@jesselonergan.bsky.social fait confiance à son médium et au lecteur pour proposer un récit que René Laloux n’aurait pas renié.
Et tjr un super boulot d’édition de 404 Graphics
@jesselonergan.bsky.social fait confiance à son médium et au lecteur pour proposer un récit que René Laloux n’aurait pas renié.
Et tjr un super boulot d’édition de 404 Graphics
Il doit rester des places, n’hésitez pas à y jeter un œil
Il doit rester des places, n’hésitez pas à y jeter un œil
Au même titre qu’un Steven Wilson/King Crimson/Tool. Les compos doivent être un boulot de dingue pour atteindre ce niveau là. Super show
(bonus point pour les gratteux sur PRS)
Au même titre qu’un Steven Wilson/King Crimson/Tool. Les compos doivent être un boulot de dingue pour atteindre ce niveau là. Super show
(bonus point pour les gratteux sur PRS)
Covet
Covet
Décidément Marcel Carné sait combler ma quête de personnages hauts en couleurs avec l’hôtel du Nord
Décidément Marcel Carné sait combler ma quête de personnages hauts en couleurs avec l’hôtel du Nord
La manière d’amener le plan de fin, qui est très beau, est assez unique et bien trouvé
La manière d’amener le plan de fin, qui est très beau, est assez unique et bien trouvé
Tarte clémentine
Il a fallu faire une petite course pour digérer
Tarte clémentine
Il a fallu faire une petite course pour digérer
Mais heureusement il y a Findu… ! Flankie !
Mais heureusement il y a Findu… ! Flankie !
Quelle belle série !
Quelle belle série !
Toujours aussi émouvant.
Une belle remise en perspective sur ce que l’on peut attendre ou craindre de l’amour après avoir vagabondé. Tout comme le précédent, on se plaît à vagabonder dans la ville.
La fin est toute aussi douce qu’elle est cut et bien trouvée.
Toujours aussi émouvant.
Une belle remise en perspective sur ce que l’on peut attendre ou craindre de l’amour après avoir vagabondé. Tout comme le précédent, on se plaît à vagabonder dans la ville.
La fin est toute aussi douce qu’elle est cut et bien trouvée.
C’était un peu comme si on avait fait une suite sur terre 2 où on aurait une nouvelle faune vraiment pas très joli, et 2 caligula pour le prix d’un
Le meilleur moment c’est quand Paul Mescal fait bouger ses lèvres ( comment ça, ça n’arrive jamais ?)
C’était un peu comme si on avait fait une suite sur terre 2 où on aurait une nouvelle faune vraiment pas très joli, et 2 caligula pour le prix d’un
Le meilleur moment c’est quand Paul Mescal fait bouger ses lèvres ( comment ça, ça n’arrive jamais ?)
Œuvre de début carrière, 50 minutes, et déjà porteur des thèmes chers au réalisateur.
Filmé à la caméra épaule, le film réunit des enfants à l’aube de leur adolescence. Il réussit à capter cette innocence et nous ramène nous même à notre enfance 1/3
Œuvre de début carrière, 50 minutes, et déjà porteur des thèmes chers au réalisateur.
Filmé à la caméra épaule, le film réunit des enfants à l’aube de leur adolescence. Il réussit à capter cette innocence et nous ramène nous même à notre enfance 1/3
Bien plus complexe qu’un simple jeu d’arcade. Du plaisir à piloter chaque avion avec une vraie sensation d’amélioration lorsque les specs grimpent. Un effort de mise en scène pour un scénario que j’ai zappé mais on s’en fout, laissez moi voler. Grand jeu ? Non. Gros plaisir ? Oui
Bien plus complexe qu’un simple jeu d’arcade. Du plaisir à piloter chaque avion avec une vraie sensation d’amélioration lorsque les specs grimpent. Un effort de mise en scène pour un scénario que j’ai zappé mais on s’en fout, laissez moi voler. Grand jeu ? Non. Gros plaisir ? Oui