Supergrave l'émission
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Supergrave l'émission
@supergrave.bsky.social
Supergrave revient sur un phénomène de la pop culture (cinéma, bd, séries, musique, jeu vidéo...) toujours dans un esprit de bande et surtout de pure déconne.
je me demandait vers quoi il allait bien pouvoir se diriger. Visiblement du côté de la fureur et désormais je me pose la même question vis à vis de son prochain film. Que va-t-il faire maintenant ?

Edgar Wright un réalisateur adulte ? En tout cas un cinéaste passionnant.
November 20, 2025 at 4:25 PM
Une Bataille après l'autre. Des films à l'heure pour reprendre l'expression et c'est tant mieux j'ai envie de dire.

En tout cela le cinéma d'Edgar ne cesse d'évoluer ou du moins ne cesse de se radicaliser toujours plus. En sortant de Last Night in Soho, son grand film maniériste
November 20, 2025 at 4:25 PM
Et comme me le faisait remarquer le toujours juste @johankata1.bsky.social , avec qui j'étais au sortir de la projection, il se passe définitivement quelque chose de violent, politique et frontal dans le cinéma contemporain américain après les réussites que furent Eddington et
November 20, 2025 at 4:25 PM
tous veulent nous formater dans une standardisation à grande échelle). Non plus sous un jour seulement dépressif, mélancolique et généreux qui le caractérise depuis ses débuts mais bel et bien avec une insoumission salvatrice de plus en plus flagrante et totalement premier degré
November 20, 2025 at 4:24 PM
seul face au groupe, face à la machine, face à un système comme à la grande époque de la trilogie Cornetto et de Scott Pilgrim, lui aussi coécrit avec son acolyte Michael Bacall (zombies, vigilantes, body snatchers, ex maléfiques...
November 20, 2025 at 4:24 PM
corporalité, comme un mix idéal entre Tom Cruise et Arnold Schwarzenegger, incarnant une fois de plus un rôle de prolo provocateur et intelligent avec le charme qu'on lui connaît.

De plus Edgar Wright, en grand auteur qu'il est, persiste et signe dans sa thématique de l'homme
November 20, 2025 at 4:24 PM
Sur un fond mécanique chez Aldrich (le train) et un autre technologique chez Wright (la télévision, les plateformes, les réseaux sociaux...l'image partout et tout le temps). À ce titre Glen Powell est un excellent choix de casting véhiculant un je ne sais quoi old school dans sa
November 20, 2025 at 4:24 PM
Au fond Running Man est déjà son Douze Salopards, son film de guerre à lui et où les dés sont pipés depuis le début ou du moins son Empereur du Nord à lui dans sa vision de la lutte des classes où classe moyenne et pauvres doivent s'entretuer pour survivre à la dépression.
November 20, 2025 at 4:23 PM
d'écriture du roman d'origine et bien aidée par une super photo granuleuse de Chung Chung-hoon au rendu très pellicule) héritier de la colère de cinéastes francs tireurs avant lui comme Paul Verhoeven, John Carpenter, Sidney Lumet, Yves Boisset et...Robert Aldrich justement.
November 20, 2025 at 4:23 PM
Un pur divertissement à l'ancienne et sincère, un blockbuster digne des années 80 par son ton outrancier, sa mise en scène ludique (quel découpage !) et sa facture (la production design rétro-futuriste va très bien vieillir car pensée à partir du point de vue de l'époque
November 20, 2025 at 4:23 PM
Sincèrement je ne saurait le dire. Ce que je sais par contre c'est que Running Man son dernier film est clairement une oeuvre que l'on pourrait qualifier d'adolescente dans l'énergie et la rage constante qu'il déploie à l'écran.
November 20, 2025 at 4:23 PM
Oui oui ça semble beaucoup dur et premier degré dans le sujet de la jalousie.
November 20, 2025 at 8:32 AM
Sur le papier ça fait penser au Miroir à deux face de André Cayatte mais avec la voix à la place du visage.
November 20, 2025 at 8:09 AM
Génial. Je ne le connaissais pas celui là dans sa riche carrière
November 20, 2025 at 8:07 AM
Reposted by Supergrave l'émission
Deux œuvres matricielles. ;)
November 18, 2025 at 4:32 PM
Tout est dit.
November 18, 2025 at 2:53 PM