Sans dire que « c’était mieux avant » on peut admettre que ttes les époques ne se valent pas sur tt les plans. Il y a des progrès et des régressions ds certains domaines. Il y a pas une époque mieux qu’une autre en tous points mais il y a certaines choses qui étaient ou seront mieux que maintenant.

à mettre en paralléle avec l'effet porte, bien expliqué ici : www.youtube.com/watch?v=JhuL...

C'est pas les genoux de Bardella qui vont lâcher miraculeusement. La seule chance, c'est un contre discours. Des gros mots comme l'humanisme, la justice, le service public, l'attention portée aux fragiles. Et on l'assume au lieu de se faire emmener sur son putain de terrain boueux.

Mais quand bien même la gauche accusait à tord des gens de fascistes je vois pas en quoi ça accélèrerait plus le fascisme que des gens qui reprennent ses idées en se prétendant du centre ou de gauche par exemple

Personne a parlé de tendre l’autre joue mais si tu pense que la résistance ne passe que par la guérilla tu te trompe

Et comme disait Emma Goldman « si je ne peux pas danser à la révolution, je n’irais pas à la révolution ». Nous sommes la vie ils sont la mort, dans un contexte de guerre médiatique c’est important de le montrer au monde

Pourquoi vouloir opposer les formes de luttes ? Trump n’attend et ne conçois qu’une réponse brutale et quasi militaire à ses provocations pour justifier ses actes. Si danser ne suffira pas il va falloir être plus malin que lui et inventer d’autres façons de lutter

Je suis d’accord avec ça, mais pas sûr que la résistance au fascisme se joue à l’échelle de la gauche politique électoraliste même si ça se recoupe par endroits

Why not both ? Tout faire pour empêcher l’Ed d’accéder au pouvoir mais se préparer à résister, au cas ou elle y arrive

Mais même un lieutenant de Melenchon, le temps qu'iel se fasse pourrir médiatiquement autant que lui il y a de la marge

d'autres souffrent de le voir, bref tout le monde le déteste

C’est ce qu’on appelle une inKarcheration

Faut vraiment qu’on crame les riches avant qu’ils nous crament