Tout ça pour un pass navigo de plus en plus cher ça rend zinzin

Et puis surtout, c'est systématiquement looong, leeent, ralentiiii, y'a pas un jour où y'a pas des problèmes, des perturbations, des arrêts, des travaux, des machins.

Et du coup je mets systématiquement 1h45 à 2h chaque matin et chaque soir pour aller au bout, au lieu de 1h10, c'est infernal.

Depuis des semaines, tous les matins et tous les soirs, c'est un enfer. C'est blindé de monde (souvent j'arrive même pas à rentrer), je passe tous mes trajets debout serré au milieu des gens. On crève de chaud.

La deuxième partie de la chronique est là !

youtu.be/7cqIDd3NEzU

Elle doit développer une nouvelle éthique à la mesure des risques encourus. Elle ne doit en aucun cas contribuer à la destruction de notre environnement. »

La science est nécessaire, mais nous ne pouvons pas nous permettre de parier exclusivement sur le progrès technologique pour régler nos problèmes.

de l'acidification des océans et de la disparition massive des espèces. Toujours plus de croissance et d'innovations, mais un prix toujours plus lourd à payer pour l'environnement et les générations futures. [...]

Pour citer le livre "Horizons climatiques : Rencontre avec neuf scientifiques du G.I.E.C" :

« La plupart des décideuses et décideurs parient encore sur des solutions techniques alors que c'est l'usage irréfléchi de la technique qui est responsable de la pollution, du réchauffement global,

Eh ben figurez-vous que dans l'émotion du concert, au moment où il dit
« ll fait souvent 60 degrés, chaque été est un test
Où les riches vivent sous la clim et les pauvres ne vivent plus », je me suis mis à pleurer. Et j'étais en mode « mais wtf qu'est-ce qu'il m'arrive ? »

C'est une chanson sur l'urgence climatique dans laquelle il imagine un dialogue avec son petit-fils qui dépeint l'horreur de ce qu'il se passe dans 60 ans.

www.youtube.com/watch?v=SQ98...