Accepter que la Hongrie de l’idiot utile du Kremlin soit l’hôte de cette rencontre diplomatique serait une faute géopolitique impardonnable – l’UE comme le paillasson pour deux des grands prédateurs du XXIe siècle. Il est temps de se réveiller. (2/2)

👉 Protéger le ciel ukrainien, fournir plus d’armes à la résistance ukrainienne, utiliser les avoirs gelés russes, sans attendre. 2/2

Un match plié d’avance où l’Europe a regardé, à son habitude, l’Histoire s’écrire sans elle, comme spectatrice d’un monde dans lequel elle n’a plus aucune prise. Consternant. 6/6

12 minutes de vide pour conclure un sommet qui s’annonçait historique. Trump s’attendait sans doute à recevoir le prix Nobel de la paix quelques minutes après. Au lieu de cela, il a décidé de se courber pour serrer la main d’un « Président » russe droit comme un piqué. 5/6

Il a balayé le protocole qui veut qu’en territoire américain, le Président des US s’exprime en premier, a enchaîné les revisites historiques comme si la GF avait été une parenthèse de l’Histoire, et a feint de se préoccuper du sort du peuple ukrainien, bombardé rappelons-le par ce même criminel. 4/6

Une rencontre qui contraste drastiquement avec l’accueil qui avait été réservé au président Zelensky, humilié à la Maison Blanche. Aucun deal — a priori —, une conférence de presse fantôme, mais un Vladimir Poutine en terrain conquis. 3/6

Poutine ressort vainqueur de ce meeting, incontestablement. Tapis rouge, décor sur mesure et grand sourire de Trump à l’arrivée : la première démocratie du monde — du moins, ce qu’il en reste — a accueilli en grande pompe un criminel de guerre sous mandat d’arrêt de la CPI. 2/6

@ppjeunes.bsky.social

L’Histoire se répète. Trump, tout sourire, accueille Poutine en grande pompe sur un tapis rouge. La honte, le dégoût jusqu’au bout. (3/3)

En voyant Poutine et Trump se serrer la main en Alaska, je ne peux m’empêcher de penser à Munich en 1938 où Daladier, Chamberlain, etc. espèrent encore sauver la paix en négociant avec Hitler. (2/3)

L’horloge tourne. S’habituer à la guerre en Ukraine est un leurre, car elle se finira demain, et à ce rythme, par une défaite ukrainienne et un choc géopolitique sans précédent.

Agir et vite. 2/2