Un symbole de l’impuissance organisée de l’État face à la destruction de l’Amazonie française et des peuples autochtones qui y vivent.

Il serait temps d’ouvrir les yeux. Et de les forcer à agir, de déclarer une guerre contre ce virus mortifère qu’est l’orpaillage illégal.
6/6

Bienvenue dans la République à deux vitesses.
Ici, en Guyane intérieure, les citoyens sont sacrifiés.
Pas égaux. Des oubliés. Des moqués.

⛔ Le poste de contrôle du Tampok n’est pas un bouclier. C’est un décor.
5/6

Pendant ce temps :
➡️ La nature est ravagée.
➡️ Les rivières sont empoisonnées.
➡️ Les enfants naissent avec des handicaps.
➡️ Les habitants boivent et mangent du mercure à leur insu.
4/6

🎖️ Les militaires sont là, mais pieds et poings liés. Interdiction de tirer. Interdiction d’agir. Juste regarder la forêt mourir et de contrôler inutilement les habitants qui se meurent.
3/6

🚫 Jour et nuit, des pirogues de garimpeiros passent sous leurs yeux (et devant notre nez), sans arrêt, sans gêne, sans réaction.
Aucune embarcation rapide pour intervenir.
Aucune tentative d’interception.
Aucun barrage.
Et surtout : aucune volonté politique.
2/6

2/2

3️⃣ Police et Justice : des moyens permettant réellement d’identifier et de juger correctement les auteurs.

Non, Maripasoula n’est pas un sous-territoire avec une sous-population qui permettent d’offrir des sous-services à la population et d’en faire une zone de non-droit ⚠️