A l’époque de notre enquête, la plateforme australienne avait à peine répondu, assumant de « laisser-faire » les influenceurs.
La ministre du numérique, contactée aussi en décembre, n’avait pas de réponse non plus.
www.mediapart.fr/journal/fran...
A l’époque de notre enquête, la plateforme australienne avait à peine répondu, assumant de « laisser-faire » les influenceurs.
La ministre du numérique, contactée aussi en décembre, n’avait pas de réponse non plus.
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