👉 Retrouvez le rapport complet en libre accès sur notre site : tnova.fr/ecologie/tra...

[9/9]

Par ailleurs, l’extension du réseau vers les “zones blanches”, notamment les 18e, 19e et 20e arrondissements, est essentielle.

Ces quartiers concentrent entre 57 000 et 66 000 logements sociaux, aujourd’hui exclus du réseau de chaleur parisien. [8/9]

Les auteurs proposent de coupler le tarif à des aides ciblées pour les ménages modestes, en s’appuyant sur les bénéficiaires du chèque énergie.

🎯 Objectif : garantir un accès universel à un chauffage propre, stable et abordable. [7/9]

Le chauffage urbain peut aussi devenir un outil puissant de lutte contre la précarité énergétique, qui touche encore 3,2 millions de ménages en France.

Pourtant, la tarification actuelle du réseau ne prend pas en compte les revenus. [6/9]

Et ça tombe bien, d’autres villes montrent la voie :

Copenhague et Stockholm ont atteint des taux de décarbonation supérieurs à 80 % en moins de vingt ans. [5/9]

Pour atteindre l’objectif du Plan climat-air-énergie territorial (PCAET) 2024-2030 de 100 % d’énergies renouvelables et de récupération d’ici 2050, la Ville doit investir massivement dans :
🌍 la géothermie
🔥 la chaleur fatale
💧 les pompes à chaleur
🌲 la biomasse

[4/9]

Le chauffage reste responsable de 15 % des émissions de gaz à effet de serre en France, sa décarbonation est une priorité. La guerre en Ukraine a rappelé la fragilité de notre dépendance au gaz : les prix ont été multipliés par cinq en 2022. [3/9]

Avec près d’un quart des bâtiments parisiens raccordés, dont la quasi-totalité des hôpitaux et plusieurs monuments historiques, le réseau de chaleur est déjà une composante essentielle de la politique énergétique de la capitale. [2/9]

📖 Retrouvez le nouveau rapport de Terra Nova "Reconstruire le lien police-population : un défi démocratique dans lequel les policiers ont tout à gagner" écrit par Marie Lajus, @marcolivierpadis.bsky.social et Jacques de Maillard, en libre accès sur notre site :

tnova.fr/societe/just...

🔗 Retrouvez le rapport complet de Marie Lajus, Marc-Olivier Padis et Jacques de Maillard en libre accès ici : tnova.fr/societe/just...

[8/8]

3️⃣ Réorienter les missions policières :
- Recentrer l’action sur le service au public
- Limiter l’emploi d’unités d’élite à des opérations symboliques
- Clarifier la frontière entre maintien de l’ordre et lutte antiterroriste

[7/8]

2️⃣ Transformer la doctrine du maintien de l’ordre :
- Sortir de la logique d’affrontement
- Favoriser communication et désescalade
- Mieux anticiper les situations
- Mettre fin aux pratiques de nasse indiscriminées

[6/8]

Les auteurs formulent trois priorités pour retisser le lien police-population 👇

1️⃣ Repenser les contrôles d’identité :
- Former les agents aux biais culturels
- Enregistrer systématiquement les contrôles
- Créer un référentiel de bonnes pratiques

[5/8]

Autre facteur de tension : la gestion de l’ordre lors des manifestations, souvent marquée par un usage disproportionné de la force.

[4/8]

Chaque année, 47 millions de contrôles d’identité sont réalisés en France. Une logique de suspicion généralisée, renforcée durant la crise sanitaire : 20 millions de contrôles et 1,1 million d’amendes en trois mois.

[3/8]

Dans un contexte de crise politique où la confiance envers l’État s’érode, le lien entre la police et les citoyens se fragilise.

Les auteurs analysent plusieurs dérives structurelles : contrôles discriminatoires, logique de confrontation, instrumentalisation politique.

[2/8]

👉 [5/5] Retrouvez le texte complet de Benjamin Morel ici :

lagrandeconversation.com/politique/pr...

[4/5] Ce n’est pas seulement une réforme technique.
C’est une transformation culturelle et politique : redécoupage des circonscriptions, nouvelles règles de financement, maintien de la parité…

Un changement de fond pour renforcer la responsabilité et la transparence.