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Nos universités et la recherche ne doivent pas contribuer à un génocide. Partout où c'est le cas nous devons nous organiser pour comprendre les liens qu'ont nos universités avec Israël et les combattre!

bdsmovement.net/academic-boy...
La recherche ne doit pas contribuer à un génocide Boycott universitaire! STOP ARMING ISRAEL
December 26, 2025 at 6:08 PM
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Au mois de février, nous appelons a faire résonner ces résistances entre elles, à en faire émerger de nouvelles, à assembler nos forces pour dire STOP A LA RECHERCHE COMPLICE. Nous appelons à lancer des actions synchronisées dans toutes la France partout où la recherche se rend complice. Notre but: visibiliser, alerter et perturber. Retrouvez le lien en description pour lire l'appel complet et avoir &ccès à nos ressources. Pour se préparer dès maintenant: -Enquêter sur les liens entre les labos et les entreprises au sein de vos universités -DIffuser l'appel de Stop Recherche Complice au sein de vos universités (étudiantes, chercheureuses, personnel, etc) -Organiser une réunion locale pour discuter de quelle action vous pourriez menez localement en février Pour devenir signataire, poser vos questions, envoyer vos enquêtes et outils, nous rejoindre, écrivez nous à stoprecherchecomplice@riseup.net
December 24, 2025 at 1:06 PM
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L'argent de ces entreprises est sale: il est brun, il est kaki, il est rouge du sang des gazaouies génocidées, des camerounaises exploitées dans les plantations de la Socfin, des peuples écrasés et des jeunes violemment réprimées dans les quartiers populaires. Tels sont les véritables coûts de ces recherches, au delà de leur financements. Les chercheureuses parmis nous se retrouvent aliénées à des projets mortifères, parfois sans en avoir conscience tant la production de connaissances a été déconnectée de ses applications. Les étudiantes des universités et des écoles d'ingénieurs se retrouvent également impliquées: visites et facilités de stages, cours donnés par des intervenantes de ces entreprises partenaires - efficace fabrication des futures recrues employable au service de leurs intérêt. Il est temps de rompre l'impunité dans laquelle ces entreprises prospèrent au sein de nos universités et établissement de recherche publique. Nous souhaitons libérer la recherche hors des logiques capitalistes, hors de la concurrence techno-scientifique mondialisée. Notre résistance, antifasciste et anti-impérialiste, est multiforme: refuser de participer à ces programmes quand cela est possible, alerter les chercheureuses ou les étudiantes ainsi que le grand public, formenter des mutineries, interpeller lse directions d'universités, faire sortir anonymement des informations servant à l'enquête militante, see syndiquer, faire grève, organiser des blocages et des perturbations des activités de recherche, créer des pôles de résistances et des alliances au sein des laboratoires, universités, établissement de recherche publique.
December 24, 2025 at 12:59 PM
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STOP à la complicité dans la recherche Texte d'appel de décembre 2025 Nous appelons à agir contre le phagocytage de la recherche publique par les entreprises complices de génocides, de projets coloniaux brutaux, de fascisme. Au mois de février, nous lançons une campagne d'actions synchronisées à travers la France pour faire résonner nos résistances à l'échelle nationale. A l'ère du techno-capitalisme, les états te les entreprises exploitent la recherche et l'innovation comme des instruments clés dans la course au pouvoir et au profit. Largement dépendante des financements par projets et des accords avec le privé, la recherche publique est phagocytée par ces puissances qui orientent les axes de recherche. De nombreuses universités et organismes de recherche collaborent ainsi avec des entreprises complices du génocide palestinien ou de projets coloniaux brutaux. Les descriptions abstraites ou techniques de ces programmes de recherche ne permettent pas toujours d'identifier leurs applications mortifères: c'est souvent au niveau du financement que tout s'éclaire. Si Dassault finance tel programme sur la résistance des matériaux, cela servira à améliorer le blindage de ses aéronefs. De même pour Thalès, Safran, MBDA, etc. Si la Socfin, appartenant en partie à Bolloré, finance la recherche du CIRAD, c'est pour avoir de meilleures semences de palmiers à huile d'hévéa pour ses plantations néocoloniales, où la violence est systémique (viols, logements insalubres, accaparement de terre, pollution, corruption...).
December 24, 2025 at 12:50 PM
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Rejoignez le collectif ingé·e·s sans frais: linktr.ee/Ingees_sans_...
Le seul moyen de financer de manière redistributive notre système d'enseignement, c'est par l'impôt général et la solidarité nationale, pour qu'à l'image des retraites, la société finance les connaissances et la recherche de demain, en permettant aux étudiant-e-s de vivre leurs études dignement sans avoir à vivre dans la précarité ou à devoir contracter des prêts bancaires qui nous asservissent au capital et aux grandes entreprises. Nous revendiquons aussi la fin de la niche fiscale du crédit impôt recherche qui n'est qu'une aide de plus aux entreprises ! Nous prenons part à l'initiative du collectif ingé-e-s sans frais et nous invitons tous-tes les étudiant-e-s intéressé-e-s à le rejoindre : https://linktr.ee/Ingees_sans_frais Nous revendiquons donc le salaire étudiant pour tous-tes les travailleur-euses en formation pour un enseignement supérieur égalitaire, gratuit, et émancipateur pour tous-tes !
December 22, 2025 at 10:34 AM
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Pour une université gratuite et émancipatrice nous disons non à l'augmentation des frais d'inscription. Dans un contexte d'austérité budgétaire, l'état a choisi de faire payer les plus précaires, les étudiant-e-s, par l'augmentation de leurs frais d’inscription. Depuis un décret de 2018 et la loi Bienvenue en France en 2019 les étudiant-es en école d'ingénieur et les étudiant-es étranger-es ont déjà vu leurs frais d'inscription fortement augmenter, passant de 601€ pour les étudiant-es en école d'ingénieurs à plus de 2500€ pour les formations créées après 2018. Dans les écoles centrales, la totalité de leurs formations sont passées à 2500€ dès 2018. Du côté des étudiant-es étranger-es, les frais d'inscription ont plus qu'explosé passant de 170€ à 2895€ pour une année de licence et de 243€ à 3941€ pour une année de Master. Dans ce contexte, la Conférence des directeurs des écoles françaises d'ingénieurs s'est prononcée en juin pour un "soutien" à l'instauration de frais différenciés dans les écoles d'ingénieurs publiques françaises. Depuis plusieurs années, les gouvernements successifs multiplient les déclarations pour remettre en question les frais d'inscription. En 2022 Macron déclare « On ne pourra pas rester durablement dans un système où l’enseignement supérieur n’a aucun prix pour la quasi-totalité des étudiants », notre éphémère ministre de l'enseignement supérieur Patrick Hetzel disait que les frais d'inscription « ne doit pas être un sujet tabou » en novembre 2024. De nombreuses universités voient leurs déficits exploser du fait de la baisse générale du budget par étudiant-e. « Ce n’est pas Zola non plus » dit Philippe Baptiste en 2025 se moquant de la gestion budgétaire des présidences d'université que son ministère a lui-même provoquée. Des "Assises" sur le financement des universités ont été annoncées pour janvier 2026, l’objectif est clair, après avoir coupé les vivres de l'Université pendant tant d'années, le gouvernement veut nous imposer sa seule vision : l'augmentation des frais d'inscription au détriment de tous-tes les étudiant-e-s, alors même que c'est la frange de la population la plus précaire. Il justifie cela par un argument fallacieux de re-distributivité des frais, alors qu'une augmentation de frais différenciés fait majoritairement payer les frais des plus pauvres par la classe moyenne, et que ces frais ne prennent pas en compte les ressources réelles des étudiant-e-s mais celles théoriques de leurs parents !
December 22, 2025 at 10:32 AM