Ce que l'extrême-droite veut détruire, nous nous battons pour le préserver. Le programme LIFE est la preuve d'une Europe qui agit concrètement pour protéger le vivant, au service de la santé humaine.

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Une bouffée d’air pour le climat, la biodiversité et nos territoires. Notamment nos outre-mer, car l’un de ces projets vise à sauver 15 espèces menacées d’extinction à La Réunion, en Polynésie française, en Guyane et en Nouvelle-Calédonie.

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Créé par Jacques Delors en 1992, ce pilier de la politique environnementale européenne vient d'investir 223 millions d’euros pour soutenir 31 nouveaux projets.

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En Europe ce 11 novembre, c'est aussi le jour de la liberté retrouvée pour la Pologne. Celui de l’indépendance, après plus d’un siècle d’effacement.

Deux histoires qui se croisent, deux peuples unis par leur amour de la liberté.
En ce jour de mémoire, je voulais aussi les saluer.

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La seule voie d’émancipation véritable, c’est celle des énergies renouvelables : les énergies de la liberté.

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Oui, nous devons sortir de notre dépendance au pétrole et au gaz russes — c’est vital. Mais nous ne pouvons pas le faire au prix d’une nouvelle dépendance, cette fois envers les États-Unis.

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Les ministres peuvent échouer, mais le Parlement, lui, continuera de se battre jusqu’au bout.

Rendez-vous lundi soir pour la prochaine bataille.

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Dans ce triste cirque, une bonne nouvelle : nous députés européens, en commission ITRE, avons adopté un premier texte ambitieux. Il préserve la réduction de 90 % des émissions nettes d’ici 2040 sur le territoire de l’UE.

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On ne négocie pas avec la physique. Ce n’est pas en enfumant nos concitoyens avec des artifices comptables, qu’on réussira à les protéger des inondations, des tempêtes et des canicules.

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Refusant de prendre la mesure de l’urgence climatique, ils ont affaibli le texte proposé par la Commission européenne par une série de concessions inacceptables. Pas question de déléguer nos responsabilités ni d’offrir des passe-droits aux plus gros pollueurs.

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Une véritable aberration, car les éoliennes sont bonnes pour notre économie, pour la cohésion de nos territoires, pour notre souveraineté énergétique, et elles sont essentielles pour que nous puissions agir pour le climat.

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Cinq éoliennes, c’est une manne qui permet de soutenir la vie locale, d’aider les habitants et de préserver des services essentiels. Pourtant, malgré l’évidence, l’État freine ce type de projets, au détriment des territoires qui en ont besoin.

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Depuis des années, il se bat pour permettre à son village de produire une énergie renouvelable et décarbonée, mais aussi pour assurer des ressources financières indispensables à une petite commune rurale.

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Aujourd’hui, nous savons que nous pouvons le faire grâce à la révolution énergétique et écologique, car c’est par la sobriété, l’efficacité énergétique et l’investissement dans les énergies renouvelables que nous pourrons reconquérir notre souveraineté énergétique, c’est-à-dire notre liberté.

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Aujourd’hui, nous, Européens, déclarons notre indépendance vis-à-vis des énergies fossiles russes.

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Il a créé un véritable choc gazier pour déstabiliser l’économie européenne.

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Pendant vingt ans, l’Europe a augmenté sa dépendance au pétrole et au gaz russes. Avant même sa tentative d’invasion totale de l’Ukraine, Vladimir Poutine a utilisé notre dépendance énergétique contre nous en baissant ses livraisons de gaz à l’été 2021.

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Son objectif ? La reconquête de l’Empire russe.
Sa méthode ? La déstabilisation politique.
Ses outils : financement de partis extrémistes, guerre informationnelle et ce que la Commission européenne a justement appelé la guerre énergétique.

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