Oui ça joue nettement ! (un peu comme quand on prétend que le ciné français est systématiquement nul comparé à celui d'autres pays, en oubliant que plein de choses ne nous arrivent pas). Mais justement je trouve important d'en avoir conscience pour ne pas se faire aveugler par ce biais.

(même si en réalité on retrouve beaucoup ce discours aussi dans des franges des cinés HK ou japonais, à en écouter certains on croirait qu'il y a pas eu un bon film sorti au Japon depuis la fin des années 60...

bsky.app/profile/math... Oui !

il faudrait que quelqu'un ose le 1er se rendre vulnérable en déposant les armes, avec l'espoir léger que son exemple soit suivi. Le film a quelques soucis de rythme mais il brille par son humour & sa manière de filmer une ville possédée par le besoin de sang d'une société qui se police à grand peine

Pour Sabu, pourtant, il est clair que c'est toujours une question de pouvoir et de plaisir malsain. L'arme est dangereuse en soit, elle le serait même entre les mains d'une personne moins minable que son protagoniste. Le Japon est gangrené par une violence sous-jacente qui ne demande qu'à exploser,

Il dresse un portrait de salaryman médiocre, qui en temps normal ne se tient éloigné de la violence que par lâcheté & absence d'occasion. Une arme entre les mains, il en profite vite. Toutes les excuses deviennent bonnes pour justifier son usage : la justice, la protection, l'alcool, la malchance...

Pour Le tépéhone de M Harrigan en fait je l'ai pas noté pour le moment parce que c'est pour un podcast, j'actualiserai le moment venu ! Mais c'est loin d'être catastrophique à ce point.

Oh le tome trois est sorti ? Je suis vraiment à la masse sur les sorties manga en ce moment.

Je regrette que le spectacle final ne soit pas un peu mieux filmé (surtout dans sa photo), mais il reste un moment réjouissant ou au travers de leurs numéros les personnages s'opposent (doucement) aux clichés qu'eux même pouvaient avoir sur leur masculinité et sur la natation synchronisée.

Les persos sont drôles et charmants, et si c'est moins abouti que Swing Girls, ça reste un joli récit, qui gère bien l'évolution de ses protagonistes, aussi convenue qu'elle soit (et il choisit un spectacle plutôt qu'un concours en objectif, évitant heureusement le thème de la compétition)

J'ai zappé dedans ça a l'air fascinant.

Si vous avez pas le temps de lire : en gros, Sylvain Estibal explique que pour lui, Papamobile c'est de l'