[DM ouverts | Portfolio professionnel sur demande]
Enfin rattrapé le Parasite originel (je n'invente rien, c'est Bong Joon-oh lui-même qui le dit), et tout ce que j'en retire, c'est qu'il s'agit là d'un très grand film, mais que ce n'est point ma tasse de thé.
6/10
Enfin rattrapé le Parasite originel (je n'invente rien, c'est Bong Joon-oh lui-même qui le dit), et tout ce que j'en retire, c'est qu'il s'agit là d'un très grand film, mais que ce n'est point ma tasse de thé.
6/10
Aussi maladroit dans ses dialogues que méticuleux dans sa mise en scène, ce drame pas si romantique émule la séance de thérapie, quoique sans surcoût – ce qui, dans cette économie, ne se refuse point.
7/10
Aussi maladroit dans ses dialogues que méticuleux dans sa mise en scène, ce drame pas si romantique émule la séance de thérapie, quoique sans surcoût – ce qui, dans cette économie, ne se refuse point.
7/10
Ni franchement mal écrit, ni trop mal dirigé, et même pas mal joué non plus. Pourtant le produit fini induit une forme d’antipathie quasi viscérale – la faute, probablement, à un sujet trop délicat pour être traité en demi mesure.
5/10
Ni franchement mal écrit, ni trop mal dirigé, et même pas mal joué non plus. Pourtant le produit fini induit une forme d’antipathie quasi viscérale – la faute, probablement, à un sujet trop délicat pour être traité en demi mesure.
5/10
Vignette mélancolique explorant sans cynisme aucun l’aliénation propre aux solitudes prolongées. Chaque plan s’y étire à un rythme lancinant, quasi punitif, assénant au moral du spectateur un uppercut mi-débilitant, mi-cajoleur.
6/10
Vignette mélancolique explorant sans cynisme aucun l’aliénation propre aux solitudes prolongées. Chaque plan s’y étire à un rythme lancinant, quasi punitif, assénant au moral du spectateur un uppercut mi-débilitant, mi-cajoleur.
6/10