Se promène sur le plateau du Cercle sur Canal, babille sur celui de Réalisé sans trucage, du côté de Sens Critique.
Écrit des bêtises. En avale parfois.
Manon Clavel et Makita Samba pourraient jouer des tabourets que j’en serais bouleversé.
Manon Clavel et Makita Samba pourraient jouer des tabourets que j’en serais bouleversé.
Une relecture amère du Rhinocéros de Ionesco, tartiné de science-fiction, et d’un optimisme misanthrope bienvenu.
Gilligan a toujours l’œil pour le détail qui dévisse, Rhea Seehorn est éclatante et AppleTV tape encore très fort après The Studio.
Une relecture amère du Rhinocéros de Ionesco, tartiné de science-fiction, et d’un optimisme misanthrope bienvenu.
Gilligan a toujours l’œil pour le détail qui dévisse, Rhea Seehorn est éclatante et AppleTV tape encore très fort après The Studio.
Romantique, violente et romanesque, son adaptation pour Netflix est la plus riche et baroque à ce jour. Comme pour
Romantique, violente et romanesque, son adaptation pour Netflix est la plus riche et baroque à ce jour. Comme pour
Un yaourt à la viande qui explore l’arbitraire de la famille. Comment l’amour et la mort s’y affrontent, entre injustice et absurdité.
Méchant comme un vieux tonton raciste, et salissant comme la descente d’organes de mémé.
Un yaourt à la viande qui explore l’arbitraire de la famille. Comment l’amour et la mort s’y affrontent, entre injustice et absurdité.
Méchant comme un vieux tonton raciste, et salissant comme la descente d’organes de mémé.
Mais alors ce protagoniste aux airs de prépuce irradié, cette mythologie désincarnée et dévoyée… on dirait un pot pour bébé cyborg dépressif.
Mais alors ce protagoniste aux airs de prépuce irradié, cette mythologie désincarnée et dévoyée… on dirait un pot pour bébé cyborg dépressif.
De décharges d’adrénalines en visions monstrueuses, tout y est urgence, explosions de violence, échos baroques de Bosch, Fulci et Soavi.
Un très grand film d’horreur.
Et c’est dispo sur Shadowz.
De décharges d’adrénalines en visions monstrueuses, tout y est urgence, explosions de violence, échos baroques de Bosch, Fulci et Soavi.
Un très grand film d’horreur.
Et c’est dispo sur Shadowz.
Mais le bonheur de YOROÏ, ce sont les enthousiasmes conjugués de David Tomaszewski et d’Olivier Afonso, qui orchestrent un impensable orgasmotron de vidéoclub, tout en latex et trucs qui font « schprüüüttt ».
Mais le bonheur de YOROÏ, ce sont les enthousiasmes conjugués de David Tomaszewski et d’Olivier Afonso, qui orchestrent un impensable orgasmotron de vidéoclub, tout en latex et trucs qui font « schprüüüttt ».
Le goût de King pour une horreur pop, obscène, déchirant le voile du réel est parfaitement retranscrit.
Grippe-Sou, les friches et les Lumières Mortes exhalent un beau fumet de corruption.
Le goût de King pour une horreur pop, obscène, déchirant le voile du réel est parfaitement retranscrit.
Grippe-Sou, les friches et les Lumières Mortes exhalent un beau fumet de corruption.
Dommage que l’idée centrale, à savoir l’inanité même du concept de dissuasion nucléaire, n’existe jamais que comme principe abstrait.
Dommage que l’idée centrale, à savoir l’inanité même du concept de dissuasion nucléaire, n’existe jamais que comme principe abstrait.
Merci à toutes, à tous.
On se retrouve l’an prochain, pour se jouer des tours mauvais et se raconter des histoires électrisées.
Merci à toutes, à tous.
On se retrouve l’an prochain, pour se jouer des tours mauvais et se raconter des histoires électrisées.
On a célébré l’imaginaire, porté aux aux nues The Neon People, Planètes, Good Boy ainsi que Mort d’un acteur.
Mais surtout, on a passé 4 journées plus remplies que la panse de Gérard Larcher et plus joyeuses encore que l’incarcération de Nicolas Sarkozy.
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On a célébré l’imaginaire, porté aux aux nues The Neon People, Planètes, Good Boy ainsi que Mort d’un acteur.
Mais surtout, on a passé 4 journées plus remplies que la panse de Gérard Larcher et plus joyeuses encore que l’incarcération de Nicolas Sarkozy.
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Il va bien, et retrouve forme.
Il va bien, et retrouve forme.
On vous attend !
On vous attend !
C’était fou et ce matin, on enchaîne avec le passionnant Planètes !
À tout à l’heure !
C’était fou et ce matin, on enchaîne avec le passionnant Planètes !
À tout à l’heure !
Nan mais imaginez.
Et puis abonnez-vous. Hein. Si vous pouvez.
Bisous.
Nan mais imaginez.
Et puis abonnez-vous. Hein. Si vous pouvez.
Bisous.
On appellerait ça « la destitutine ».
C’est pas encore totalement au point, mais on tient peut-être un truc.
On appellerait ça « la destitutine ».
C’est pas encore totalement au point, mais on tient peut-être un truc.
Me faire réaliser que j’étais probablement le fruit d’un accouplement discutable entre Paddington et un porno allemand.
Me faire réaliser que j’étais probablement le fruit d’un accouplement discutable entre Paddington et un porno allemand.
Des mois après sa découverte à Cannes puis Annecy, LA MORT N’EXISTE PAS existe décidément très fort.
Et c’est en salles.
Des mois après sa découverte à Cannes puis Annecy, LA MORT N’EXISTE PAS existe décidément très fort.
Et c’est en salles.
Jessica Chastain y joue une investigatrice spécialisée dans la radicalisation en ligne d’individus d’extrême droite.
C’est intéressant à plusieurs titres [1/2]
Jessica Chastain y joue une investigatrice spécialisée dans la radicalisation en ligne d’individus d’extrême droite.
C’est intéressant à plusieurs titres [1/2]
Mais le pire restera son final minable, qui esquive les piteuses promesses des précédents épisodes.
Mais le pire restera son final minable, qui esquive les piteuses promesses des précédents épisodes.
Je repense à son drôle de bestiaire, son antagoniste squameux aux airs d’andouillette de l’espace, sorte de ténia démoniaque affamé de trou de balles.
J’y repense.
Et je ris très fort.
Je repense à son drôle de bestiaire, son antagoniste squameux aux airs d’andouillette de l’espace, sorte de ténia démoniaque affamé de trou de balles.
J’y repense.
Et je ris très fort.
Ne serait-ce l’emmerdement induit par ses interminables 7 épisodes, ça fait jeu égal avec le shuriken géant d’AVP 2.
Ne serait-ce l’emmerdement induit par ses interminables 7 épisodes, ça fait jeu égal avec le shuriken géant d’AVP 2.