C’est clair, quelques situations auraient mérité beaucoup mieux… malheureusement c’est la malchance du dernier qui fait qu’on galère encore devant. Espérons que la trêve fera du bien aux joueurs, mentalement ils doivent être épuisés…

Le calendrier : "C’est le point de l’espoir. Maintenant, on va à Lens et on reçoit Nice. Il reste deux matchs en décembre, c’est encore deux belles équipes, mais il faudra avoir la même volonté, le même courage, pour limiter la casse jusqu’à la trêve."

Savanier : "Ils allaient à la bagarre, normalement, lui, il vaut mieux qu’il ait le ballon dans les pieds. Là, même dans un duel à la tête, tellement ils avaient envie de le réaliser, que même le ballon en l’air, il y est allé." (2/2)

Savanier : "Téji a une belle bosse sur la tête, donc à un moment je voyais qu’il était hagard, et il m’a fait signe, je veux changer. C’était aussi un peu le symbole d’un joueur aussi technique. On sentait qu’il y avait de la volonté." (1/2)

L'incident Coulibaly-Genesio en fin de match : "Je suis rentré sur le terrain pour voir Bruno, pour dire que ce n’est pas volontaire. Il n’y avait pas besoin de mettre le feu pour un attroupement. Le ballon lui a échappé et de colère, il a voulu frapper dedans mais je pense qu’il n’a pas vu."

Les axes de travail : "Les petits incendies, il y en a plusieurs. On a un petit extincteur, alors qu’il faudrait un Canadair. Mais je reste sur la priorité. Les remettre dans le circuit, les faire progresser physiquement. Le travail paie toujours, et c’est le leitmotiv de mon discours avec eux."

"Le premier, je ne discute pas. Mais le 2nd, la faute sur Cabella, elle se siffle ou elle ne se siffle pas. Donc j’ai l’impression qu’en ce moment, ça ne va que dans un sens. Ce n’est pas une question d’arbitrage. On a des périodes dans la vie où on est moins bien, et tout va contre." (4/4)

"Mais sur les trois derniers matchs, au Havre, on nous siffle un bras décollé. Il se siffle ou il ne se siffle pas. À Saint-Étienne, pénalty pour nous en direct, Var refusé. Deuxième mi-temps, pénalty pour nous en direct, sifflé, Var, refusé." (3/4)

"On est dans un moment où on est mené 2-1, on prépare les changements pour dire qu’on va jouer le va-tout, pour jouer très offensif, et là, la moindre faute me fait sortir un peu de mes gonds. Je suis allé m’excuser, j’ai dit que je n’avais pas le droit de rentrer dans cette colère..." (2/4)

L'arbitre : "Je viens d’aller voir M. Millot, je suis allé m’excuser, je lui ai dit que je n’avais pas le droit. Il m’a demandé pourquoi j’étais rentré en folie, je lui ai dit, il n’y a pas faute, le joueur s’est laissé tomber devant moi, et vous êtes derrière lui, donc vous ne voyez pas." (1/4)