Ombreiste De Cian
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Ombreiste De Cian
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Normie étiqueter #autiste
On aime le #cinema ici https://www.youtube.com/@ombreistedecian42
et voir le monde se détruire pour le reconstruire.
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Film vue le 04/12/25: Sarabande de Ingmar Bergman (2003)
Chez Bergman, la famille est un espace de domination que seule la fuite de Karin brise. Marianne incarne une liberté solitaire. Des corps blessés mais résistants, et l’art représente a la fois la souffrance et la guérison.
L’affiche est structurée en deux zones verticales superposées. La partie supérieure comporte un fond sombre où se superposent des feuilles automnales en aplats réalistes et, en arrière-plan, une grande inscription calligraphiée semi-transparente. Le nom des acteurs principaux apparaît en haut, aligné au centre, en typographie serif claire. Le titre « saraband » occupe la zone médiane, composé en grandes lettres serif dorées, légèrement ombrées, centré horizontalement. Juste dessous, la mention « un film de Ingmar Bergman » est positionnée en capitales plus petites, également centrée. La moitié inférieure montre une photographie en plan rapproché d’un homme et d’une femme se tenant face à face, occupant la largeur du cadre. À droite de cette image, une colonne de crédits techniques est disposée en texte blanc, aligné à droite, avec une hiérarchie typographique classique distinguant les fonctions et les noms.
December 4, 2025 at 4:26 AM
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Film vue le 03/12/25: Black Dynamite de Scott Sanders (2009)
Black Dynamite exagère les codes de la blaxploitation pour en dévoiler les stéréotypes, renvoyant aux violences raciales de l’État et révélant, par ses maladresses assumées, la fabrication des représentations noires.
L’affiche adopte une composition verticale en deux sections principales. La partie supérieure occupe environ les deux tiers du cadre et présente une illustration au contour net : un personnage cadré en très gros plan, légèrement décentré à droite, pointant un revolver vers le spectateur. Le fond est un aplat rouge uniforme, encadré par une marge crème qui simule un support papier texturé. La partie inférieure est séparée visuellement par un bandeau crème. Le titre « black dynamite » y est centré, en grandes lettres sans empattement à contour épais noir et remplissage blanc, avec légère ombre interne. Sous ce titre, une frise horizontale monochrome rouge représente plusieurs silhouettes et scènes d’action stylisées, disposées en ligne continue. Le bloc des crédits est aligné au bas de l’affiche, en typographie compacte grise, justifiée sur toute la largeur. Un logo de classification apparaît au centre de la ligne inférieure.
December 3, 2025 at 3:15 PM
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Film vue le 02/12/25: Bugonia de Yórgos Lánthimos (2025)
Bugonia transforme des névroses contemporaines en fétiches pour faire une critique cosmétique destinée à se survaloriser. Fidèle à sa misanthropie, le film présente l’humanité comme une erreur vouée à disparaître.
L’affiche adopte une composition verticale centrée sur un montage visuel occupant tout le cadre. La partie supérieure est remplie d’un aplat rouge texturé, formant une coulée irrégulière descendant vers le bas. Cette coulée se superpose à une photographie d’un visage renversé, cadré en très gros plan, où le rouge fusionne avec des teintes jaunes et orangées, créant des zones translucides et des gouttes visibles. Le visage occupe l’axe central, légèrement incliné, avec un éclairage mettant en avant les volumes et une texture de peau détaillée. La typographie est regroupée dans le tiers inférieur. Les noms des acteurs et la mention « un film de yorgos lanthimos » sont en petites capitales serif noires, alignées à gauche. Le titre « bugonia » apparaît en très grandes lettres noires, en police géométrique, avec alternance de formes pleines et ajourées. Le bloc de crédits techniques est placé en bas, justifié en largeur, en caractères fins gris.
December 2, 2025 at 7:43 PM
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Film vue le 01/12/25: L'Homme qui rit de Jean-Pierre Améris (2012)
Dans L’Homme qui rit, adapte Hugo en privilégiant un ton de conte romanesque. Le film transforme le roman en une fable aseptisé. La mutilation de Gwynplaine, devient une monstruosité domestiquée.
L’affiche adopte une composition verticale centrée sur un portrait photographique en plan serré. Le personnage principal occupe la majeure partie du cadre, légèrement décalé vers la droite, avec un éclairage froid qui met en valeur les textures du costume et de la peau. L’arrière-plan consiste en un dégradé sombre bleu-gris, sans éléments narratifs distincts. La typographie du titre, « l’homme qui rit », est positionnée dans le tiers inférieur, en lettres serif dorées, dotées d’ombres internes et de légers ornements. Le bas du « r » final intègre un tracé rouge courbe évoquant un motif graphique distinct, placé sous l’ensemble du titre. Les noms des acteurs sont alignés en haut, centrés, en petites capitales blanches. La mention « un film de Jean-Pierre Améris » apparaît en bas à droite, plus discrète. La frise des crédits techniques s’étend horizontalement au bas de l’affiche, en corps réduit et couleur grisée, accompagnée de logos de production.
December 1, 2025 at 10:35 AM
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Film vue le 30/11/25: Le Samouraï du crépuscule de Yôji Yamada (2002)
À travers Seibei, samouraï précaire, on place un ordre féodal rigide qui privilégie l’apparence. Le samouraï devient une figure tragique, victime d’un monde qui ne reconnaît ni leur valeur ni leur statut.
L’affiche adopte une composition verticale sur fond beige texturé. La partie supérieure gauche présente un duo de portraits en semi-transparence, traité en niveaux de gris adoucis, occupant un large espace sans cadre marqué. En haut à droite, un motif floral rouge stylisé forme un élément graphique autonome. Sous ce motif se trouvent deux blocs textuels indiquant des sélections de festivals, en typographie serif sombre, chacun accompagné d’une petite icône rouge. Au centre, une illustration d’un samouraï vu de dos, en position statique, est placée légèrement sous la médiane. Les lignes du dessin sont nettes, en contraste avec la douceur des visuels arrière. Le titre « le samouraï du crépuscule » est disposé dans le tiers inférieur, en calligraphie rouge évoquant un tracé manuel, avec une éclaboussure picturale intégrée au mot « samouraï ». La zone inférieure regroupe les crédits techniques en caractères serif fins, justifiés horizontalement. Deux logos de production encadrent ce bloc.
November 30, 2025 at 10:30 PM
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Film vue le 23/11/25: Jugement à Nuremberg de Stanley Kramer (1961)
Aucune loi ne peut justifier l’écrasement d’une vie, expose le déni collectif face aux crimes nés d’injustices tolérées et, en rappelant les fautes des grandes puissances, souligne une responsabilité universelle.
L’affiche adopte une composition verticale bicolore, structurée autour d’un contraste marqué entre un fond noir intégral et des silhouettes en portraits latéraux blancs. Les visages, alignés en colonne diagonale du coin supérieur gauche vers le coin inférieur droit, sont traités en illustration tramée monochrome, avec un effet de découpage net entre lumière et ombre. Sur la partie gauche, un bloc typographique rouge est composé en texte aligné à gauche, utilisant une police sans empattement, à chasse étroite et interlignage resserré. La zone inférieure regroupe les crédits principaux : les noms des acteurs sont disposés horizontalement en alternant typographies blanches et rouges pour hiérarchiser les informations. Le titre « jugement a nuremberg » apparaît en rouge, en bas à droite, avec une typographie sans empattement, légèrement condensée. En pied d’affiche, les mentions techniques sont justifiées sur toute la largeur en caractères noirs sur fond blanc.
November 25, 2025 at 4:18 AM
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Ça prouve aussi leur inaction politique et leur incapacité à agir sans que papa soit là. Même les comptes sur les réseaux sociaux, ce n’est pas eux qui les gèrent : ce sont des comptes étrangers qui capitalisent sur le réseau. Tant qu’il n’y a pas papa pour leur dire quoi faire, ils ne font rien.
culturecrave.co Culture Crave 🍿 @culturecrave.co · 11d
Twitter (X) has rolled out a new update that shows locations for all accounts

Many 'American' political accounts were exposed as foreign users pushing controversies
November 24, 2025 at 12:50 AM
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Film vue le 23/11/25: When We Were Kings de Leon Gast (1996)
La rencontre entre Africains et Afro-Américains, où Ali fait lien. Le festival « Zaire 74 » inscrit le combat dans une fierté noire commune. Avec ce combat, Ali fait de sa victoire une reconquête identitaire.
L’affiche est structurée en deux zones principales. La partie supérieure est occupée par un très gros plan photographique du visage de Mohamed Ali, cadré de manière serrée sur les yeux, le nez et la bouche. L’image présente une texture brillante, avec des reflets intenses sur la peau. Le fond autour du visage est noir, créant une transition nette vers la zone textuelle inférieure. Au centre bas, le nom « Muhammad Ali » apparaît en lettres capitales blanches, fines et espacées, alignées horizontalement. En dessous, le titre « when we were kings » est composé en typographie serif, en dégradé allant du jaune au rouge, avec une taille de police très large pour le mot « kings ». Un filet horizontal blanc sépare visuellement le nom et le titre. Sous le titre figure un sous-texte en petites capitales jaunes, centré. Le bloc de crédits techniques occupe toute la largeur inférieure, en typographie compacte orangée, justifiée et organisée en lignes serrées.
November 23, 2025 at 10:05 PM
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On a vu le film Un poète de Simón Mesa Soto et on a été surpris d’avoir aimé ce petit conte moral, simple mais riche.
Simón Mesa Soto filme la beauté de l’inachevé ou la poésie naît pas du succès.
youtube.com/shorts/JOJhJ...
Un poète et son rapport au mérite et a l'éducation #cinema #colombie #poésie #education
YouTube video by Ombreiste De Cian
youtube.com
November 22, 2025 at 6:13 PM
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On entend beaucoup de critiques affirmant que la série Des vivants manquerait de crédibilité : dialogues jugés artificiels, situations dramatisées à l’excès, personnages parfois trop archétypaux. Pour certains spectateurs, tout semble sonner « faux » ou exagéré.
November 18, 2025 at 5:56 PM
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I work for a public library as the Resource Services Librarian, and we finally got @sgj.bsky.social book Killer on the Road. Cannot wait to get this out on the shelf for our patrons!
November 17, 2025 at 9:59 PM
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Film vue le 18/11/25: New World de Park Hoon-Jung (2013)
New World montre un monde où l’État, la police et la mafia se confondent, dans une confrontation nourrie d’un nihilisme exacerbé. Le film reprend efficacement les codes du néo-noir coréen, dans un terrain déjà balisé.
L’affiche adopte une composition frontale centrée sur trois portraits photographiques en très gros plan, chacun occupant une zone verticale distincte. Les visages sont alignés sur un même axe médian, le personnage central étant placé légèrement en retrait, tandis que ceux de gauche et de droite sont rognés au niveau du cadre. Les costumes sombres et la chemise blanche créent une continuité visuelle dans la partie supérieure. En haut, les noms des acteurs sont disposés en trois blocs typographiques blancs, en capitales, chacun surmontant le visage correspondant, avec un sous-texte en plus petit corps. Au centre, un texte promotionnel en rouge, composé en trois lignes justifiées verticalement, sépare les portraits de la zone titre. Le titre « new world » occupe la largeur de la partie inférieure, en lettres blanches texturées, très larges et fortement contrastées, alignées au centre.
November 18, 2025 at 5:23 PM
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Film vue le 17/11/25: Deux Procureurs de Sergei Loznitsa (2025)
Kornyev, jeune procureur idéaliste qui découvre un État où la loi n’est qu’une façade et où le NKVD règne par la violence. Couloirs sans fin, cadres oppressants et gestes mécanisés kafkaïenne carcérale.
L’affiche utilise une composition photographique centrée sur un personnage assis à droite du cadre, filmé en plan taille et éclairé latéralement. L’arrière-plan montre une salle en bois, avec rangées de chaises et rideaux rouges visibles en profondeur. Au premier plan, des silhouettes sombres encadrent la scène, créant une zone d’ombre occupant la partie gauche. La typographie est organisée en blocs alignés verticalement sur l’axe gauche : « urss 1937 » en capitales fines, suivi d’une citation en caractères blancs espacés, justifiée au centre du bloc. Le titre « deux procureurs » apparaît en lettres capitales blanches à chasse large, doté d’un interlettrage serré, accompagné au-dessus des noms des acteurs en petit corps. Sous le titre, le générique est disposé sur plusieurs lignes condensées en blanc, justifié horizontalement. Les logos institutionnels, dont celui du festival de Cannes, sont placés en haut à droite et en bas à droite, en taille réduite.
November 17, 2025 at 8:19 PM
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Film vue le 15/11/25: Le Fantôme de l'opéra de Rupert Julian (1925)
Erik, génie rejeté, cherche en vain la reconnaissance de Christine dans un monde d'apparence. La version de 1925 en renforce la noirceur : jeux d’ombres, Lon Chaney terrifiant en fait un classique du fantastique
L’affiche est construite sur une composition illustrée verticale aux couleurs saturées dominées par des tons rouges, jaunes et noirs. La scène montre un personnage vêtu d’un costume sombre, placé sur le côté gauche, penché au-dessus d’un balcon dominant un opéra en feu. Les flammes et la foule stylisée remplissent la partie droite de l’image, créant un arrière-plan dynamique. Le titre, « the phantom of the opera », occupe la partie supérieure centrale, en typographie blanche sans empattement à fort contraste, avec un contour jaune et une ombre portée rouge. La composition du titre est verticale, suivant la diagonale du cadre, et intégrée à la scène. Dans la partie inférieure, les crédits apparaissent en typographie jaune à empattements larges, alignés au centre et hiérarchisés par taille. Le fond de cette zone est uniformément noir, permettant une lecture claire des informations de production, de distribution et des principaux acteurs.
November 15, 2025 at 4:04 PM
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Film vue le 14/11/25: Indie Game: The Movie de Lisanne Pajot et James Swirsky (2012)
Glorification des génies souffrants, légitimant l’isolement créatif tout en glorifiant une indépendance pourtant soumise au marché, dans une vision élitiste typique de la scène indé.
L’affiche repose sur une composition minimaliste en format vertical, structurée autour d’un fond monochrome bleu décliné en léger motif de carrés pixelisés. Le titre « indie game » est centré dans la partie supérieure du cadre, en grandes lettres blanches sans empattement, à chasse étroite et alignement horizontal. Une fine ligne blanche traverse le titre, séparant les deux mots et reliant vers le bas un fil vertical auquel est suspendue une icône de manette stylisée. Sous le titre, l’inscription « the movie » apparaît en capitales plus petites, espacées et centrées. La partie inférieure est occupée par une frise triangulaire blanche évoquant une bordure de pics, avec quelques sommets teintés de rouge. Le générique figure en bas, justifié sur toute la largeur, en typographie grise fine. Les mentions de festivals sont positionnées en haut du cadre, symétriquement réparties autour du titre, accompagnées de lauriers stylisés blancs.
November 14, 2025 at 1:38 AM
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Film vue le 13/11/25: 3h10 pour Yuma de Delmer Daves (1957)
3h10 pour Yuma montre un Ouest où la loi dépend de rares hommes. Dan Evans, fermier ruiné, escorte Ben Wade par nécessité, révélant une dignité non héroïque. Wade, idéaliste et violent, en est le miroir de Dan.
L’affiche est construite sur une composition illustrée en aplats colorés, dominée par un portrait en buste d’un homme coiffé d’un chapeau de cowboy, placé au premier plan et décentré vers la gauche. En arrière-plan, une scène rurale stylisée montre un second personnage armé, orienté vers la droite, sur fond de paysage désertique. Une grande horloge semi-transparente occupe la partie supérieure, avec des chiffres romains et des aiguilles blanches indiquant une heure précise, inscrite sur un dégradé de tons mauves et orangés. Le titre « 3h10 pour Yuma » occupe la largeur de la partie inférieure, en grandes lettres sans empattement, orange vif avec ombre portée, centrées sur deux lignes. Les crédits figurent en bas, en typographie blanche compacte, justifiée, encadrée par le logo de la Columbia à gauche et la mention « Megascope » à droite. La composition repose sur un contraste marqué entre le dessin détaillé du premier plan et le fond simplifié.
November 13, 2025 at 6:34 PM
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Two very rare "Tenshi no Tamago" (Angel's Egg) small artbooks are being reissued in December in Japan : "Shoujo Ki" and "Animage Bunko" issue (first published in 1985).
Pre-orders >> www.catsuka.com/shopping/ind...
November 11, 2025 at 12:51 PM
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November 11, 2025 at 1:03 PM
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Film vue le 08/11/25: César et Rosalie de Claude Sautet (1972)
Ce faux ménage à trois ou Rosalie ne peut jamais être sujet. Son départ final est son seul acte libre et refuser un amour qui n’est qu’appropriation. Un triangle sentimentaliste et nostalgique des rapports affectifs.
L’affiche est structurée en deux zones principales. La partie supérieure montre une photographie en plan rapproché moyen de deux personnages en mouvement, occupant l’essentiel de la hauteur, insérée sur un arrière-plan uniforme vert dégradé. À gauche, on distingue partiellement une voiture. La typographie est centrée verticalement sur l’axe médian. Les noms des acteurs sont placés en haut, en lettres blanches sans empattement, alignées en une ligne horizontale, séparées par de courts tirets. En dessous, la mention « dans un film de Claude Sautet » est placée au centre, avec une fine ligne horizontale au-dessus et en dessous.
November 8, 2025 at 2:05 PM
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Film vue le 06/11/25: Appel d'urgence de Steve De Jarnatt (1988)
Miracle Mile transforme une histoire d’amour en course vers la fin du monde. Impuissants face à une apocalypse, leur amour est la seule chose qui subsiste, dans un pessimisme où l’impossibilité d’agir domine.
L’affiche se compose d’une grande image photographique occupant la partie supérieure, montrant une scène urbaine nocturne densément chargée, avec de nombreux véhicules et des colonnes de fumée. Un personnage en costume se trouve au premier plan, légèrement décentré vers la gauche, en marche sur une surface surélevée. La palette dominante associe des tons sombres, des lumières artificielles et des nuances orangées liées aux fumées. En haut, la mention « sélection officielle avoriaz 90 » est placée en petites capitales blanches, alignée à gauche. La partie inférieure est séparée par une ligne horizontale nette, sous laquelle se trouve le titre « appel d’urgence », composé en lettres capitales blanches sans empattement, à chasse large et espacement régulier, centré. Le bloc de crédits figure au bas, en typographie condensée blanche, organisé en plusieurs lignes justifiées, avec mentions de production, distribution et équipes techniques.
November 6, 2025 at 11:24 PM
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Film vue le 05/11/25: Hollywood 90028 de Christina Hornisher (1973)
Le film montre un hollywood où le réel est remplacé par la marchandise visuelle, et où les femmes représentent une altérité qu’il ne peut affronter. Cinéma d’horreur conscient de son voyeurisme.
L’affiche est structurée en un encadré vertical aux bords noirs sur fond clair. La composition repose sur une illustration centrale en aplats de rose, rouge et noir. Dans la partie supérieure, le titre « Hollywood 90028 » est placé en lettres capitales épaisses rouges avec contour noir, aligné au centre. À droite du titre, un bloc de texte promotionnel, en capitales noires, est justifié en pavé vertical. L’image principale montre une figure féminine dessinée au trait noir et remplie d’aplats roses, occupant le haut du cadre. Sous elle, un grand visage masculin vu en contre-plongée, traité dans la même gamme chromatique, domine la partie inférieure. Deux silhouettes masculines noires se détachent sur ces aplats, l’une à gauche et l’autre au centre, en posture dynamique. Au bas de l’affiche, le générique est aligné à gauche, en typographie sans empattement noire, avec indication des interprètes, de la production et de la classification.
November 5, 2025 at 6:05 PM
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Film vue le 03/11/25: Bubba Ho-Tep de Don Coscarelli (2002)
Bubba Ho-Tep fait d’un Elvis vieilli et oublié une fable sur la dignité face à l’oubli. Aux côtés d’un Kennedy déchu, il affronte la mort et la mémoire dans un pastiche douce-amère de l’Amérique et de ses mythes brisés.
L’affiche présente une composition centrée, construite autour d’un portrait photographique en plan rapproché occupant la quasi-totalité du cadre. Le personnage principal est placé légèrement sur la droite, vêtu d’un costume brun, et tend le bras vers l’avant. Le fond est constitué d’un mur texturé rappelant une surface de pierre, traité dans une dominante chromatique sépia. La typographie du titre, « bubba ho-tep », occupe la moitié inférieure de l’affiche. Elle est composée en grandes lettres capitalisées, épaisses, à texture granuleuse évoquant la pierre, avec un effet de relief et une légère perspective ascendante. Le texte principal du haut, « le roi du rock contre le roi des morts », est disposé en bandeau horizontal, en lettres blanches à empattements, centré. Les mentions de casting et de production sont regroupées en bas, en caractères compacts de couleur claire, justifiés horizontalement. L’éclairage général met en avant les tons chauds, dorés et brunâtres.
November 3, 2025 at 5:18 PM
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Film vue le 28/10/25: Chien 51 de Cédric Jimenez (2025)
Dystopie clichée et sans relief, portée par des acteurs faibles. Seule la direction artistique façon Blade Runner se distingue. Jimenez signe confirme qu’il excelle mieux dans le réactionnaire que dans le progressiste.
L’affiche présente une composition verticale dominée par un contraste fort entre zones sombres et typographie colorée. Le titre « chien 51 » occupe la partie centrale, en grandes lettres rouges, sans empattement, à chasse large et graisse importante, aligné au centre. Au-dessus du titre, les noms des acteurs sont disposés sur une ligne horizontale, en capitales blanches, espacées uniformément. La mention « après bac nord & novembre » est placée sous le titre, dans une police similaire mais de plus petit corps. La partie inférieure contient une image en demi-teinte bleutée représentant deux visages de profil, éclairés latéralement, sur fond texturé de lignes verticales fines. Le bloc des crédits techniques est justifié en bas, en texte blanc condensé, structuré selon la hiérarchie classique du cinéma. En pied d’affiche, un encadré blanc sur fond noir indique la date de sortie, accompagné des logos de production alignés horizontalement.
October 28, 2025 at 9:48 PM
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Des années 1970 aux années 1990, Fernand Deligny, ancien éducateur d’enfants internés, décide de partir dans le sud de la France. Nouvelle vidéo d’une ancienne, rééditée et de meilleure qualité. youtu.be/6s4ZI7Abplg.
Le cinéma en opposition au soin Le moindre geste
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October 27, 2025 at 10:25 AM
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Film vue le 27/10/25: A House of Dynamite de Kathryn Bigelow
L’impuissance d’un impérialisme technocratique où le pouvoir, vidé de sens, agit mécaniquement. Bigelow, en quête d’authenticité ignore les fractures idéologiques, se posant simplement comme observatrice.
L’affiche est structurée en trois bandes horizontales distinctes. La partie supérieure présente cinq noms d’acteurs en typographie rouge sans empattement, centrés chacun au-dessus de leur zone visuelle. Les deux tiers supérieurs sont occupés par deux images juxtaposées : à gauche, un portrait en plan rapproché d’une femme au téléphone ; à droite, un plan large d’un soldat vu de dos dans un espace désertique. La bande inférieure, à fond sombre, contient le titre « a house of dynamite » en grandes lettres rouges, aligné au centre, en capitales condensées. En dessous, les mentions de réalisation et de scénario apparaissent dans la même police mais en corps réduit et avec une hiérarchie de taille décroissante. Le bas de l’affiche affiche la mention de diffusion et la date de sortie, en blanc et rouge, sur une ligne alignée au centre. La palette privilégie les tons bleus et bruns, avec un contraste marqué entre texte et image.
October 27, 2025 at 7:47 AM