L’ombre se dessine noire sur les sommets d’en face
Et la ville bruisse du printemps qui verdit
L’ombre se dessine noire sur les sommets d’en face
Et la ville bruisse du printemps qui verdit
Celle qui rit des rides et des ans qui s’empilent
Elle est là la recette de l’éternelle jeunesse
Juste là : toi et moi liés des âmes aux peaux
Celle qui rit des rides et des ans qui s’empilent
Elle est là la recette de l’éternelle jeunesse
Juste là : toi et moi liés des âmes aux peaux
L’automne tournoie en flocons ocre
Sous ciel changeant d’ombres en nuées
Plus rien ne sèche sur la corde
Des volutes quittent la cheminée
L’automne tournoie en flocons ocre
Sous ciel changeant d’ombres en nuées
Plus rien ne sèche sur la corde
Des volutes quittent la cheminée
Douces veines filigranée et soie grise à effleurer
Cette main je la connais , du bout des doigts elle sait
De bonheur m’affoler, de douceur me rassurer
Douces veines filigranée et soie grise à effleurer
Cette main je la connais , du bout des doigts elle sait
De bonheur m’affoler, de douceur me rassurer
Faisant front à la pluie qui enfin se prépare
Les arbres lèvent le front avides enfin de boire
Et pend fier à mon bras le parapluie en garde
Faisant front à la pluie qui enfin se prépare
Les arbres lèvent le front avides enfin de boire
Et pend fier à mon bras le parapluie en garde
Les arbres d’or se parent
Été cramponné
#Haïku
🎨Paul Gauguin . Le cours d’eau , automne
Les arbres d’or se parent
Été cramponné
#Haïku
🎨Paul Gauguin . Le cours d’eau , automne
Bien pinckwasché
Un rien gonflant
Mais n’oublie pas
De t’y coller
C’est pas le pied
Mais c’est la vie
Parfois
#mammographie
Bien pinckwasché
Un rien gonflant
Mais n’oublie pas
De t’y coller
C’est pas le pied
Mais c’est la vie
Parfois
#mammographie
Contre son ventre
Son parfum d’ambre
Et sa peau tendre
Et elle voyage
Sur un nuage
À l’abordage
De son sauvage
Contre son ventre
Son parfum d’ambre
Et sa peau tendre
Et elle voyage
Sur un nuage
À l’abordage
De son sauvage