Naturally occurring "white hydrogen" lies in vast reservoirs beneath our feet – now the gold rush of the clean energy era is beginning.

Natural hydrogen is generated through chemical and radioactive processes in the Earth’s crust, and could be an important future clean chemical feedstock and energy resource. This Review examines the processes of geological hydrogen generation, migration, accumulation and preservation that enable the development of exploitable reserves.

EngineAI’s PM01 humanoid robots patrol Shenzhen with police, shaking hands, responding to commands, and engaging crowds.

Ce robot humanoïde pourrait bien représenter la première pierre d’une nouvelle ère dans le maintien de l’ordre.

La Chine accélère le développement des interfaces cerveau-machine, entre usages médicaux, sécurité industrielle et concurrence technologique internationale.

Des chercheurs américains ont mis au point des robots microscopiques autonomes, capables de se déplacer et de réagir à leur environnement grâce à la lumière. De par leur taille et leur coût néglige...

Most discussions on whether AI is currently in a bubble center around scaling laws, and whether current techniques will get us to AGI, but Geoffrey Hinton has an interesting new frame on the phenomenon. The 77-year-old cognitive psychologist and computer scientist, often called the “Godfather of AI” for his pioneering work on neural networks, recently offered a provocative take on the AI bubble question. Unlike most commentators who focus on technical limitations or market valuations, Hinton suggests the real bubble might stem from a blindspot in how companies are calculating returns: they’re not accounting for the social upheaval their investments will trigger. “There’s kind of two senses of AI bubble,” Hinton explained. “There’s the sense that old-fashioned symbolic AI people often raise, that all this stuff is just hype. It doesn’t really understand, it won’t be able to do what people claim it’s going to be able to do. I don’t think at all that it’s a bubble in that sense.” Hinton is unequivocal about AI’s technical capabilities. The technology is “really doing a lot,” he noted. “It still makes mistakes, some things it’s not very good at still, but it’s getting better rapidly all the time. So there’s not a bubble in the sense that the technology’s not going to work.” But there’s another kind of bubble, Hinton warns. “There may be a bubble in the sense that people aren’t going to get the money back on their investments, because as far as I can see, the reasons for this huge investment is the belief that AI can replace people in lots of jobs, or it can make people much more efficient. So you’ll need far fewer people using AI assistance.” Here’s where Hinton identifies the critical miscalculation: “I don’t think people are factored in enough, the massive social disruption that will cause. So they’re assuming everything else is going to proceed as normal. We’ll replace lots of workers, companies will make bigger profits, and they’ll pay us a lot for the AI that does that.” The problem, according to Hinton, lies in the assumption of business-as-usual. “If you do get huge increases in productivity, that will be great for everybody if the wealth was shared around equally. But it’s not going to be like that. It’s going to cause huge social disruption.” Hinton’s warning arrives at a moment when the AI industry’s economic assumptions are beginning to face scrutiny. Major tech companies have poured hundreds of billions into AI infrastructure, with Microsoft, Google, Amazon, and Meta collectively planning over hundreds of billions of dollars in capital expenditures. The business case typically rests on productivity gains and labor cost reductions. But Hinton suggests these projections may be fatally flawed because they treat social stability as a constant rather than a variable. Recent developments hint at the disruption Hinton anticipates. Hollywood writers and actors went on strike in 2023 partly over AI concerns. Customer service companies are already deploying AI agents at scale, displacing thousands of workers. Our AI layoffs tracker currently estimates that nearly 190,000 jobs have been lost because of AI. Meanwhile, political movements questioning technological change are gaining traction globally, from AI regulation in the EU to growing calls for universal basic income as a response to automation. The implications are stark: if rapid AI-driven unemployment creates political instability, regulatory backlash, or consumer demand collapse, the returns tech companies expect may never materialize. Companies might build the most powerful AI systems in history only to find the social and political environment has shifted so dramatically that deploying them becomes untenable, or that the displaced workers who were supposed to become customers can no longer afford the products. In this scenario, the bubble wouldn’t burst because the technology failed, but because investors underestimated how much society would need to change—and resist changing—to accommodate it.

Tech billionaires "are really betting on AI replacing a lot of workers." The post Godfather of AI Predicts Total Breakdown of Society appeared first on Futurism.

A Materialist Diagnosis of Silicon Valley and the Appalachian Mirror

Origin

Meet Memazing

“The problem is in our information. Humans, yes, we are generally good and wise, but if you give good people bad information, they make bad decisions.”

**Google** annonce le déploiement de **Gemini 3 Flash** , son modèle d’IA conçu pour fournir des réponses plus rapides, sans pour autant compromettre ses capacités de raisonnement. Il arrive notamment dans l’application Gemini et dans l’AI Mode de Google Search. ## Gemini 3 Flash débarque dans plusieurs produits Google, mais pas partout Google a confirmé dans plusieurs articles de blog la disponibilité progressive de Gemini 3 Flash pour les développeurs et le grand public. Le nouveau modèle se veut plus rapide que ses prédécesseurs, dépassant en vitesse et en performances les anciens modèles de Google sur de nombreux benchmarks. Gemini 3 Flash est en train de remplacer les anciennes versions Flash dans les produits Google, et devient notamment le modèle par défaut dans l’AI Mode de Google Search, qui n’est toujours pas disponible en France. L’application Gemini profite aussi de ce nouveau modèle, avec des réponses plus rapides et une compréhension améliorée des requêtes complexes, comme vous pouvez le voir ci-dessous. S'abonner à 01net ## Plus de performances et d’usages différents Au-delà de la vitesse, Gemini 3 Flash se distingue aussi par ses capacités multimodales et de raisonnement visuel. Google précise que le modèle excelle dans des domaines variés comme : * **Le code et l’assistance à la programmation** ; * **L’analyse de jeux ou la création de contenus interactifs** , avec des performances supérieures aux versions précédentes sur l’analyse vidéo et spatiale ; * **La détection de deepfakes ou l’analyse documentaire** , où il combine rapidité et précision pour interpréter des données complexes. Gemini 3 Flash fait mieux que Gemini 3 Pro dans beaucoup de tests, tout en étant plus rapide. – © Google Sur les benchmarks publics, Gemini 3 Flash affiche des scores qui le présente comme bien plus rapide que Gemini 2.5 Pro. Côté tarif, son coût par million de tokens reste supérieur à celui des précédents modèles Flash, mais il est également plus efficient, notamment en proposant la mise en cache pour réduire les coûts. > Découvrez : Notre avis sur Gemini 3, la nouvelle IA surpuissante de Google Pour les développeurs, Gemini 3 Flash est disponible dans plusieurs environnements : Google AI Studio, l’API Gemini, Google Antigravity, la CLI Gemini, Android Studio ou encore Vertex AI. Autant d’outils qui permettent de créer des d’applications, des outils automatisés ou des services IA intégrés. ## Gemini 3 Flash dans la recherche Google Gemini 3 Flash devient par la même occasion le modèle par défaut pour l’AI Mode de Google Search. Un mode qui n’est pas encore disponible en France, même si Google continue son déploiement et que la fonctionnalité devrait donc finir par arriver dans l’hexagone. > À lire : C’est quoi ce nouveau bouton « + » sur le moteur de recherche Google ? Google explique que l’AI Mode peut répondre plus rapidement à des questions complexes, qui demandent comparaison et mise en contexte. Les utilisateurs qui souhaitent aller plus loin (par exemple pour des visuels ou des outils interactifs) peuvent toujours sélectionner le modèle Gemini 3 Pro. > 👉🏻 Suivez l’actualité tech en temps réel : ajoutez 01net à vos sources sur Google, et abonnez-vous à notre canal WhatsApp. Opera One - Navigateur web boosté à l’IA Par : Opera Télécharger gratuitement Source : Google

Leor Zmigrod, pionnière dans le domaine des neurosciences politiques, explore le « cerveau idéologique », qui désigne « un esprit qui s’attache à une idéologie de manière si profonde qu’il en est transformé ». Avec LéNA, découvrez le meilleur du journalisme européen.

Comment pouvons-nous interagir avec les ordinateurs en utilisant uniquement notre esprit ? Les interfaces...

Des chercheurs suisses ont créé des doigts robotiques en utilisant un matériau inattendu. Leur pince à base de carapaces de crustacés offre une alternative à la fois écologique et bon marché aux ma...

200 x 300 x 50 micromètres. C’est la taille du microrobot développé par des chercheurs de l’université de Pennsylvanie et de l’université du Michigan, présenté dans le journal Science Robotics. Celui-ci est à “peine visible à l’œil nu” et il est plus petit d’un grain de sel. D’après les chercheurs, il s’agit du plus petit robot autonome et programmable jamais créé. _“Fonctionnant à l’échelle de nombreux micro-organismes biologiques, ces robots pourraient faire progresser la médecine en surveillant la santé des cellules individuelles et l’industrie manufacturière en aidant à la construction de dispositifs à micro-échelle”_ , explique une publication de l’université de Pennsylvanie. ## Un effort de miniaturisation extrême Le robot, qui fonctionne grâce à un petit panneau solaire, est capable de nager dans un liquide d’une manière unique. En effet, au lieu de s’appuyer sur des parties mécaniques, il génère un champ électromagnétique dans le liquide, afin de pousser des ions qui, à leur tour, poussent l’eau, pour créer un mouvement. Marc Miskin, l’un des auteurs, explique que c’est comme si le robot suivait le courant d’une rivière, mais qu’il a lui-même créé ce courant. Et le champ électromagnétique peut être ajusté pour contrôler les effets de ce système de propulsion. Outre sa toute petite taille et la façon dont il se déplace, l’informatique qu’il embarque rend également ce robot unique. En effet, malgré sa petite taille, ce robot utilise un petit ordinateur, un capteur de température, et peut donc réagir de manière autonome par rapport à son environnement. _“À la connaissance des chercheurs, personne n’avait encore jamais intégré un véritable ordinateur (processeur, mémoire et capteurs) dans un robot aussi petit”_ , indique l’université de Pennsylvanie. Ainsi, le robot peut se déplacer vers les zones où la température augmente, ou bien signaler de la température, qui peut indiquer une activité cellulaire. Les chercheurs ont trouvé un moyen de permettre au robot de communiquer la température mesurée : celle-ci est encodée dans une petite danse exécutée par le robot. Ensuite, l’information envoyée par le robot peut être décodée en analysant des enregistrements au microscope de ces danses. ## Il s’agit encore d’un robot expérimental Mais si le développement du système de propulsion de ce robot, ainsi que du petit ordinateur embarqué a pris cinq ans, il ne s’agit pourtant que d’un début. Désormais, les chercheurs souhaitent que les prochaines versions puissent stocker des programmes plus complexes, se déplacer plus vite, intégrer de nouveaux capteurs, ou supporter d’autres environnements. En tout cas, pour Marc Miskin, son groupe a démontré qu’il est possible _“d’intégrer un cerveau, un capteur et un moteur dans un dispositif presque invisible à l’œil nu, et de le faire fonctionner pendant des mois.”_ De plus, ce microrobot n’est vraiment pas cher à produire. En effet, chaque robot ne coûterait qu’un centime. * Des chercheurs américains ont conçu le plus petit robot autonome, qui est plus petit qu’un grain de sel * Celui-ci utilise un moyen de propulsion innovant et dispose d’un minuscule ordinateur * Il est capable de communiquer via des mouvements qu’on peut observer au microscope > 📍 Pour ne manquer aucune actualité de Presse-citron, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp. Newsletter 🍋 Abonnez-vous, et recevez chaque matin un résumé de l’actu tech Votre email : Je m'inscris J'ai lu et accepte les termes et les conditions Laissez ce champ vide si vous êtes humain :

Vous pensez consommer assez d’oméga-3 pour préserver votre cerveau et votre cœur ? Ce n’est probablement pas le cas et c’est la science qui le prouve.

ENTRETIEN - Dans Le Cerveau sans mémoire (Le Cherche midi), le neurochirurgien explique, données scientifiques à l’appui, les conséquences délétères d’un usage intensif du smartphone sur notre cerveau. Il constate, chez nombre d’utilisateurs, une baisse des capacités d’empathie.

Commercially available bionic hands can replicate many movements, but controlling a multiarticulate bionic hand is not an intuitive task. Here, the authors describe the integration of proximity and pressure sensors into a commercial prosthesis to enable autonomous grasping

Origin

Plusieurs acteurs majeurs de la Tech viennent de fonder l'Agentic AI Foundation (AAIF). L'objectif ? Concevoir des normes ouvertes pour accompagner le développement de cette technologie.