer de la toxicité des pesticides sur les pollinisateurs   Comment ça marche ? Vous vous interrogez sur la toxicité d’une molécule sur les abeilles ? Vous avez le choix entre plusieurs molécules pour le même usage et voudriez utiliser ou conseiller la molécule la moins toxique pour les pollinisateurs ? Vous avez un traitement à faire et vous voudriez connaître les meilleures pratiques à adopter afin de minimiser les risques pour les abeilles ? Toxibees a été conçu pour vous aider !   Toxibees est un outil gratuit et accessible à tous, qui vous permet d’accéder rapidement aux informations sur la toxicité des produits phytosanitaires vis-à-vis des abeilles et des insectes pollinisateurs. L’outil se présente sous forme d’un moteur de recherche. Pour chaque molécule, une fiche d’identité est générée présentant des informations générales, le toxiscore ainsi que des informations plus détaillées sur le comportement de la molécule sur les abeilles et dans l’environnement, la comparaison de toxicité avec les molécules pour le même usage (herbicide, fongicide, insecticide etc.) ainsi que des recommandations.  
sco.lt
November 26, 2025 at 4:14 PM
Le rucher-école L’Abeille du Gâtinais a organisé, samedi, son assemblée générale à Puiseaux. Il a convié, pour l’occasion, le chercheur Jean-Marc Bonmatin pour donner une conférence intitulée « Planète pesticides : ce qui tue les abeilles, empoisonne les humains ».
La nécessité de la survie de l’abeille
Une conférence sur la nécessité de la survie de l’abeille a été organisée, à la salle des fêtes de Puiseaux, par le rucher-école L’Abeille du Gâtinais, menacé de fermeture.   Publié le 26 novembre 2025 à 05h00   Le rucher-école L’Abeille du Gâtinais a organisé, samedi, son assemblée générale à la salle des fêtes. Il a convié, pour l’occasion, le chercheur Jean-Marc Bonmatin pour donner une conférence intitulée « Planète pesticides : ce qui tue les abeilles, empoisonne les humains ».   Ce chercheur du Centre national de la recherche scientifique d’Orléans est docteur en chimie, physique et toxicologie. Il a évoqué l’écroulement de la biodiversité qui a favorisé la disparition d’insectes et de vertébrés. Un constat chiffré alarmant : depuis une dizaine d’années, on compte -40 % d’insectes et -16,5 % de vertébrés. Tout cela est principalement dû à l’utilisation des pesticides.   Jean-Marc Bonmatin a évoqué la mise en place d’un outil à destination des agriculteurs, sur le site web https://toxibees.org. Il permet d’accéder rapidement aux informations sur la toxicité des produits phytosanitaires. Il informe sur tous les travaux effectués pour analyser les sols, le ruissellement des eaux.   Il a bien sûr parlé des alternatives existantes à l’utilisation des pesticides comme les méthodes agricoles par la rotation des cultures, l’utilisation de variétés résistantes, les cultures intercalaires ou l’élimination des plantes infestées.   image via Toxibees - Un outil pour informer et guider les agriculteurs à réduire les risques des traitements sur les abeilles https://toxibees.org/  
sco.lt
November 26, 2025 at 12:03 PM
Cet épisode montre pourquoi les papillons ont la maîtrise des airs. Malgré leur poids plume, certains sont capables de voyager sur des milliers de kilomètres, de voler pendant des mois, d'affronter des vents contraires et de traverser les mers.
Les papillons !!! Ces super-héros de la nature - Les super voyageurs - Regarder le documentaire complet
Morpho, vulcain, sphinx tête-de-mort, paon-du-jour… Deux cent mille espèces de papillons peuplent la planète. En trois cents millions d’années, ces "super-héros" de la nature, apparus avant les dinosaures, ont appris à s’adapter à tous les écosystèmes. Mais quels sont les pouvoirs d'un insecte réputé plutôt pour son caractère éphémère et fragile ?   Disponible jusqu'au 25/12/2025 À la télévision le mercredi 26 novembre à 11:50          
sco.lt
November 26, 2025 at 10:55 AM
Des sucres naturels enrichis en sodium ne rendent pas les mâles plus sensibles aux phéromones… mais ils déclenchent plus tôt leur comportement de recherche de femelle.
➡️ La nutrition influence aussi la vitesse d’apparition des comportements sexuels.
🦋💡 Chez le papillon Agrotis ipsilon, l’alimentation accélère la maturité sexuelle !
In many animals, drastic changes are observed during sexual maturation characterized by the reproductive system development concomitantly to the sexual behavior ontogenesis. These modifications are under the control of internal and external factors such as food. Sexual maturation requires considerab …   Diet acts on sexual behavior development in a male moth   Evan Force, Caroline Suray, Christelle Monsempes, Chloé Danis, Gabrielle Bonfils, Stéphane Debernard, Matthieu Dacher Insect Science, 14 October 2024   image : Olfactory stimulation. (A) Diagram of EAG experimental device. (B) Wind tunnel diagram.   ------ ndé résumé vulgarisé   Chez beaucoup d’animaux, la maturation sexuelle s’accompagne de grands changements : les organes reproducteurs se développent et les comportements liés à la reproduction apparaissent peu à peu. Ce processus demande beaucoup d’énergie, et l’on sait déjà que l’alimentation influence la reproduction dans de nombreuses espèces. En revanche, on connaît encore mal son impact sur l’apparition des comportements sexuels.   Dans cette étude, les chercheurs se sont intéressés à un papillon nocturne mâle, Agrotis ipsilon. Après son émergence, ce papillon met quelques jours à devenir sexuellement mature : il commence alors à percevoir les phéromones des femelles et à voler en leur direction.   Les chercheurs ont testé l’influence de différents types de sucres naturels (saccharose, fructose, glucose), parfois enrichis en sodium, un minéral utile au mouvement. Ils ont mesuré à la fois la sensibilité des antennes aux phéromones et le comportement des mâles en tunnel ventilé.   Résultat : les papillons ne détectent pas mieux les phéromones selon leur régime alimentaire, mais ils réagissent plus tôt lorsqu’ils ont consommé ces sucres enrichis en sodium. Autrement dit, certains aliments peuvent accélérer l’apparition du comportement sexuel, probablement en facilitant le traitement des signaux chimiques dans le cerveau.   Cette étude montre que la nutrition ne joue pas seulement sur la reproduction elle-même, mais aussi sur la vitesse à laquelle les comportements sexuels se développent, ouvrant de nouvelles pistes pour comprendre le lien entre alimentation et comportement animal. via ChatGPT  
sco.lt
November 25, 2025 at 6:54 PM
En croisant des approches anatomiques, physiologiques et moléculaires, on peut identifier les mécanismes de reconnaissance des odeurs chez les insectes pollinisateurs, et comprendre comment ils modulent leur trajectoire de vol pour optimiser leur chemin vers les fleurs à butiner.
Comment fonctionne l'olfaction des insectes pollinisateurs
Les odeurs émises par les plantes à fleurs sont captées par nombre d’insectes pollinisateurs, qui possèdent des récepteurs sensibles à ces composés volatiles, et c’est une voie de communication qui s’étudie de l’échelle moléculaire jusqu’au comportement de l’insecte.   La Science au labo Mardi 25 novembre 2025   "En croisant des approches anatomiques, physiologiques et moléculaires, on peut identifier les mécanismes de reconnaissance des odeurs chez les insectes pollinisateurs, et comprendre comment ils modulent leur trajectoire de vol pour optimiser leur chemin vers les fleurs à butiner. C’est la neuro éthologie de l’olfaction, que met en pratique Matthieu Dacher dans ses expériences à l’Institut d’Ecologie et des Sciences de l’Environnement de Paris. Dans des tunnels de vol en labo, grâce à des olfactomètres, trajectomètres et de l'imagerie calcique, il peut suivre comment l’insecte adapte son comportement en fonction des odeurs qu’il diffuse dans des concentrations et direction variée, pour simuler l’environnement naturel. Une méthode qui met en évidence des fonction cognitives développée chez ces insectes, même si le protocole reste limité pour simuler le réel."   Image : En laboratoire, il est possible d'apprendre aux papillons de nuit à étendre leur trompe en réponse à une odeur. - M. Renou  
sco.lt
November 25, 2025 at 6:49 PM