ACAV - Action Collective Antifasciste Valence
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ACAV - Action Collective Antifasciste Valence
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Voilà l'argument hypocrite de l'IVG qui ressort. Y'en a qui naissent avant la honte et en sont fiers apparemment
➡️ auxmarchesdupalais.wordpress.com/2025/02/18/f...
Une liberté individuelle à deux vitesses Qu’en est-il de la liberté individuelle également invoquée par les tenants de la légalisation de « l’aide active à mourir » ? Selon ces derniers, « choisir sa mort » et bénéficier d’une « mort digne » relèverait d’un droit qui devrait pouvoir être reconnu. Il s’agirait de « l’ultime liberté » dont devrait pouvoir jouir tout être humain en cas de maladie, certains allant même jusqu’à détourner le slogan féministe « mon corps mon choix » utilisé pour défendre la légalisation de l’IVG [1]. Le suicide en France est d’ores et déjà une liberté pour chacun et n’est pas condamné en tant que tel, seule la provocation au suicide est pénalement sanctionnée. La provocation est d’ailleurs incriminée parce que le suicide est, en principe, considéré socialement comme un échec collectif, une tragédie absolue à empêcher à tout prix à grand renfort de campagnes et de politiques publiques de prévention du suicide. Dans ce cadre, l’argument tiré de la liberté de disposer de son corps est particulièrement hypocrite dans la mesure où il ne viendrait à l’esprit de personne de l’utiliser pour encourager le suicide d’une personne bien portante. Prétendre que cet argument deviendrait valable uniquement lorsque les candidats au suicide sont des personnes malades ou handicapées, c’est admettre sans vouloir l’assumer que leur mort est au fond moins grave, plus acceptable et souhaitable que celle des autres. Dans le cas contraire, s’il n’est pas question d’une telle différence d’appréciation, soyons logiques jusqu’au bout. S’il est impératif de modifier la loi pour faire passer le suicide d’une simple liberté – que certains peuvent exercer et d’autres pas, comme c’est le cas actuellement – à un droit que les pouvoirs publics doivent tout mettre en œuvre pour rendre effectif, ce droit doit bénéficier à tous, sans distinction. Il n’y a pas de raison que les pulsions suicidaires soient considérées comme le signe d’une grave dépression à traiter pour les uns et comme une exceptionnelle preuve de clairvoyance [2] à soutenir pour les autres. Par conséquent, c’est un véritable accès universel au suicide assisté et à l’euthanasie, sans conditions, qu’il faut consacrer. Ce serait là un changement radical de société dans laquelle tous les désirs de suicide pourraient être satisfaits. Il me fait personnellement froid dans le dos, mais il aurait au moins le mérite de la cohérence. Étrangement, ce n’est pas du tout ce que projette de faire le projet de loi « fin de vie ». Ce qu’il s’apprête à créer, au contraire, est une distinction fondamentale entre deux catégories de population en fonction de l’état de santé. Il y aurait, d’un côté, la catégorie des « bien portants » qui continuerait d’avoir le privilège d’être protégée autant que possible contre eux-mêmes, de l’autre, celle des malades et handicapés, qui serait invitée à prendre la voie express du suicide médicalisé.
April 18, 2025 at 8:18 AM
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this you ?
screenshot d'une conversation en privé sur bluesky : rené turcotte harcèle sexuellement une femme puis l'insulte quand elle l'envoie chier
April 18, 2025 at 6:14 AM
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Il n’y a pas de liberté sans égalité L’argument tiré de la sacro-sainte liberté individuelle pour appuyer « l’aide active à mourir » ne m’étonne guère venant d’élus de droite. En revanche, il est étonnant qu’il puisse trouver autant d’écho chez des élus de gauche. Il me semblait pourtant acquis à gauche que la liberté sans égalité réelle est une chimère et que son usage ne peut s’apprécier en faisant abstraction du contexte dans lequel elle s’exerce. Or, quel est le contexte politique et social dans lequel viendrait prendre place cette réforme ? Nous vivons dans une société profondément inégalitaire, marquée par des systèmes d’oppressions multiples qui hiérarchisent les vies et dans laquelle les vies des personnes malades et handicapées ne valent pas cher. Une société dans laquelle ces dernières n’ont pas, pour la plupart, la maîtrise de leur existence, vivent dans la pauvreté, sont considérées comme inutiles, improductives, et comme un poids pour le reste de la collectivité. Une société dans laquelle une politique de destruction sans précédent de tous les droits sociaux est à l’œuvre, notamment dans le domaine du handicap et de la santé. Une société dans laquelle l’accès aux soins publics et gratuits, aux aides financières, matérielles et techniques s’effondre, et où les conditions de vie des personnes malades et handicapées se dégradent de jour en jour. Une société, enfin, où les idées fascisantes et eugénistes n’ont jamais été aussi fortes et continuent à se déployer sans limites. Dans un tel contexte, comment ne pas penser que cette loi pourrait davantage servir à délivrer la société de présences qui la gênent qu’à soulager les malades eux-mêmes [4] ? Comment ne pas craindre que des personnes malades et handicapées ne s’orientent vers ce dispositif, non par réelle envie de mettre fin à leurs jours, mais faute de pouvoir se soigner ou pour échapper à des souffrances, certes insupportables, mais avant tout sociales ? Comment ne pas redouter que les plus isolées, les plus marginalisées, les plus opprimées d’entre elles, au premier rang desquelles se trouvent les femmes, les personnes minorisées et toutes celles qui se situent au carrefour de plusieurs oppressions, ne soient contraintes de demander à mourir parce qu’elles n’ont tout simplement plus les moyens de vivre ? Une liberté individuelle à deux vitesses Qu’en est-il de la liberté individuelle également invoquée par les tenants de la légalisation de « l’aide active à mourir » ? Selon ces derniers, « choisir sa mort » et bénéficier d’une « mort digne » relèverait d’un droit qui devrait pouvoir être reconnu. Il s’agirait de « l’ultime liberté » dont devrait pouvoir jouir tout être humain en cas de maladie, certains allant même jusqu’à détourner le slogan féministe « mon corps mon choix » utilisé pour défendre la légalisation de l’IVG [1]. Le suicide en France est d’ores et déjà une liberté pour chacun et n’est pas condamné en tant que tel, seule la provocation au suicide est pénalement sanctionnée. La provocation est d’ailleurs incriminée parce que le suicide est, en principe, considéré socialement comme un échec collectif, une tragédie absolue à empêcher à tout prix à grand renfort de campagnes et de politiques publiques de prévention du suicide. Dans ce cadre, l’argument tiré de la liberté de disposer de son corps est particulièrement hypocrite dans la mesure où il ne viendrait à l’esprit de personne de l’utiliser pour encourager le suicide d’une personne bien portante. Prétendre que cet argument deviendrait valable uniquement lorsque les candidats au suicide sont des personnes malades ou handicapées, c’est admettre sans vouloir l’assumer que leur mort est au fond moins grave, plus acceptable et souhaitable que celle des autres. Dans le cas contraire, s’il n’est pas question d’une telle différence d’appréciation, soyons logiques jusqu’au bout. S’il est impératif de modifier la loi pour faire passer le suicide d’une simple liberté – que certains peuvent exercer et d’autres pas, comme c’est le cas actuellement – à un droit que les pouvoirs publics doivent tout mettre en œuvre pour rendre effectif, ce droit doit bénéficier à tous, sans distinction. Il n’y a pas de raison que les pulsions suicidaires soient considérées comme le signe d’une grave dépression à traiter pour les uns et comme une exceptionnelle preuve de clairvoyance [2] à soutenir pour les autres. Par conséquent, c’est un véritable accès universel au suicide assisté et à l’euthanasie, sans conditions, qu’il faut consacrer. Ce serait là un changement radical de société dans laquelle tous les désirs de suicide pourraient être satisfaits. Il me fait personnellement froid dans le dos, mais il aurait au moins le mérite de la cohérence. Étrangement, ce n’est pas du tout ce que projette de faire le projet de loi « fin de vie ». Ce qu’il s’apprête à créer, au contraire, est une distinction fondamentale entre deux catégories de population en fonction de l’état de santé. Il y aurait, d’un côté, la catégorie des « bien portants » qui continuerait d’avoir le privilège d’être protégée autant que possible contre eux-mêmes, de l’autre, celle des malades et handicapés, qui serait invitée à prendre la voie express du suicide médicalisé.
April 16, 2025 at 5:43 PM
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Ignorez-moi : je rajoute seulement ces quelques éléments pour que celleux qui passeront sur cette conversation sachent que nous n'avons rien à voir avec ce que vous décrivez.

Voici les arguments qui, selon nous, justifient de s'opposer à ce projet de loi sur des bases progressistes :
Si le projet se présente d’abord comme un moyen de soulager les souffrances insupportables des malades dits « en fin de vie », c’est-à-dire atteints d’une affection grave et incurable dont le pronostic vital est irrémédiablement engagé et à court terme, son ambition va en réalité bien au-delà. Dans tous les pays qui ont légalisé ce type de dispositif, la liste des personnes éligibles au suicide assisté et à l’euthanasie a rapidement inclus, outre des malades en phase terminale, des malades tout court et des personnes handicapées dont le pronostic vital n’était pas engagé à court terme, voire n’était pas engagé du tout. Au Canada, par exemple, il a fallu à peine 5 ans pour que l’assistance au suicide, qui a été mise en place au départ uniquement pour les « malades dont la mort est raisonnablement prévisible », soit élargie aux personnes « souffrant d’une maladie, d’une affection ou d’un handicap grave [3]. » Si vous pensez que le texte n’ira pas aussi loin en France, détrompez-vous. Dès les débats du mois de juin 2024, des propositions d’amendements ont tenté de rendre le dispositif accessible aux personnes atteintes « d’une affection grave et incurable en phase avancée ou terminale » englobant ainsi les malades et/ou personnes handicapées dont le pronostic vital n’est nullement engagé. Quand bien même ces critères d’éligibilité ne seraient pas retenus par le texte final, une modification ultérieure comme celle qui a eu lieu au Canada sera toujours possible. C’est pour cette raison que de nombreuses personnes malades et handicapées potentiellement visées, comme moi, par cette large définition font part de leurs vives inquiétudes face à ce projet de loi qui prévoit de leur faciliter « généreusement » le suicide. Il serait faux de croire que la critique du texte se limite aux positions catholiques réactionnaires, tout comme elle n’est pas non plus le fait d’âmes sombres et égoïstes insensibles à la douleur de leurs semblables en fin de vie. Elle est également portée, partout à travers le monde [4], par des personnes concernées au premier chef par son application qui font légitimement valoir l’extrême dangerosité d’une telle réforme, qu’en France, de surcroît, rien ne semble justifier. En effet, la France dispose déjà d’un cadre légal issu des lois CLAEYS-LEONETTI (respectivement adoptées en 2005 et 2016) qui permet actuellement aux malades en fin de vie [5] dont le pronostic vital est engagé à court terme, de s’opposer à tout acharnement thérapeutique inutile et de bénéficier s’ils le souhaitent d’une sédation profonde jusqu’au décès. Des souhaits qui peuvent même faire l’objet de directives anticipées. En tout état de cause, aucune des consultations menées ne confirme la demande massive et pressante de la part des premiers concernés que les défenseurs du projet de loi agitent avec mauvaise foi. Le texte ne répond à aucune autre urgence que celle imposée par Emmanuel Macron. Caroline Fiat, (ex-)députée LFI, aide-soignante de profession et ardente défenseuse du texte a été obligée de l’admettre dans l’hémicycle, le 4 juin 2024 : « On écrit la loi pour très peu de monde, peut-être. » Elle est effectivement assez bien placée pour le savoir puisqu’elle a participé à la mission d’évaluation CLAEYS-LEONETTI qui l’a démontré. En l’absence de données objectives venant corroborer une véritable demande des malades, les élus de tous bords qui ont défendu le projet de loi n’ont pas hésité à articuler leur discours autour de témoignages rapportés ou personnels. Chacun y allant de son récit le plus poignant, dramatique et intime impliquant une personne, voire un proche, en fin de vie ayant demandé à mourir. S’il n’est pas question de remettre en cause la réalité des souffrances évoquées, la mise en avant de ces expériences éminemment subjectives ne saurait à elle seule fonder sérieusement une politique publique de santé aux conséquences aussi graves. La loi est là, ne l’oublions pas, pour fixer des principes généraux applicables au plus grand nombre avec le souci du bien commun. Elle n’a pas vocation à régler tous les cas particuliers et exceptionnels qui peuvent se présenter. Elle ne peut être guidée par la seule émotion mais implique une analyse systémique, une réflexion honnête et une vision à long terme de l’impact qu’elle aura sur l’ensemble de la société. Qu’en est-il de la liberté individuelle également invoquée par les tenants de la légalisation de « l’aide active à mourir » ? Selon ces derniers, « choisir sa mort » et bénéficier d’une « mort digne » relèverait d’un droit qui devrait pouvoir être reconnu. Il s’agirait de « l’ultime liberté » dont devrait pouvoir jouir tout être humain en cas de maladie, certains allant même jusqu’à détourner le slogan féministe « mon corps mon choix » utilisé pour défendre la légalisation de l’IVG [1]. Le suicide en France est d’ores et déjà une liberté pour chacun et n’est pas condamné en tant que tel, seule la provocation au suicide est pénalement sanctionnée. La provocation est d’ailleurs incriminée parce que le suicide est, en principe, considéré socialement comme un échec collectif, une tragédie absolue à empêcher à tout prix à grand renfort de campagnes et de politiques publiques de prévention du suicide. Dans ce cadre, l’argument tiré de la liberté de disposer de son corps est particulièrement hypocrite dans la mesure où il ne viendrait à l’esprit de personne de l’utiliser pour encourager le suicide d’une personne bien portante. Prétendre que cet argument deviendrait valable uniquement lorsque les candidats au suicide sont des personnes malades ou handicapées, c’est admettre sans vouloir l’assumer que leur mort est au fond moins grave, plus acceptable et souhaitable que celle des autres.
April 16, 2025 at 5:43 PM
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April 3, 2025 at 1:21 PM
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💥 Programme des mobilisations à venir pour lutter contre la fermeture des 7 centres de santé sexuelle du département et la baisse de 20% des subventions du @leplanningfamilial.bsky.social de la Drôme ⤵️
📅 Calendrier des actions 📅 2 avril – 🗣️ Rencontre à Die 3 avril – 🗣️ Crest, RDV à 18h à L’Insurgé5 avril – 🎭 Mobilisation au carnaval de Crest 7 avril – 🌍 Journée mondiale de la santé (RDV à 16h devant le CMS à Pierrelatte) 11 & 12 avril – 📢 Finale de la mobilisation (moment de clôture en préparation) 14 avril – 🗳️ Vote à l’Assemblée communautaire 📢 Mobilisez-vous et organisez aussi des actions dans vos villes et villages !📢 Mobilisons-nous pour défendre les centres de santé sexuelle !
April 2, 2025 at 9:14 AM
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On nous a fait passer ça.. A suivre, mais apparemment ça se concrétise 👀
Affiche de propagande politique appelant à mobilisation. Au centre, un visuel généré par IA avec une foule et un grand drapeau français. En haut, le texte "Rassemblement National Samedi 5 avril 2025 devant tous les palais de justice de France. En bas, le texte "Le peuple français se lève pour sa souveraineté #JusticeAuPeuple #OnEstPrets #PharePatriote
April 1, 2025 at 10:08 PM
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March 31, 2025 at 8:25 PM
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Image de la lettre F en doré sur fond noir
January 18, 2025 at 1:36 AM
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Partisan de "l'union des droites" (= le leadership des partis d'extrême droite au sein de la droite française), il semble avoir trouvé sa place en rejoignant le parti "Union des Droites pour la République" de notre chauve bunkerisé préféré.

www.ledauphine.com/politique/20...
Screenshot d'un article du Dauphiné Libéré. "Un nouveau syndicat étudiant a vu le jour à Valence : la Cocarde étudiante. « Nous défendons l’union des droites au sein des universités et lycées », explique Yoann Thibault, le responsable local. Une droite « vaste » donc, qui irait « des Républicains à Debout la France, en passant par le Rassemblement national et Reconquête ». « On accepte tout le monde ...» La suite est derrière un paywall
December 26, 2024 at 1:24 PM
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A l'occasion des législatives 2022, il est candidat suppléant pour le FN dans la 3e circo de la Drôme.
Tract électoral du FN lors des législatives 2022 dans la 3ème circonscription de la Drôme. On y voit Marine Le Pen, Jordan Bardella et Philippe Dos Reis. Le texte : "La seule opposition à Macron", "Suppléant : Yoann Thibault"
December 26, 2024 at 1:24 PM
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On peut le voir ici coller des affiches du FN, de la Cocarde, et participer à un événement réunissant des membres de Génération Z, du FNJ et de la Cocarde.
Photo de Yoann Thibault en train de coller une affiche du FN sur un panneau d'affichage libre, portant une veste "Marine présidente" Yoann Thibault et des membres de Génération Z, du FNJ et de la Cocarde pendant une action réunissant les différentes organisation d'extrême droite du coin autour du meurtre de Thomas Perotto Yoann Thibault en train de coller une affiche de la Cocarde sur un panneau d'affichage libre
December 26, 2024 at 1:24 PM
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Dans la Drôme, Yoann Thibault, ancien responsable de la section jeunes du FN — il a rejoint le parti d'Eric Ciotti en septembre 2024 — est également le fondateur et responsable de la Cocarde locale. 🧵⤵️
Photo de Yoann Thibault en plan serré, en extérieur, devant un arbre Screenshot de la bio Instagram de Yoann Thibault. "Adhérant parti udr Suppléant législatives 3ème circo de la Drôme (2022) Responsable RNJ Drôme (09/23 - 09/24)"
December 26, 2024 at 1:24 PM
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P.S. : On a encore plein d'autres choses à vous raconter sur cette journée et son contexte, la suite arrive bientôt 👀

En attendant, on vous laisse avec quelques photos de la manif 😌
Bannière accrochée sur un poteau électrique sur le parcours de la manif : "Fachos hors de notre ville" Un manifestant avec un drapeau palestinien noué autour du cou pose devant une banderole "Face aux racistes, Romans résiste" Banderole "L'extrême droite se nourrit du désespoir" Un manifestant sur une structure monumentale lève les bras en l'air après avoir accroché une pancarte "On veut pas de fachos ni ici, ni ailleurs"
December 15, 2024 at 10:40 AM
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Un grand merci à toutes les personnes ayant participé à nos côtés à cette démonstration de force de notre camp social. Beaucoup de gratitude envers les camarades venu'es parfois de très loin pour nous soutenir. Coeur sur vous 🖤

Romans était, est et restera antifasciste ! ↙️↙️↙️
Deux personnes tiennent une banderole "Face aux racistes, Romans résiste" devant un groupe de jeunes manifestant'es mimant un M avec leurs mains en référence au quartier de la Monnaie, ciblé par l'extrême-droite
December 15, 2024 at 10:40 AM
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🔥 En dépit des obstacles que les institutions ont mis sur notre route en protégeant les fafs et en mentant sur la coalition de gauche (nous y reviendrons), nous avons démontré qu'un mouvement social organisé et déterminé peut mettre en échec la stratégie de récupération de l'extrême-droite.
Des manifestant'es chantant "siamo tutti antifascisti" dans les rues de Romans-sur-Isère lors de la manifestation contre l'extrême-droite du samedi 30 novembre 2024
December 15, 2024 at 10:40 AM
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🤡 Après leur déroute lors de la tentative d'expédition punitive de 2023, les fachos connaissent à nouveau un échec cuisant, malgré les milliers d'euros investis dans la communication autour de l'événement.
Screenshot d'un tweet publié par l'influenceur d'extrême droite Damien Rieu : "Suite au meurtre de Nicolas, je voudrais organiser une campagne d'affichage avec son portrait et celui de Thomas, (comme j'avais fait notamment à Paris pour Philippine, on voit encore les affiches). Ca avait coûté 12k mais cette fois-ci je pense qu'il faut le faire que dans la Drôme, leur département donc ça coûtera moins. J'ai trouvé les colleurs, il me manque encore 3 gros donateurs à 1K chacun (ou +) pour arriver aux 5K nécessaires. blablabla de facho"
December 15, 2024 at 10:40 AM
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Pendant qu'environ 200 fafs se sont réuni'es durant moins d'une heure, la manifestation de gauche a fait le plein, rassemblant 3 à 4 fois plus de monde, et occupé l'espace public romanais pendant plusieurs heures.
Screenshot d'un titre et chapô d'un article de Libération : "Reportage. Romans sur Isère : contre le "repli sur soi", une manifestation fait le plein face au défilé de l'extrême droite. Sous haute surveillance policière, les deux rassemblements finalement autorisés par la préfecture ce samedi 30 novembre se sont déroulés dans le calme, un an après le meurtre de Thomas à Crépol. Quelque 800 personnes d'un côté, contre 200 militants radicaux de l'autre"
December 15, 2024 at 10:40 AM
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💥 Le 30 novembre s'annonce alors sous haute tension et la préfecture décide l'interdiction de toute manifestation à Romans et quelques villes et villages alentours. Le collectif « Justice pour les nôtres » annonce dans la foulée lancer une procédure de référé liberté pour contester l'interdiction.
Screenshot du titre et du chapô d'un article de France Bleu : "Mort de Thomas à Crépol : la préfecture de la Drôme interdit toutes les manifestations prévues ce week-end. La maire de Romans-sur-Isère demandait au préfet de la Drôme d'interdire les deux manifestations prévues dans sa ville ce samedi, celle de l'ultradroite et celle de la gauche, redoutant de graves troubles à l'ordre public et des débordements. Le préfet vient de les interdire pour tout le week-end."
December 15, 2024 at 10:40 AM
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❌ Rapidement se met en œuvre l'organisation d'une contre-manifestation antifasciste unitaire impliquant les forces politiques, syndicales et associatives locales pour porter un message clair aux fascistes à l'initiative de ce collectif et de ce rassemblement.
Affiche appelant à la contre-manifestation antifasciste produite par la coalition de gauche. "Face à la récupération raciste, résistons ! 30 novembre - 14h. Romans-sur-Isère"
December 15, 2024 at 10:40 AM
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📍 Un an après la mort de Thomas à Crépol et l'expédition raciste de 80 militants d'extrême-droite à la Monnaie, quartier populaire de la ville de Romans-sur-Isère, l'attention était à nouveau portée sur la Drôme ce samedi 30 novembre 2024.
Screenshot du titre d'un article de Blast : "Romans-sur-Isère : Les renseignements territoriaux s’inquiètent de la manifestation de l’extrême droite"
December 15, 2024 at 10:40 AM
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On n'a pas l'habitude de commenter le jeu des chaises musicales pour les postes au sein de l'Etat mais la nomination de Bayrou au poste de PM démontre une fois de plus combien l'adultisme est considéré comme normal.
Frapper (publiquement) un enfant pour le punir, c'est intolérable. #BayrouDémission
Extrait d'un article du média France Bleu à propos de la carrière de François Bayrou : "Le Béarnais a toujours voulu que l'UDF reste une force politique centriste indépendante. C'est pour cela qu'en 2002, il représente son courant à l'élection présidentielle en se présentant pour la première fois sa candidature à la présidence de la République. Lors de cette campagne, quartier de la Meinau à Strasbourg, il gifle un garçon de onze ans en lui lançant "tu ne me fais pas les poches", un "réflexe de père de famille" dit-il qui le popularise. François Bayrou termine quatrième au premier tour, avec 6,84% des voix."
December 13, 2024 at 12:00 PM