[DM ouverts | Portfolio professionnel sur demande]
Enfin rattrapé le Parasite originel (je n'invente rien, c'est Bong Joon-oh lui-même qui le dit), et tout ce que j'en retire, c'est qu'il s'agit là d'un très grand film, mais que ce n'est point ma tasse de thé.
6/10
Enfin rattrapé le Parasite originel (je n'invente rien, c'est Bong Joon-oh lui-même qui le dit), et tout ce que j'en retire, c'est qu'il s'agit là d'un très grand film, mais que ce n'est point ma tasse de thé.
6/10
(et si vous m’avez loupé ce soir, #BeauGeste sera bien entendu disponible en replay et compagnie. Allez, la bise).
(et si vous m’avez loupé ce soir, #BeauGeste sera bien entendu disponible en replay et compagnie. Allez, la bise).
Aussi maladroit dans ses dialogues que méticuleux dans sa mise en scène, ce drame pas si romantique émule la séance de thérapie, quoique sans surcoût – ce qui, dans cette économie, ne se refuse point.
7/10
Aussi maladroit dans ses dialogues que méticuleux dans sa mise en scène, ce drame pas si romantique émule la séance de thérapie, quoique sans surcoût – ce qui, dans cette économie, ne se refuse point.
7/10
Ni franchement mal écrit, ni trop mal dirigé, et même pas mal joué non plus. Pourtant le produit fini induit une forme d’antipathie quasi viscérale – la faute, probablement, à un sujet trop délicat pour être traité en demi mesure.
5/10
Ni franchement mal écrit, ni trop mal dirigé, et même pas mal joué non plus. Pourtant le produit fini induit une forme d’antipathie quasi viscérale – la faute, probablement, à un sujet trop délicat pour être traité en demi mesure.
5/10
Vignette mélancolique explorant sans cynisme aucun l’aliénation propre aux solitudes prolongées. Chaque plan s’y étire à un rythme lancinant, quasi punitif, assénant au moral du spectateur un uppercut mi-débilitant, mi-cajoleur.
6/10
Vignette mélancolique explorant sans cynisme aucun l’aliénation propre aux solitudes prolongées. Chaque plan s’y étire à un rythme lancinant, quasi punitif, assénant au moral du spectateur un uppercut mi-débilitant, mi-cajoleur.
6/10
Introduit par une préface de la consoeur @demoiselleshorreur.bsky.social, et édité par @playlistsociety.bsky.social.
Introduit par une préface de la consoeur @demoiselleshorreur.bsky.social, et édité par @playlistsociety.bsky.social.
Et même que j’y passerai une tête pour jouer cinq minutes les traductrices.
🍿 Programme et réservation juste là : www.nouvelodeon.com/evenement/21...
Et même que j’y passerai une tête pour jouer cinq minutes les traductrices.
🍿 Programme et réservation juste là : www.nouvelodeon.com/evenement/21...
House - pilule nostalgique à l'écriture en dents de scie, mais pas moins réconfortante. Difficile de ne pas attribuer tout le crédit ou presque à cet Hugh Laurie subtil, capable d'injecter des épaisseurs aux scènes les plus bourrues.
House - pilule nostalgique à l'écriture en dents de scie, mais pas moins réconfortante. Difficile de ne pas attribuer tout le crédit ou presque à cet Hugh Laurie subtil, capable d'injecter des épaisseurs aux scènes les plus bourrues.
Une enquête à retrouver dans le dernier @sofilm.bsky.social, en kiosques depuis le 24 janvier.
Une enquête à retrouver dans le dernier @sofilm.bsky.social, en kiosques depuis le 24 janvier.