TedDeckard
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Je sais pas trop quoi dire alors... J'aime mater des films, la science, et la science-fiction!
https://letterboxd.com/teddeckard/
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Si vous voyez ça, postez une sorcière.
January 27, 2025 at 6:14 PM
Si vous voyez ça, postez une sorcière.
#7 Kraven the Hunter (J.C. Chandor, 2024)
Voilà donc le nouveau et dernier film du "Sony's Spider-Man Universe" (ne cherchez pas Spider-Man dans ces films, vous allez être déçu), que je surnomme affectueusement le "Shitty Sony Universe".
Voilà donc le nouveau et dernier film du "Sony's Spider-Man Universe" (ne cherchez pas Spider-Man dans ces films, vous allez être déçu), que je surnomme affectueusement le "Shitty Sony Universe".
January 14, 2025 at 9:37 AM
#7 Kraven the Hunter (J.C. Chandor, 2024)
Voilà donc le nouveau et dernier film du "Sony's Spider-Man Universe" (ne cherchez pas Spider-Man dans ces films, vous allez être déçu), que je surnomme affectueusement le "Shitty Sony Universe".
Voilà donc le nouveau et dernier film du "Sony's Spider-Man Universe" (ne cherchez pas Spider-Man dans ces films, vous allez être déçu), que je surnomme affectueusement le "Shitty Sony Universe".
Le choix d'un casting entièrement féminin pour représenter et explorer la question de la sororité est également à saluer, malgré les critiques qui ont pu être soulevées par sa fin (que je spoilerais pas).
January 14, 2025 at 9:33 AM
Le choix d'un casting entièrement féminin pour représenter et explorer la question de la sororité est également à saluer, malgré les critiques qui ont pu être soulevées par sa fin (que je spoilerais pas).
L'intrigue se concentre plus particulièrement autour de l'une de ces malheureuses aventurières (Shauna Macdonald) devant combattre le traumatisme causée par la mort de son mari et de sa fille au cours d'un accident de la route survenu un an auparavant.
January 14, 2025 at 9:23 AM
L'intrigue se concentre plus particulièrement autour de l'une de ces malheureuses aventurières (Shauna Macdonald) devant combattre le traumatisme causée par la mort de son mari et de sa fille au cours d'un accident de la route survenu un an auparavant.
#6 The Descent (Neil Marshall, 2005)
Très sympathique film d'horreur claustrophobe, The Descent décrit les mésaventures d'un groupe de six amies réunies pour un week-end spéléologie au cœur des montagnes Appalaches.
Très sympathique film d'horreur claustrophobe, The Descent décrit les mésaventures d'un groupe de six amies réunies pour un week-end spéléologie au cœur des montagnes Appalaches.
January 14, 2025 at 9:21 AM
#6 The Descent (Neil Marshall, 2005)
Très sympathique film d'horreur claustrophobe, The Descent décrit les mésaventures d'un groupe de six amies réunies pour un week-end spéléologie au cœur des montagnes Appalaches.
Très sympathique film d'horreur claustrophobe, The Descent décrit les mésaventures d'un groupe de six amies réunies pour un week-end spéléologie au cœur des montagnes Appalaches.
2024 a été une très belle année de découvertes cinématographiques! La Cinémathèque française y est pour beaucoup, particulièrement les rétrospectives sur le cinéma de la Shaw Brothers et celle sur George Cukor. En route pour 2025!
January 9, 2025 at 10:02 AM
2024 a été une très belle année de découvertes cinématographiques! La Cinémathèque française y est pour beaucoup, particulièrement les rétrospectives sur le cinéma de la Shaw Brothers et celle sur George Cukor. En route pour 2025!
Le film avait le potentiel d'un très bon drame à la "Gaslight", mais bascule dans une seconde partie polar très classique et moins intéressante où Gene Tierney cède la place à son mari psychanalyste (Richard Conte) chargé de l'innocenter d'un meurtre que l'on devine orchestré par le vil hypnotiseur
January 6, 2025 at 8:54 AM
Le film avait le potentiel d'un très bon drame à la "Gaslight", mais bascule dans une seconde partie polar très classique et moins intéressante où Gene Tierney cède la place à son mari psychanalyste (Richard Conte) chargé de l'innocenter d'un meurtre que l'on devine orchestré par le vil hypnotiseur
#5 Le Mystérieux Docteur Korvo (𝘞𝘩𝘪𝘳𝘭𝘱𝘰𝘰𝘭, 1950, Otto Preminger)
Un film qui commence avec une première partie vraiment sympathique, où l'on suit une femme (Gene Tierney) atteinte de kleptomanie qui tombe entre les griffes d'un escroc manipulateur (José Ferrer), à la fois mentaliste et hypnotiseur.
Un film qui commence avec une première partie vraiment sympathique, où l'on suit une femme (Gene Tierney) atteinte de kleptomanie qui tombe entre les griffes d'un escroc manipulateur (José Ferrer), à la fois mentaliste et hypnotiseur.
January 6, 2025 at 8:50 AM
#5 Le Mystérieux Docteur Korvo (𝘞𝘩𝘪𝘳𝘭𝘱𝘰𝘰𝘭, 1950, Otto Preminger)
Un film qui commence avec une première partie vraiment sympathique, où l'on suit une femme (Gene Tierney) atteinte de kleptomanie qui tombe entre les griffes d'un escroc manipulateur (José Ferrer), à la fois mentaliste et hypnotiseur.
Un film qui commence avec une première partie vraiment sympathique, où l'on suit une femme (Gene Tierney) atteinte de kleptomanie qui tombe entre les griffes d'un escroc manipulateur (José Ferrer), à la fois mentaliste et hypnotiseur.
Ces caricatures renvoyant à de véritables personnalités de l'époque (le personnage de Gian Maria Volontè fait directement référence à Aldo Moro), il est parfois difficile de lire derrière la satire et de naviguer au travers de cet imbroglio sans une connaissance des enjeux politiques de cette époque
January 6, 2025 at 8:19 AM
Ces caricatures renvoyant à de véritables personnalités de l'époque (le personnage de Gian Maria Volontè fait directement référence à Aldo Moro), il est parfois difficile de lire derrière la satire et de naviguer au travers de cet imbroglio sans une connaissance des enjeux politiques de cette époque
L'environnement oppressant de ce bunker mélangeant architecture post-moderne et crypte gothique contribue à nous faire comprendre que ces personnages, et par extension le film, se situent hors du temps et de la réalité.
January 6, 2025 at 8:16 AM
L'environnement oppressant de ce bunker mélangeant architecture post-moderne et crypte gothique contribue à nous faire comprendre que ces personnages, et par extension le film, se situent hors du temps et de la réalité.
#4 Todo modo (1976, ELio Petri)
Après "Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon", Petri livre ici une satire politique grinçante qui s'attaque aux grandes figures du parti chrétien-démocrate (Democrazia Cristiana) qui gouvernaient alors l'Italie depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.
Après "Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon", Petri livre ici une satire politique grinçante qui s'attaque aux grandes figures du parti chrétien-démocrate (Democrazia Cristiana) qui gouvernaient alors l'Italie depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.
January 6, 2025 at 8:10 AM
#4 Todo modo (1976, ELio Petri)
Après "Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon", Petri livre ici une satire politique grinçante qui s'attaque aux grandes figures du parti chrétien-démocrate (Democrazia Cristiana) qui gouvernaient alors l'Italie depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.
Après "Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon", Petri livre ici une satire politique grinçante qui s'attaque aux grandes figures du parti chrétien-démocrate (Democrazia Cristiana) qui gouvernaient alors l'Italie depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.
Je retiendrais tout particulièrement une scène d'interrogatoire vers la fin du film où le personnage livre dans un monologue saisissant la manière dont l'institution policière gangrène ce que l'on nomme "démocratie". Une scène qui résonne douloureusement bien avec la situation actuelle française.
January 4, 2025 at 11:07 AM
Je retiendrais tout particulièrement une scène d'interrogatoire vers la fin du film où le personnage livre dans un monologue saisissant la manière dont l'institution policière gangrène ce que l'on nomme "démocratie". Une scène qui résonne douloureusement bien avec la situation actuelle française.
Un homme qui se pense tellement au dessus des lois qu'il décide d'assassiner son amante (incarnée par Florinda Bolkan), un meurtre qu'il conçoit comme un jeu pervers visant à démontrer qu'il se place définitivement "au-dessus de tout soupçon".
January 4, 2025 at 11:00 AM
Un homme qui se pense tellement au dessus des lois qu'il décide d'assassiner son amante (incarnée par Florinda Bolkan), un meurtre qu'il conçoit comme un jeu pervers visant à démontrer qu'il se place définitivement "au-dessus de tout soupçon".
La police se voit ici incarnée par l'immense Gian Maria Volontè, qui livre l'une de ses (peut-être sa) meilleure performance dans le rôle d'un flic sans nom, d'abord chef de la section homicide puis commandant du bureau politique au siège de la police de Rome.
January 4, 2025 at 10:56 AM
La police se voit ici incarnée par l'immense Gian Maria Volontè, qui livre l'une de ses (peut-être sa) meilleure performance dans le rôle d'un flic sans nom, d'abord chef de la section homicide puis commandant du bureau politique au siège de la police de Rome.
#3 Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (𝘐𝘯𝘥𝘢𝘨𝘪𝘯𝘦 𝘴𝘶 𝘶𝘯 𝘤𝘪𝘵𝘵𝘢𝘥𝘪𝘯𝘰 𝘢𝘭 𝘥𝘪 𝘴𝘰𝘱𝘳𝘢 𝘥𝘪 𝘰𝘨𝘯𝘪 𝘴𝘰𝘴𝘱𝘦𝘵𝘵𝘰, Elio Petri, 1970)
Elio Petri signe ici une charge politique virulente contre la police italienne des années 70, institution autoritariste et répressive nichée au cœur de la République.
Elio Petri signe ici une charge politique virulente contre la police italienne des années 70, institution autoritariste et répressive nichée au cœur de la République.
January 4, 2025 at 10:54 AM
#3 Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (𝘐𝘯𝘥𝘢𝘨𝘪𝘯𝘦 𝘴𝘶 𝘶𝘯 𝘤𝘪𝘵𝘵𝘢𝘥𝘪𝘯𝘰 𝘢𝘭 𝘥𝘪 𝘴𝘰𝘱𝘳𝘢 𝘥𝘪 𝘰𝘨𝘯𝘪 𝘴𝘰𝘴𝘱𝘦𝘵𝘵𝘰, Elio Petri, 1970)
Elio Petri signe ici une charge politique virulente contre la police italienne des années 70, institution autoritariste et répressive nichée au cœur de la République.
Elio Petri signe ici une charge politique virulente contre la police italienne des années 70, institution autoritariste et répressive nichée au cœur de la République.
Impossible de ne pas citer Gene Tierney et Dana Andrews qui campent les deux personnages principaux, mais j'ai plus particulièrement apprécié le jeu de Clifton Webb, qui interprète de manière redoutable un personnage tout en manières désuettes et en sarcasmes.
January 2, 2025 at 11:23 PM
Impossible de ne pas citer Gene Tierney et Dana Andrews qui campent les deux personnages principaux, mais j'ai plus particulièrement apprécié le jeu de Clifton Webb, qui interprète de manière redoutable un personnage tout en manières désuettes et en sarcasmes.
#2 Laura (Otto Preminger, 1944)
Grand classique du film noir de l'âge d'or du cinéma hollywoodien. Preminger signe un film que je classerai volontiers comme un "whodunit" très soigné, porté par une impeccable brochette d'acteurs.
Grand classique du film noir de l'âge d'or du cinéma hollywoodien. Preminger signe un film que je classerai volontiers comme un "whodunit" très soigné, porté par une impeccable brochette d'acteurs.
January 2, 2025 at 11:20 PM
#2 Laura (Otto Preminger, 1944)
Grand classique du film noir de l'âge d'or du cinéma hollywoodien. Preminger signe un film que je classerai volontiers comme un "whodunit" très soigné, porté par une impeccable brochette d'acteurs.
Grand classique du film noir de l'âge d'or du cinéma hollywoodien. Preminger signe un film que je classerai volontiers comme un "whodunit" très soigné, porté par une impeccable brochette d'acteurs.
J'ai donc plutôt apprécié cette adaptation, dont la première partie consacrée à la conception de la créature garde encore une atmosphère glauque et morbide qui évoque les expérimentations et la folie du docteur Génessier dans "Les Yeux sans visage" de Georges Franju. (4/4)
January 2, 2025 at 10:53 PM
J'ai donc plutôt apprécié cette adaptation, dont la première partie consacrée à la conception de la créature garde encore une atmosphère glauque et morbide qui évoque les expérimentations et la folie du docteur Génessier dans "Les Yeux sans visage" de Georges Franju. (4/4)
Le personnage, campé à l'écran par un Peter Cushing impérial et cruel, porte donc de manière surprenante l'essentiel de la charge horrifique du film, plus que le fameux monstre auquel il donne vie. (3/4)
January 2, 2025 at 10:49 PM
Le personnage, campé à l'écran par un Peter Cushing impérial et cruel, porte donc de manière surprenante l'essentiel de la charge horrifique du film, plus que le fameux monstre auquel il donne vie. (3/4)
#1 The Curse of Frankenstein (Terence Fisher, 1957)
On démarre cette nouvelle année avec ce classique du film d'horreur gothique qui a propulsé le célèbre studio britannique Hammer Films Production. (1/4)
On démarre cette nouvelle année avec ce classique du film d'horreur gothique qui a propulsé le célèbre studio britannique Hammer Films Production. (1/4)
January 2, 2025 at 10:45 PM
#1 The Curse of Frankenstein (Terence Fisher, 1957)
On démarre cette nouvelle année avec ce classique du film d'horreur gothique qui a propulsé le célèbre studio britannique Hammer Films Production. (1/4)
On démarre cette nouvelle année avec ce classique du film d'horreur gothique qui a propulsé le célèbre studio britannique Hammer Films Production. (1/4)
Quel privilège d'habiter Paris en tant qu'amoureux du cinéma! Merci à @leretroprojecteur.bsky.social pour leur site si pratique d'utilisation.
Je me suis limité à un film par réalisateur pour avoir plus de diversité!
Je me suis limité à un film par réalisateur pour avoir plus de diversité!
December 13, 2024 at 10:10 AM
Quel privilège d'habiter Paris en tant qu'amoureux du cinéma! Merci à @leretroprojecteur.bsky.social pour leur site si pratique d'utilisation.
Je me suis limité à un film par réalisateur pour avoir plus de diversité!
Je me suis limité à un film par réalisateur pour avoir plus de diversité!