En épisode 2, ça se laisse regarder. Duchovny en connard, j’adore. On est encore dans la mise en place du jeu de domino sans doute mortel. Ça n’est pas déplaisant, à défaut d’être original. Une série improbable de plus pour le catalogue de Prime dont personne n’entendra jamais parler à la cafet’.

Il n’y a pas de mauvaise publicité. Il suffit d’en parler.

T’inquiète pas, je l’aime beaucoup Claire Danes. J’avais peur d’une hystérisation de son personnage façon Carrie de Homeland et ce n’est pas le cas. Je la trouve parfaite dans The beast in me. Pas encore terminé, cela dit.

En sortie hebdomadaire, tu peux bénéficier du bouche à oreille et construire ton audience. En diffusant tout d’un seul coup, si ça ne décolle pas direct sur le premier week-end, c’est mort.

Ça me faisait aussi penser à un one shot. C’était sympa, sans plus.

Rien ici n’est végétarien

Un premier épisode n’est jamais facile. Trop de choses à mettre en place en peu de temps. Au moins, ça a attiré mon attention. Au final, je suis un peu curieux.

Pas encore eu le temps d’entamer la suite, j’avais beaucoup aimé la saison 1. Ça m’a rappelé l’humour décalé de Man seeking woman ou plus récemment Dollface. Un goût d’inachevé, on teste des idées. J’espère une saison 2 plus aboutie.

On attend bientôt le jeu sur TF1