En voyant une pancarte pour un « bal années 80 » il y a quelques mois, j'ai demandé à mon père s'il y avait des « bals Occupation et Vichy » dans sa jeunesse des années 80…

La grande différence entre l'IA et l'argument de l'horloger, c'est qu'il n'y a pas de hasard avec l'IA, dans le sens où ce qu'elle produit convient bien (par un système de « récompenses ») à un résultat attendu par des créateurs, là où l'argument de l'horloger s'attaque principalement au hasard.

On peut aussi aller voir le sublime chez Kant (pourtant pas athée) : du beau qui semble avoir été créé mais qui ne l'a pas été (Critique de la faculté de juger). Ce pourquoi les beaux arts ne peuvent produire du sublime, d'après Kant.

Sachant que Cicéron a écrit le De natura deorum comme une critique de l'épicurisme où justement la création du monde revient au hasard pur du clinamen, ce n'est que la deuxième manière de rejeter l'argument de Cicéron.

Puis bon, l'argument il existe au moins depuis au moins la fin des années 1980 quand André Gorz s'en servait pour questionner la place du travail… (Et c'est sans compter les formes plus ou moins similaires qu'on a pu voir jusqu'à Platon.) www.youtube.com/watch?v=VqIv...

Ça, sur le côté poli, je ne peux que l'admettre. Ce pourquoi je continue de jurer par l'adaptation avec Jeremy Brett, qui a ce côté gentleman.

Holmes insulte régulièrement Lestrade. Dans la Vallée Boscombe, il le traite d'imbécile. Ce n'est que plus tard qu'il reconnaît que c'est un inspecteur compétent, en partie grâce au contact qu'il a eu avec Holmes. Par contre, je déplore qu'aucune adaptation n'est fidèle niveau apparence…