Faut-il multiplier les battues ? Repenser l’agriculture ? Mettre fin au nourrissage ? Redonner sa place aux prédateurs naturels ?

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Bref, parler de sangliers en surnombre, c’est oublier que leur surpopulation est d’abord le reflet de nos choix agricoles, cynégétiques et celui d'un réchauffement climatique dont nous sommes responsables.

Le nourrissage, autorisé dans certaines zones, devait à l’origine cantonner les sangliers en forêt. En réalité, aujourd'hui, il renforce leur survie et leur reproduction, alimentant une chasse-business très lucrative.

Jusqu'aux années septante, c'était une espèce assez rare. Ce qu'on a fait:

👉 Disparition des prédateurs (loups, lynx).
👉 Des hivers plus doux avec le réchauffement climatique, des forêts gorgées de glands et faînes.
👉 Des champs de maïs et colza devenus garde-manger.

Ce n'est pas tout ⤵️

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Même pour une entreprise persuadée que le secteur de la pêche doit se transformer, le poisson durable est une quête infinie. Exemple avec le grossiste Pintafish avance à tâtons, main dans la main avec sa clientèle, mais sans laisser ses objectifs partir à vau-l’eau. (4/5)

Le secteur préfère ne pas faire de vagues et se concentrer sur la défense du chalut à perche, l’engin de pêche favori du royaume. Un engin qui racle les fonds marins, même dans les aires protégées. Scientifiques et associations invitent pourtant à nuancer les impacts de la pêche locale. (3/5)

Impératif préalable : obtenir un maximum de quotas de pêche. À moins de miser sur un autre filon : cibler des poissons sans quota, puis les surpêcher en toute impunité. Les sennes démersales françaises et surtout néerlandaises sont ainsi en train de piller les eaux atlantiques. (2/5)