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@willounet.bsky.social
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Traducteur.
Better a pig than a fascist.
Contre l'exploitation des animaux.
Justice pour tous les individus sentients.
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Ces gens revendiquent fièrement leur haine, mais par contre ils condamnent la radicalisation des Palestinien·nes qui se prennent des bombes et subissent la violence coloniale d'Israël depuis des décennies (je pourrais prendre d'autres exemples d'autres peuples).
Andree Bégon Prof toxique et laïciste combative. @andreeblanche Je ne regarderai pas les cérémonies des 10 ans du massacre du Bataclan parce que je crains le pire. Des zolies musiques,des zolis danseurs ou acteurs. Et des flots de justice réparatrice Et de Vous n’aurez pas ma haine. Alors que les terroristes nous ont déclaré la guerre.
November 14, 2025 at 4:44 PM
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Pendant ce temps, sur le réseau des nazis, les universalistes commémorent le 13 novembre en se paluchant sur un texte parlant d'une France imaginaire, et publié (apparemment) dans un journal américain.
Andree Bégon Prof toxique et laïciste combative. @andreeblanche Le plus beau texte écrit sur le massacre du 13 novembre. «La France incarne tout ce que les fanatiques religieux du monde détestent : la joie de vivre par une myriade de petites choses : le parfum d’une tasse de café et des croissants le matin, de belles femmes en robe souriant librement dans la rue, l’odeur du pain chaud, une bouteille de vin que l’on partage entre amis, quelques gouttes de parfum, les enfants qui jouent dans les jardins du Luxembourg, le droit de ne croire en aucun dieu, de se moquer des calories, de flirter, fumer et apprécier le sexe hors mariage, de prendre des vacances, de lire n’importe quel livre, d’aller à l’école gratuitement, jouer, rire, se disputer, se moquer des prélats comme des politiciens, de ne pas se soucier de la vie après la mort. Aucun pays sur terre n’a de meilleure définition de la vie que les Français.» New York Times
November 14, 2025 at 4:33 PM
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C'est-y pas beau ça, vive le bien-être des animaux 🥰

www.mangeons-local.bzh/producteurs/...
Passionnée par l’élevage, j’ai eu des cochons bien avant de m’installer paysanne Mais depuis deux ans, c’est devenu mon métier. Et c’est à l’agriculture que je consacre mes journées. Et notamment à mes porcs blancs de l’ouest, la race locale de notre région, à mes six truies, mon verrat et au petit troupeau que j’élève dans des prairies, des bois et des landes sur la commune de Monterfil. Chez moi, tout le monde vit dehors, été comme hiver, dans des conditions répondant au maximum à leurs besoins : des abris adaptés, des bauges en été, du foin et de la paille à volonté l’hiver et de grands espaces pour occuper les journées à chercher glands, châtaignes, vers et autres gourmandises qu’ils pourraient trouver dans les prés. Je nourris en plus mes cochons chaque jour avec les céréales que je cultive sur la ferme. Un petit troupeau de mouton et de chèvres m’aide à entretenir les clôtures et fournit quelques agneaux chaque année. Enfin je cultive des légumes, dans un esprit proche de la permaculture afin de les transformer à la ferme. Privilégiant les variétés anciennes, je n’utilise que des semences reproductibles. Bref, je vous propose une approche radicale et entière de l’agriculture mais où tout est fait pour le bien être des animaux, de l’environnement et de l’éleveuse bien sur ! Je propose du cochon, au détail et en caissette, en frais sur les marchés et en sous vide Je transforme moi même les cochons et propose de la viande fraiche, une gamme de saucisses et plusieurs pâtés et boudins. Le porc blanc de l’ouest est un cochon à croissance lente qui dépose un gras de grande qualité pendant ses douze à quatorze mois de vie au grand air. Une viande plus rouge et plus goûtue et un gras riche en Omega 3 et 6.
November 14, 2025 at 12:29 PM
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La conclusion de ce texte lunaire est d'ailleurs on ne peut plus claire.
Farrelly et Bhogal reconnaissent qu'il pourrait s'agir de fausses déclarations, une forme de gestion de l'image pas très éloignée des discours creux utilisés par de nombreux politiciens et autres responsables pour avoir l'air écolo. Pour autant, « il serait extrêmement précieux », écrivent-ils, « de voir si les scénarios de choix de partenaire conduisent réellement à de futurs changements de comportements pro-environnement, susceptibles d'être constatés dans […] de véritables [contextes] du monde réel ». Certes, nous devrons peut-être faire montre d'une créativité extrême, mais je pense qu'il y a néanmoins dans ces études psychologiques un message essentiel à retenir pour les leaders mondiaux en train d'assister à la COP30. Au stade où nous en sommes, il est sans doute plus simple de donner une image bien macho à l'environnementalisme que de reboiser l'Amazonie.
November 12, 2025 at 12:31 PM
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Image d'un carré entièrement noir pour essayer (maladroitement peut-être) de sensibiliser les gens qui postent des images sans mettre de ALT à ce que vivent les personnes qui doivent utiliser des lecteurs d'écran. C'est chiant de ne pas comprendre de quoi on parle, n'est-ce pas?
November 12, 2025 at 12:20 PM
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Je traduis pour celleux qui ne comprennent pas la logique rationnello-cynégétique : «Les sangliers pullulent et s'autorisent de plus en plus à envahir nos espaces et à voler nos ressources alors qu'ils ont plus de place qu'avant en forêt, il est donc justifié de les buter.»
Richard-sur-Terre @RsurTerre 3h La surface forestière française🇫🇷 a quasiment doublé depuis 1900, passant de 9 millions d'hectares à 17 millions aujourd'hui. Voilà. Tweet cité : image (vraisemblablement IA) montrant un sanglier au milieu d'un champ ravagé, avec le texte suivant par-dessus : Je ne cherche pas à vous nuire, j'essaie simplement de survivre… dans un monde où ma forêt n'existe plus.
November 12, 2025 at 11:23 AM
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lol le combo rédacteur + traductrice de ses morts 💀
Pourquoi les hommes sont moins écolos que les femmes L’environnementalisme a un problème d’image : il est devenu trop féminin. Résultat, les hommes se sentent « castrés » à trier leurs déchets. Par Jesse Bering (traduction : Bérengère Viennot) Publié le 09/11/2025 à 20h00
November 11, 2025 at 10:42 PM
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Même quand on parodie les chasseurs, on n'atteint jamais leur niveau (belle vision fasciste aussi mais bon on a l'habitude).
Le sauvage n’est pas un parc à thème pour petits cœurs tout mous. Ce n’est pas une réserve de peluches vivantes destinées à satisfaire nos béates contemplations. La forêt est un milieu vivant, hiérarchisé, compétitif, où la mort n’est pas « un scandale » mais une structure. Les cerfs vieillissent, dominent, déclinent, meurent. Certains sont pris, d’autres pas. C’est la loi de la Nature, pas celle des romans Harlequin.
November 10, 2025 at 12:30 PM
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Surtout que deux tweets plus bas il parle encore d'à quel point il adore travailler avec ses animaux, en mode :
Mème du jeune garçon à lunettes qui m'arrive pas à s'arrêter Image 1 : Je revient Image 2 : Jarete vraiment Image 3 : Jarete pas IMage 4 : Je quitte adieu tout le monde
November 7, 2025 at 7:35 PM
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Ah mais te gêne surtout pas pour arrêter le plus tôt possible Cédric!
Cédric @agric15 1h Une nouvelle maladie par an des emmerdes tous les jours et pour couronner le tout le président nous vends au mercosur. Franchement ce pays ne merite pas ses éleveurs et j en suis a un point où je me demande si j irai jusqu'à la retraite!
November 7, 2025 at 7:25 PM
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Buter, buter, encore et toujours, la seule solution qu'ils connaissent *soupir*
Les conducteurs le savent déjà : chaque année, des milliers d’accidents impliquant des sangliers ont lieu sur les routes françaises. Sur les rails, la situation est moins médiatisée, mais tout aussi problématique. Un choc avec un animal de 80 à 120 kilos n’est pas un simple contretemps. C’est un risque matériel, un risque humain, et un coût économique non négligeable. Et dans ces cas-là, l’État comme les transporteurs ne s’en remettent ni aux pétitions ni aux slogans : ils constatent, réparent, comptabilisent… et admettent qu’il faut réduire les populations quand elles sont trop élevées. Ce que cet incident rappelle, très simplement, c’est que la régulation de la faune n’est pas un caprice de chasseur ou une tradition désuète. C’est une nécessité d’intérêt général. Lorsque la chasse remplit ce rôle, on parle de « loisir violent ». Lorsque la réalité rappelle pourquoi elle existe, on parle de « problème de sécurité » ou de « perturbation du service public ». C’est la même réalité. Seul le vocabulaire change selon le contexte. Personne ne propose que des murs soient construits le long de toutes les voies ferrées de France. Personne ne prétend que l’on puisse empêcher toute intrusion animale. Mais tout le monde admet qu’un sanglier lancé sur une voie de chemin de fer est un danger — et que l’éviter relève, entre autres, de la gestion des populations, donc de la chasse.
November 5, 2025 at 5:12 PM
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«On ne tue pas pour se servir mais pour faire honneur».

Les histoires qu'ils s'inventent pour se convaincre 💀
Un gibier dont on tire tout n’est pas un symbole de domination. C’est un devoir accompli. Valoriser les bas morceaux n’est pas un retour en arrière, ni une nostalgie rurale. C’est une mise au point. Un rappel que la chasse, quand elle est bien faite, n’est pas la recherche du meilleur morceau, mais la responsabilité de l’ensemble. On ne tue pas pour se servir, mais pour faire honneur.
November 5, 2025 at 12:37 PM
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Idem avec Richard qui parle de «respect» (de l'individu assassiné lol) et de «responsabilité» 💀
Le message est simple et juste : on ne respecte pas un animal en ne gardant que son filet. Pour les chasseurs, cette idée n’a rien de nouveau. Elle fait partie de l’ADN de la venaison. Quand on tue, on assume. On découpe proprement, on partage, on cuisine. Ou du moins, on devrait. Parce que dans les faits, beaucoup de gibier finit encore en steaks et en civets standards, tandis que les morceaux les plus exigeants en temps et en technique restent trop souvent écartés. Or c’est précisément là que tout se joue : la responsabilité, ce n’est pas la déclaration d’intention, c’est le geste quotidien. Et ce geste, c’est de tout valoriser. L’un des chefs présents à Bulle l’a résumé ainsi : « Les gens ont perdu l’éthique de ce qu’ils mangent. » Quand la viande devient anonyme, industrielle, prédécoupée et aseptisée, l’idée même que l’animal a vécu disparaît. La chasse, elle, remet la réalité devant soi. Le sang, l’odeur, la découpe, la main qui travaille. C’est aussi pour ça qu’elle dérange — parce qu’elle rappelle que la viande n’a rien de virtuel.
November 5, 2025 at 12:36 PM
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«L'homme et la chasse, plus de 100 000 ans d'histoire»

Tout un programme 😑
Photo prise au Salon suisse des Goûts et Terroirs à Bulle On y voit une foule attablée dans un bâtiment aux très hauts murs genre palais des congrès, dans le fond il y a un long panneau décoratif qui court tout le long du mur, cela représente le paysage d'une forêt d'automne (les arbres sont jaune orange) avec en arrière des sommets montagneux enneigés. Au-dessus de la foule on voit de faux canards en train de voler à la queue leu leu. Sur le décor forestier, le message : l'homme et la chasse, plus de 100 000 ans d'histoire
November 5, 2025 at 12:33 PM
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Comment tordre le sens des mots, ici l'«éthique» réduite au fait de consommer l'intégralité du corps d'un individu qu'on a tué sans son consentement.
Screenshot du chapeau d'un article du journal suisse La Liberté Gruyère «Les gens ont perdu l’éthique de ce qu’ils mangent». De passage au Salon des Goûts et Terroirs, ces chefs rehaussent les bas morceaux de la chasse De passage au Salon suisse des Goûts et Terroirs à Bulle, des chefs nous ont confié leur manière de valoriser les bas morceaux de la chasse.
November 5, 2025 at 12:28 PM
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Je remets l'image de @emycause.bsky.social parce que cette nouvelle s'y inscrit parfaitement.
Image illustrative de comment le fascisme arrive vs comment on l'imagine arriver À gauche un interrupteur haut/bas avec démocratie/fascisme À droite une graduation allant de la démocratie au fascisme.
November 4, 2025 at 3:31 PM
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Ah tiens j'avais raté ça hashtag minarchiste 🤭
Profil Twitter de Richard-sur-Terre @RsurTerre #Humaniste #universaliste, #minarchiste #chasseur et défenseur de la #chasse. Créateur de contenus sur #YouTube : youtube.com/c/RichardsurTerre sur Terre chasseseternelles.com/ Joined June 2024
November 3, 2025 at 10:43 PM
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Commentaire de @wasabee2647 posté il y a 2 mois sous la vidéo de l'INA : Donc les commentaires c'est 60% pour dire qu'elle est belle et le reste pour dire qu'elle parle bien français et rien sur le fait qu'elle se revendique de mussolini ...c'est terrifiant
November 3, 2025 at 12:09 PM
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academic.oup.com/af/article/1...
Introduction Historically and from an evolutionary perspective, meat has been cherished by human communities as a nutritious and highly symbolic food, against a 3-million-year background of biosocial needs. Whenever intake was low, this was mostly due to limited access and availability or because of ideological and religious reasons. Today, however, arguments for a widespread reduction of meat consumption have emerged from various actors, mostly in high-income countries. Leaving aside the degree of negative impact that meat may have on a variety of factors that relate to human and planetary health (addressed elsewhere in this Issue; Johnston et al., 2023; Thompson et al., 2023), the purpose of the present article is to summarize the positive nutritional aspects of meat consumption. The outlining, understanding, and weighing of such parameters will be required to enable a proper cost-benefit analysis of any food system transformation, and particularly those that wish to strongly reduce or even eliminate meat intake. Four key questions were identified by the authors of this article as paramount for this discussion and will be addressed below. First, to what degree can meat be considered as a part of the species-adapted diet of humans, and therefore as an appropriate food from a physiological and nutritional perspective? Second, what are the key nutrients that meat provides and could potentially become challenging to obtain from other sources in meat-free diets? Third, what is the current contribution of meat to the global supply of such nutrients and how does that differ regionally? Finally, what would be the implications of a substantial reduction in meat consumption on human nutrition and well-being at large, especially for populations with increased needs and in regions where intake is already worryingly low? Implications Aspects of human anatomy, digestion, and metabolism diverged from other primates, indicating evolutionary reliance on, and compatibility with, substantial meat intake. Implications of a disconnect from evolutionary dietary patterns may contribute to today’s burden of disease, increasing the risk for both nutrient deficiencies and chronic diseases. Meat supplies high-quality protein and various nutrients, some of which are not always easily obtained with meat-free diets and are often already suboptimal or deficient in global populations. Removal of meat comes with implications for a broad spectrum of nutrients that need to be accounted for, whereas compensatory dietary strategies must factor in physiological and practical constraints. Although meat makes up a small part (<10%) of global food mass and energy, it delivers most of the global vitamin B12 intake and plays a substantial role in the supply of other B vitamins, retinol, long-chain omega-3 fatty acids, several minerals in bioavailable forms (e.g., iron and zinc), and a variety of bioactive compounds with health-improving potential (e.g., taurine, creatine, and carnosine). As a food matrix, meat is more than the sum of its individual nutrients. Moreover, within the diet matrix, it can serve as a keystone food in food-based dietary interventions to improve nutritional status, especially in regions that rely heavily on cereal staples. Efforts to lower global meat intake for environmental or other reasons beyond a critical threshold may hinder progress towards reducing undernutrition and the effects this has on both physical and cognitive outcomes, and thereby stifle economic development. This is particularly a concern for populations with increased needs and in regions where current meat intake levels are low, which is not only pertinent for the Global South but also of relevance in high-income countries.
October 31, 2025 at 6:04 PM
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Bref n'écoutez pas les charlatans à la Frédéric Leroy qui vous parlent de «l'importance de la viande du point de vue de l'histoire et de l'évolution».
History shows us that there is no single way humans have eaten and no predetermined way we should eat. Diets are a product of the world we live in. And in that world, the questions we should be asking are not about what our ancestors ate — and whether we should therefore eat meat, berries, or maggots — but about what rational decisions we can make about our future. That includes asking why meat is so cheap and easy to buy, and whether it ought to remain so. The answers lie in science, public health, and political economy, and not in myths. The diets of the long dead are a red herring at best, red meat for reactionary politics at worst.
October 31, 2025 at 6:00 PM
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Oh the irony.

(Oui c'est toujours Riri.)

(Oui le média dont il parle fait de la merde au kilomètre.)
REWORLD MEDIA se décrit lui-même comme une « usine à contenus ». Et dans les faits, c’est exactement ce qu’elle est devenue : une machine à produire des articles à la chaîne, sans auteur, sans recul, sans âme. Dans cette vidéo, on démonte pièce par pièce comment ce système transforme la presse en pipeline d’articles interchangeables : – un faux témoignage inventé autour d’un guide de la LPO, – un article absurde sur les “chasseurs porte-bonheur”, – et des balles de chasseurs qui tombent du ciel Trois exemples concrets, un même modèle : l’industrialisation du mensonge. Quand plus personne ne relit, quand tout devient “contenu”, la vérité disparaît entre deux clics.
October 31, 2025 at 1:25 PM
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On vit dans une sociéter, à bon entendeur.
La chasse devient le bouc émissaire commode d’une société qui ne supporte plus l’idée simple que le vivant finit toujours par mourir, et que dans l’immense majorité des cas, c’est pour nourrir une autre forme de vie qui mourra à son tour. Et pourtant, tout ce que demande un chasseur, c’est d’être jugé sur ses actes, pas sur les fantasmes qu’on projette sur lui. Tout ce que demande un cuisinier, c’est de pouvoir travailler en conscience, pas sous la menace de la prochaine indignation virale. Alors oui, j’ai parfois l’impression de ne plus vivre sur la même planète. Sur la mienne, on croit encore que la nuance n’est pas une faiblesse. On pense qu’un chef qui réfléchit avant de céder à la pression mérite le respect. Et qu’un article qui raconte les faits sans les déformer mérite d’être salué. Parce qu’au fond, la mesure, aujourd’hui, est une espèce bien plus menacée que la bécasse des bois.
October 31, 2025 at 12:57 PM
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C'est bon de rire 🙃
Dans le dernier album d’Astérix (en Lusithanie), nos irréductibles Gaulois se mêlent à des réflexions bien modernes. Tandis qu’Astérix s’inquiète du “bilan galériens” — une allusion savoureuse au bilan carbone — Obélix tranche avec le bon sens rustique qu’on lui connaît : “Les gens n’ont qu’à manger du sanglier. Ce n’est jamais hors-saison le sanglier, ça pousse toute l’année.” Un clin d’œil irrésistible à nos débats contemporains sur la consommation locale et durable… et un rappel que le sanglier, lui, ne connaît ni inflation ni rupture de stock.
October 31, 2025 at 10:27 AM
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Une autre perle.
Un second mis en cause a été relaxé, faute de preuve suffisante. Mais pour le principal auteur, la sentence tombe comme une piqûre de rappel. Chasser, ce n’est pas tuer en douce.
October 30, 2025 at 12:05 PM
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Quand tu pousses ton habituelle et poussive comparaison entre chasseurs et automobilistes tellement loin que tu fais un beau CSC sans le vouloir 😆
Il faut le dire sans détour : un braconnier n’est pas un chasseur. Pas plus qu’un chauffard n’est un automobiliste. Derrière chaque permis suspendu, chaque arme confisquée, il y a un message. Simple, mais nécessaire : la chasse n’a rien à voir avec la rapine. C’est une discipline, un engagement, et même une morale. Et voir la justice la défendre, ça redonne un peu foi dans les institutions.
October 30, 2025 at 12:03 PM