#LFI : C'est maintenant le journaliste et spécialiste du complotisme Rudy Reichstadt qui est à la barre. Toujours cité par la défense. Il collabore avec Raphaël Enthoven à la revue "Franc-Tireur'.

#LFI : On en vient maintenant à la plaidoirie en défense de Raphaël Enthoven. C'est la collaboratrice de Richard Malka qui ouvre le bal et récite, à la vitesse d'un bip-bip, toutes les insultes, injures proférées par des membres de LFI. On est toujours sur l'inversion de la charge.

#LFI : Le raisonnement est donc le suivant :
1. L'agression de Glucksman a été revendiquée par les Jeunes Communistes.
2. Il n'y a pas eu de propos antisémites durant cette agression.
3. LFI n'est donc pas concernée par ça.
Résultat : Enthoven en a "profité" pour injurier LFI

#LFI : Matthieu Davy entend donc recentrer les débats sur l'origine de l'altercation dont a été victime Raphaël Glucksman.

Moyen pour lui de dire qu'on n'est pas ici en matière de diffamation mais bien en matière d'injures.

#LFI : « Nous sommes ici pour appliquer la loi, rien que la loi. Monsieur Enthoven a toutes les qualités. Mais il a une faille. Il n’aime pas le droit. Ce n’est pas un fin juriste. D’où cette notion d’antisémitisme d’atmosphère qu’il tente d’infuser. Malheureusement, c’est son concept. »

Les logements vides ne sont pas à Paris. Ils sont en Creuse, dans la Nièvre, en Meuse. Là où il n’y a plus de train, plus d’école, plus de boulot. Mais le rapport ne parle jamais d’aménagement du territoire.

Beaucoup de livres féministes viennent de maisons d'édition rachetées par Bolloré.
(Je ne me remets pas de la réédition du Scum par Fayard et donc... Bolloré. Et de sa préface.)
Cela me paraît essentiel de s'interroger : chez qui vont nos écrits, et donc nos archives sur le féminisme ?