VincentPaulF
@vincentpaulf.bsky.social
But it's called love
And it's so uncool
It's called love
And somehow it's become unmentionable
And it's so uncool
It's called love
And somehow it's become unmentionable
#CharacterActorsAprreciationWall Franklin Pangorn (1899-1958), inénarrable chez Hawks, Lubitsch, la Cava, Capra, etc., mélange incroyable de Patrick Macnee et de Stéphane Bern, avec d'incroyables bajoues de hamster
November 14, 2025 at 7:56 AM
#CharacterActorsAprreciationWall Franklin Pangorn (1899-1958), inénarrable chez Hawks, Lubitsch, la Cava, Capra, etc., mélange incroyable de Patrick Macnee et de Stéphane Bern, avec d'incroyables bajoues de hamster
- You know, I'm pretty glad I came to the Riviera
- It's a lovely place. Beautiful. But the class of people who come here gets worse every year. And this year we seem to have next year's crowd already
- It's a lovely place. Beautiful. But the class of people who come here gets worse every year. And this year we seem to have next year's crowd already
November 13, 2025 at 7:20 PM
- You know, I'm pretty glad I came to the Riviera
- It's a lovely place. Beautiful. But the class of people who come here gets worse every year. And this year we seem to have next year's crowd already
- It's a lovely place. Beautiful. But the class of people who come here gets worse every year. And this year we seem to have next year's crowd already
"The human factor" (O. Preminger, 1979) : dernier film du maître, loin de ses chefs d'œuvre jazzy, un film d'espionnage a priori terne, sans action, mais illuminé par la grâce d'Iman, où l'émotion / amour (ce facteur humain) nous submerge peu à peu jusqu'au dernier plan qui nous laisse en suspens
November 13, 2025 at 7:21 AM
"The human factor" (O. Preminger, 1979) : dernier film du maître, loin de ses chefs d'œuvre jazzy, un film d'espionnage a priori terne, sans action, mais illuminé par la grâce d'Iman, où l'émotion / amour (ce facteur humain) nous submerge peu à peu jusqu'au dernier plan qui nous laisse en suspens
Bel angle d'ouverture de mâchoire mais encore un effort pour avoir celui du thylacine
November 12, 2025 at 10:22 AM
Bel angle d'ouverture de mâchoire mais encore un effort pour avoir celui du thylacine
"Le Lac aux oies sauvages" (Diao Yi'nan, 2019) : la cavale d'un malfrat et d'une prostituée, peu importe l'intrigue, Dieu que ce film est beau, baigné de somptueuses couleurs nocturnes, presque comique parfois tant sa virtuosité est frénétique et traversée de rares éclairs de violence chorégraphiée
November 12, 2025 at 7:28 AM
"Le Lac aux oies sauvages" (Diao Yi'nan, 2019) : la cavale d'un malfrat et d'une prostituée, peu importe l'intrigue, Dieu que ce film est beau, baigné de somptueuses couleurs nocturnes, presque comique parfois tant sa virtuosité est frénétique et traversée de rares éclairs de violence chorégraphiée
"Limbo" (S. Cheang, 2021) : hier en le regardant j'ai tiqué sur tout ce qui m'énerve dans le genre (les clichés, le pathos, le grandiloquent) mais après la décantation nocturne je dois reconnaître que les scènes de poursuite / bagarre dans un HK de flotte et de cendres se gravent bien sur la rétine
November 11, 2025 at 8:58 AM
"Limbo" (S. Cheang, 2021) : hier en le regardant j'ai tiqué sur tout ce qui m'énerve dans le genre (les clichés, le pathos, le grandiloquent) mais après la décantation nocturne je dois reconnaître que les scènes de poursuite / bagarre dans un HK de flotte et de cendres se gravent bien sur la rétine
"Life is sweet" (M. Leigh, 1990) : loin d'être mon Leigh préféré (litote) mais derrière le côté gras, trash, Deschiens anglais, l'émotion perce parfois, par exemple lorsque le masque grimaçant de la fille anorexique se fissure - et super acteurs dont beaucoup joueront dans la saga Harry Potter ;)
November 10, 2025 at 3:58 PM
"Life is sweet" (M. Leigh, 1990) : loin d'être mon Leigh préféré (litote) mais derrière le côté gras, trash, Deschiens anglais, l'émotion perce parfois, par exemple lorsque le masque grimaçant de la fille anorexique se fissure - et super acteurs dont beaucoup joueront dans la saga Harry Potter ;)
Ah ah une des jumelles insupportable et mal dans sa peau de "Life is sweet" est évidemment une fan des Smiths
November 10, 2025 at 1:34 PM
Ah ah une des jumelles insupportable et mal dans sa peau de "Life is sweet" est évidemment une fan des Smiths
"La lettre du Kremlin" (J. Huston, 1970) : invraisemblable mais jouissif film d'espionnage choral un peu salace évoquant "l'Etau" de Hitch, avec cast de choix : Bibi Andersson nymphomane fumeuse de H, von Sydow / Welles evil Laurel & Hardy et George Sanders taupe extra-invertie qui fait du tricot
November 10, 2025 at 7:33 AM
"La lettre du Kremlin" (J. Huston, 1970) : invraisemblable mais jouissif film d'espionnage choral un peu salace évoquant "l'Etau" de Hitch, avec cast de choix : Bibi Andersson nymphomane fumeuse de H, von Sydow / Welles evil Laurel & Hardy et George Sanders taupe extra-invertie qui fait du tricot
Apprenti(e) romancier(e), tu cherches des noms de personnages intéressants ? Conseils : soit tu ouvres un répertoire d'espèces animales, comme JP Manchette (Epaulard, Terrier, etc.), soit tu vas au cimetière et là je t'offre une sublime
November 9, 2025 at 2:07 PM
Apprenti(e) romancier(e), tu cherches des noms de personnages intéressants ? Conseils : soit tu ouvres un répertoire d'espèces animales, comme JP Manchette (Epaulard, Terrier, etc.), soit tu vas au cimetière et là je t'offre une sublime
Ah ah reçu et commencé, très bien, développe certaines intuitions qu'on a pu avoir mais en les articulant et surtout fait découvrir la figure pionnière de William Morris que je connaissais pas, contrairement à Ruskin. Belle analyse aussi de la démarche de renouvellement du genre par GRR Martin
November 9, 2025 at 8:57 AM
Ah ah reçu et commencé, très bien, développe certaines intuitions qu'on a pu avoir mais en les articulant et surtout fait découvrir la figure pionnière de William Morris que je connaissais pas, contrairement à Ruskin. Belle analyse aussi de la démarche de renouvellement du genre par GRR Martin
"La machine" (P. Vecchiali, 1977) : bonne restitution des mentalités de l'époque sur la peine de mort à travers cette fiction kaléidoscopique (points de vue des familles, témoins, juges, psychiatres, médias) sur le meurtre d'un enfant mais conclusion "pédolibertaire" un peu répugnante & obsolète
November 8, 2025 at 10:16 AM
"La machine" (P. Vecchiali, 1977) : bonne restitution des mentalités de l'époque sur la peine de mort à travers cette fiction kaléidoscopique (points de vue des familles, témoins, juges, psychiatres, médias) sur le meurtre d'un enfant mais conclusion "pédolibertaire" un peu répugnante & obsolète
Don't mess with the ZohRan
November 5, 2025 at 7:14 AM
Don't mess with the ZohRan
Elle était bien jolie dans "Coup de tête", France Dougnac, entourée de Dewaere et de la dream team des "trognes" de l'époque : Jean Bouise, Paul le Person, Michel Aumont, Michel Fortin, Maurice Barrier, Mario David...
November 4, 2025 at 7:16 PM
Elle était bien jolie dans "Coup de tête", France Dougnac, entourée de Dewaere et de la dream team des "trognes" de l'époque : Jean Bouise, Paul le Person, Michel Aumont, Michel Fortin, Maurice Barrier, Mario David...
"Les lumières des faubourgs" (A. Kaurismäki, 2006) : pas vu un de ses films depuis longtemps, frappé par ce mélange unique de théâtralité ralentie, à la japonaise / Nô, de stylisation scénographique à la W. Anderson / Almodovar, le tout baigné dans les réf. au cinéma populaire français à la Carné
November 3, 2025 at 7:55 AM
"Les lumières des faubourgs" (A. Kaurismäki, 2006) : pas vu un de ses films depuis longtemps, frappé par ce mélange unique de théâtralité ralentie, à la japonaise / Nô, de stylisation scénographique à la W. Anderson / Almodovar, le tout baigné dans les réf. au cinéma populaire français à la Carné
Dernier film du minicycle K. Wolf sur Arte : "Lissy", 1957, très belle chronique de la prise de conscience d'une femme, encore une femme, de la montée du nazisme et de la nécessité de résister, même juste intérieurement. Très justes scènes sur les SA, leur faux-nez socialiste, leur stratégie du choc
November 1, 2025 at 10:25 AM
Dernier film du minicycle K. Wolf sur Arte : "Lissy", 1957, très belle chronique de la prise de conscience d'une femme, encore une femme, de la montée du nazisme et de la nécessité de résister, même juste intérieurement. Très justes scènes sur les SA, leur faux-nez socialiste, leur stratégie du choc
"Main basse sur la ville" (F. Rosi, 1963) : formidable film tragique où tout est tracé dès le début (l'axe de développement urbain, le m2 "en or" tracé dans le sable) et où l'alliance des "hommes de bonne volonté" est balayée par l'énergie impitoyable du promoteur (R. Steiger, cubique & intense)
October 30, 2025 at 5:58 PM
"Main basse sur la ville" (F. Rosi, 1963) : formidable film tragique où tout est tracé dès le début (l'axe de développement urbain, le m2 "en or" tracé dans le sable) et où l'alliance des "hommes de bonne volonté" est balayée par l'énergie impitoyable du promoteur (R. Steiger, cubique & intense)
Toujours sur Arte et du même réalisateur, "Etoiles" (1959), Grand prix à Cannes cette année-là, et qui réussit la gageure d'un film évidemment très émouvant mais sobre / épuré / tenu sur un sujet très casse-gueule (l'hypothétique amour entre une jeune juive et un sous-officier de la Wehrmacht)
October 28, 2025 at 9:40 AM
Toujours sur Arte et du même réalisateur, "Etoiles" (1959), Grand prix à Cannes cette année-là, et qui réussit la gageure d'un film évidemment très émouvant mais sobre / épuré / tenu sur un sujet très casse-gueule (l'hypothétique amour entre une jeune juive et un sous-officier de la Wehrmacht)
"Il maestro di Vigevano" (E. Petri, 1962) : un modeste instituteur lombard est méprisé par sa femme, qui lui reproche de ne pas gagner assez d'argent. Entre satire du matérialisme de l'Italie du "boom" économique et comédie conjugale bouffonne et amère, un rôle de choix pour le génie Sordi
October 26, 2025 at 6:41 PM
"Il maestro di Vigevano" (E. Petri, 1962) : un modeste instituteur lombard est méprisé par sa femme, qui lui reproche de ne pas gagner assez d'argent. Entre satire du matérialisme de l'Italie du "boom" économique et comédie conjugale bouffonne et amère, un rôle de choix pour le génie Sordi
Toujours de Konrad Wolf, mais 16 ans + tard (1980), "Solo Sunny", formidable portrait d'une femme libérée, chanteuse dans une petite troupe, qui m'a fait penser à la fois à "Pays calme" d'Andreas Dresen et à "La salamandre" ou au "Journal de Lady M" d'Alain Tanner
October 24, 2025 at 8:09 PM
Toujours de Konrad Wolf, mais 16 ans + tard (1980), "Solo Sunny", formidable portrait d'une femme libérée, chanteuse dans une petite troupe, qui m'a fait penser à la fois à "Pays calme" d'Andreas Dresen et à "La salamandre" ou au "Journal de Lady M" d'Alain Tanner
Images / scènes "iconiques" comme on dit, et effectivement probablement les plus mémorables, de leurs films respectifs
October 23, 2025 at 12:34 PM
Images / scènes "iconiques" comme on dit, et effectivement probablement les plus mémorables, de leurs films respectifs
"Le ciel partagé" (K. Wolf, 1964) : une jeune Allemande de l'Est étudie, travaille à l'usine, tombe amoureuse d'un chimiste tourmenté qui rêve de passer à l'Ouest... très jolie adaptation existentialiste, nouvelle vague, jazzy - étonnante de légèreté - d'un roman de Christa Wolf
October 22, 2025 at 7:12 PM
"Le ciel partagé" (K. Wolf, 1964) : une jeune Allemande de l'Est étudie, travaille à l'usine, tombe amoureuse d'un chimiste tourmenté qui rêve de passer à l'Ouest... très jolie adaptation existentialiste, nouvelle vague, jazzy - étonnante de légèreté - d'un roman de Christa Wolf
Ce petit gars, Edmund M(o)eschke (1936-2007) n'a fait qu'un film - mais quel film ! - et n'a même pas de page Wikipedia en français ni en anglais
October 18, 2025 at 8:04 AM
Ce petit gars, Edmund M(o)eschke (1936-2007) n'a fait qu'un film - mais quel film ! - et n'a même pas de page Wikipedia en français ni en anglais