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J'aime regarder des films et lire des livres
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Janvier 2025
February 1, 2025 at 10:12 PM
🤔
January 28, 2025 at 12:34 AM
Voci nel tempo (1996) - Franco Piavoli
January 27, 2025 at 3:48 PM
Memories of Agano (2005) - Makoto Satō

Montrer quelque chose à l'écran, c'est aussi révéler son absence. Des espaces vides et fantomatiques où s'articulent le temps et la mémoire, le passé et le présent. Cela faisait extrêmement longtemps que je n'avais pas été autant touché par une œuvre.
January 12, 2025 at 5:14 PM
Renoir X Adorno

Le Déjeuner sur l'herbe (1959)
January 4, 2025 at 5:17 AM
1 - Voyage à Tokyo (1953) - Yasujirō Ozu

❤️
January 2, 2025 at 6:03 AM
2 - Vive l'Amour (1994) - Tsai Ming-liang

Symbiose parfaite entre les personnages et les lieux, c’est le cinéma de l’errance que j’aime. La scène finale m’a laissé figé pendant de longues minutes.
January 2, 2025 at 6:02 AM
3 - L'Intendant Sansho (1954) - Kenzi Mizoguchi

Grand film marxiste. Là où, dans La Rue de la honte, la liberté semble inaccessible, ici, la liberté de certains rend possible celle des autres.
January 2, 2025 at 5:58 AM
4 - Et la vie continue (1992) - Abbas Kiarostami

La plus belle réflexion sur le travail de cinéaste, beau, humain, pur.
January 2, 2025 at 12:41 AM
5 - Maborosi (1995) - Hirokazu Kore-eda

Le silence du deuil, débuter avec Maborosi ne pouvait qu’annoncer la naissance d’un cinéaste d’exception.
January 2, 2025 at 12:36 AM
6 - Soy Cuba (1964) - Mikhail Kalatozov

Grande fresque politique, qui mêle une vue d'ensemble sur le peuple cubain en conservant l'intimité des personnages, le cinéaste transforme ces micro-histoires en la véritable histoire de Cuba.
January 2, 2025 at 12:30 AM
7 - Grains de sable (1995) - Ryosuke Hashiguchi

À ce jour le plus beau regard et le plus juste porté sur la jeunesse, c'est à la fois d'une immense beauté et d'une terrible cruauté.
January 2, 2025 at 12:23 AM
8 - Les contes de la lune vague après la pluie (1953) - Kenzi Mizoguchi

Admiratif de la manière dont il façonne les espaces par le mouvement, il établit une connexion totale entre eux, où tout se ressent et tout semble vivant : du lac à la rue, des hommes aux femmes, et du rêve à la matière.
January 2, 2025 at 12:21 AM
9 - Le goût du saké (1962) - Yasujirō Ozu

Dernier chef-d'œuvre d'Ozu, une brèche s'ouvre dans le quotidien, révélant l'irruption de l'industrialisation et de la modernisation de la société. Le plus bel adieu qu'un cinéaste du quotidien pouvait offrir.
January 2, 2025 at 12:18 AM
10 - La Rue de la honte (1956) - Kenzi Mizoguchi

L'espoir de femmes confrontées à la dure réalité de leur condition de prostituées dans un système capitaliste oppressant. Une liberté qui semble hors de portée. Mizoguchi est un cinéaste de la tragédie.
January 2, 2025 at 12:07 AM
Petit retour sur mes 10 meilleures découvertes cinématographiques de l'année 2024

Je commence par quatre excellents films qui m'ont profondément marqué, en guise d'introduction pour la suite :

Les rebelles du dieu néon / Hipnosis Display / Les Harmonies Werckmeister / Profession : reporter
January 1, 2025 at 11:58 PM
J'ai le sentiment de trouver dans le cinéma de Tati l'idéalisme que défend Adorno. L'exagération des mouvements et des interactions avec la matière permet au cinéaste d'aller au-delà de son objet par une transfiguration de la réalité, mais qui permet de mieux la pénétrer.
December 31, 2024 at 5:50 AM
December 26, 2024 at 11:52 PM
Une bonne semaine !
November 3, 2023 at 6:38 PM
October 28, 2023 at 12:39 PM
As I Was Moving Ahead Occasionally I Saw Brief Glimpses of Beauty (2000)

Dir. Jonas Mekas
October 21, 2023 at 3:30 PM