Ça + des années de metroidvanias à la pelle qui ont amené le genre au statut d'objet d'étude, avec des propositions très diversifiées et de vraies réflexions sur les gameplays. Tout se mixe et on finit par ne retenir que le meilleur, quitte à l'attribuer au mauvais jeu réstrospectivement.

Bref tu peux avoir vu, ne pas avoir été touché ou fasciné, et pour autant avoir tout de même COMPRIS ce à quoi tu t'es heurté

La culture "artistique" ce n'est pas toujours être ému par toute oeuvre que l'on voit, parfois on se heurte à quelque chose que l'on n'aime pas, mais on s'est ainsi construit un rapport à l'oeuvre, et on s'est donné des armes analytiques pour comprendre l'émotion qu'elle suscite pour d'autres.

D'ailleurs : Doit-on forcément aimer un jeu pour qu'il nous enrichisse culturellement? J'ai joué plusieurs heures à Balatro, puis j'ai lâché, lassé, le jeu ne m'a pas absorbé. Cela m'a amené à me questionner sur mon rapport au jeu, et en tout cas j'ai compris ce que les gens qui l'aiment lui trouve.

Un city-builder basé sur la construction d'une cité et le développement d'une civilisation, mais en jouant cette même civilisation à deux ères différentes en parallèle. Ainsi on peut proposer des défis comme éviter dans l'époque 1 une guerre qui surviendra dans l'époque 2 200 ans plus tard.