De fait, la presse anglo-saxonne, même libérale, qualifie Charlie Kirk de conservateur. Il est possible que nous ayons été influencés dans les termes utilisés par la matrice politique américaine. Nous rappelons cependant, comme je le disais, son appartenance au mouvement MAGA, qui est ce qu'il est.

Les clivages politiques aux US ne sont pas les mêmes qu'en France, "extrême-droite" ne veut pas dire la même chose. De fait, Donald Trump n'est en général pas qualifié en France de président d'extrême-droite, même si bcp de ses prises de position aillent + loin que celles d'un Zemmour en France.

Par ailleurs nous avons écrit de nombreux articles rappelant notamment son statut d’icône du « Christian nationalism » avec toutes les questions que posent cette idéologie, qui sont d'ailleurs abordées en partie dans cette tribune parue ce jour : www.la-croix.com/a-vif/assass....

Bonjour @reweill.bsky.social,
Merci de votre interpellation. Nous rappelons dans cet article que Kirk est un très proche soutien de Donald Trump, ainsi que (bien que sans en faire la liste) ses propos jugés transphobes, climatosceptiques, racistes ou encore complotistes.

Une enquête de @matthieulasserre.bsky.social à lire dans @la-croix.com

Hahahaha je vois très bien, courage !

Bref, ce n'est qu'un petit aperçu de l'étude et je prêche pour ma paroisse (padoum tss) mais il y a beaucoup d'éléments très intéressants dans cette étude, à retrouver juste ici dans @la-croix.com www.la-croix.com/religion/paq...

Les futurs baptisés sont aussi très pratiquants : 57 % y vont au moins toutes les semaines à la messe, et 56 % assurent prier « très souvent ». 3/4 des répondants estiment aussi que « l’Église est méprisée et devrait mieux se défendre ».

Fait notable, un sondé sur 5 met en valeur le rôle des influenceurs catholiques dans leur conversion.

On a longtemps parlé du rôle des grands-parents pour la transmission de la foi. C'est vrai, mais les amis y tiennent une place de plus en plus importante. Ce n’est pas l’Église ou la famille qui transmet en premier lieu mais, de façon horizontale, les amis qui évangélisent.

47 % disent venir d’une famille catholique (dont 30 % non pratiquante). Un peu plus d’un tiers a grandi dans une famille indifférente ou hostile à la religion – parfois catholique de tradition – et 11 % dans une autre religion – majoritairement l’islam.

Ces convertis sont de plus en plus jeunes – 64 % des répondants ont moins de 34 ans, 31 % entre 18 et 24 ans – et pour deux tiers des femmes.

35% d'entre eux mettent aussi en avant le désir de donner un sens à leur existence.

La moitié de ces catéchumènes (51 %) évoquent « une expérience spirituelle forte » pour expliquer leur conversion. Le choix du baptême est souvent l’aboutissement d’un parcours spirituel profond. Vient ensuite (37 %) une épreuve de la vie.