La question c'est moins de savoir s'ils gagnent ou pas mais combien d'ukrainiens ils tuent encore et encore.

Et qu'est ce qu'on ferait s'ils décidaient de tuer autant de soldats européens ? Même en perdant ?

[11/11] Chaque heure qui passe, d’autres civils ukrainiens, d’autres vies innocentes sont menacées. Mais nous pouvons (devons !) agir : soutenons la protection aérienne de l’Ukraine pour sauver des vies
www.change.org/p/skyshield-...

[10/11] Partout dans le pays, les frappes russes s’intensifient. Pour en visualiser l’impact dans l’oblast de Kyiv : www.rtbf.be/article/guer...

[9/11] Sa vie disait la résilience silencieuse des familles de Tchernobyl, frappées d'un double drame depuis le 24 février 2022. Sa mort rappelle que l’Ukraine et l’Europe perdent encore, chaque jour, celles et ceux qui ont déjà donné plus que leur part à l’Histoire

[8/11] Dans la nuit du 13 au 14 novembre 2025, le régime terroriste de moscou a tiré environ 430 drones et 18 missiles sur l’Ukraine. L’un d’eux s’est encastré dans son appartement, au septième étage de la tour. Gravement brulée, elle a succombé à ses blessures le 15 novembre 2025

[7/11] Au pied de leur immeuble : une banale aire de jeux pour enfants, symbole d’une normalité que poutine s’acharne à détruire, jour après jour, drone après drone

[6/11] Dans le bâtiment de Natallia vit aussi Oleksiï Ananenko, Héros d’Ukraine. L’un des trois plongeurs qui a globalement permis d’éviter une seconde explosion à Tchernobyl (illustré dans les épisodes 2 et 3 de la série HBO (même s'il y a des choses à redire sur l'exactitude de ces passages))

[5/11] Natalia habitait à deux kilomètres de la rue Mykoly Lavrukhina, où le rappeur américain A$AP Rocky avait tourné son clip “Tailor Swif” en décembre 2021 (sequence de 1:46 à 2:06 notamment) :

youtu.be/5URefVYaJrA?...

[4/11] À Troieshchyna, elle a donc élevé seule ses deux enfants, Igor et Sergiy, portant eux aussi le nom Khodemtchouk

[3/11] Avant l’explosion, elle vivait à Prypiat avec son mari, Valeriy, et travaillait à la cantine de la centrale. À partir de 1986, tout a basculé : son mari disparu, Natalia a déménagé à Kyiv, refusant de partir plus loin pour rester près des mémoriaux

[2/11] Où l’on mesure à quel point moscou se souciait des familles ukrainiennes, relogées dans l’un des pires quartiers de la capitale, à l’époque « infesté par le crime » : www.kyivpost.com/post/8841

[1/11] Natalia Khodemtchouk vivait dans le quartier de Troieshchyna, où dix-huit mille personnes sinistrées furent relogées après la catastrophe de Tchernobyl. Elle habitait rue Honoré de Balzac, dans un immeuble réunissant des familles de liquidateurs