Le moteur d'une vie
#poésie
Où mes tremblements se terrent
En langues humides sur nos eaux céans
La où la vague se gonfle
Puissance des profondeurs
A l'écume jaillissante
Où mes tremblements se terrent
En langues humides sur nos eaux céans
La où la vague se gonfle
Puissance des profondeurs
A l'écume jaillissante
Seules pèsent les dames
Libre de mouvements
Quoi qu'entourées sans cesse
De servants un peu fou
Quelquefois cavaliers
Elles sont fines stratèges
Et malmènent les rois
En protégeant le leur
Un pion parmi les autres
Mais ne le sachant pas
Réfugié dans sa tour
Seules pèsent les dames
Libre de mouvements
Quoi qu'entourées sans cesse
De servants un peu fou
Quelquefois cavaliers
Elles sont fines stratèges
Et malmènent les rois
En protégeant le leur
Un pion parmi les autres
Mais ne le sachant pas
Réfugié dans sa tour
Et ses parfums d'humeurs
Aux parterres de prose
Sur terreau d'amertume
Balayé par les vents
Des espoirs perdus
Dans les affres des temps
A jamais révolus
Et ses parfums d'humeurs
Aux parterres de prose
Sur terreau d'amertume
Balayé par les vents
Des espoirs perdus
Dans les affres des temps
A jamais révolus
Bllanc d'effroi
Résistance s'honore
Épure aux chants de haine
Tu te tiens fier et droit
Sur le mat de l'histoire
Refusant soumission
Aux vindictes obscures
Bllanc d'effroi
Résistance s'honore
Épure aux chants de haine
Tu te tiens fier et droit
Sur le mat de l'histoire
Refusant soumission
Aux vindictes obscures
Fable rondouillette,
chanson de lune,
rimes sucrées saveur érable.
Lueur sous la porte, allons-nous y glisser.
Mon corps, comme une odeur, se fond sur le seuil. #poesie #pagedumatin #ecritureinstinctive
Fable rondouillette,
chanson de lune,
rimes sucrées saveur érable.
Lueur sous la porte, allons-nous y glisser.
Mon corps, comme une odeur, se fond sur le seuil. #poesie #pagedumatin #ecritureinstinctive
Que nos cuirs en symbiose
La-peau-logis du plaisir
De la ligne de front
Et son désert à-rides
Jusqu'aux vals buissonniers
Et ses perles humides
En passant par les monts
Qui se tendent aux frissons
Sous l'haleine chargée
Des chaleurs du désir
Que nos cuirs en symbiose
La-peau-logis du plaisir
De la ligne de front
Et son désert à-rides
Jusqu'aux vals buissonniers
Et ses perles humides
En passant par les monts
Qui se tendent aux frissons
Sous l'haleine chargée
Des chaleurs du désir
En tes paupières humides
Une larme de joie
Que génèrent mes mots
Caressant la douceur
De ton âme limpide
Et dans tes profondeurs
Tes délicieux abîmes
Tout de moi se dissout
Non sans effervescence
Oh combien est plaisir
Que buller avec toi
2/2
En tes paupières humides
Une larme de joie
Que génèrent mes mots
Caressant la douceur
De ton âme limpide
Et dans tes profondeurs
Tes délicieux abîmes
Tout de moi se dissout
Non sans effervescence
Oh combien est plaisir
Que buller avec toi
2/2
Librement
En tes yeux d'océan
Ne plus brasser les vents
Ne plus papillonner
Et s'inscrire dans la lame
A surfer tes désirs
Dissoudre dans la vague
Une vague existence
Faire du voile posé
Sur nos pâles langueurs
Un vecteur arrimé
Au mat des espérances
1/2
Librement
En tes yeux d'océan
Ne plus brasser les vents
Ne plus papillonner
Et s'inscrire dans la lame
A surfer tes désirs
Dissoudre dans la vague
Une vague existence
Faire du voile posé
Sur nos pâles langueurs
Un vecteur arrimé
Au mat des espérances
1/2
Dans l'océan de lettres
Je tâtonne et caresse
En de vagues possibles
Des syllabes trop rondes
Pour ne pas se soumettre
Aux cocons de paresses
Que ma plume fait cible
Dans l'océan de lettres
Je tâtonne et caresse
En de vagues possibles
Des syllabes trop rondes
Pour ne pas se soumettre
Aux cocons de paresses
Que ma plume fait cible
Et je "vais-sot" "sans-gains"
"Entre-lacs" incertains
En "des-corps" qui aspirent
Et je "vais-sot" "sans-gains"
"Entre-lacs" incertains
En "des-corps" qui aspirent
Humides et vaporeux
Mes souvenirs se fanent
De nos moments heureux
Humides et vaporeux
Mes souvenirs se fanent
De nos moments heureux
Aux berges de tes lèvres
Se dépose aérien
Ce baiser de satin
Des espérances
Aux berges de tes lèvres
Se dépose aérien
Ce baiser de satin
Des espérances
Que la poudre du vent
Jetée sur tes épaules de brumes
Que la poudre du vent
Jetée sur tes épaules de brumes
Au plaisir
"Em-portée"
"S'honore"
La clé du "chant"
Au plaisir
"Em-portée"
"S'honore"
La clé du "chant"
Des parfums d'innocence
Des jardins des délices
De nos vertes années
Reste quelques fragances
Sur nos fronts qui se plissent
Et nos peaux bien tannées
Des parfums d'innocence
Des jardins des délices
De nos vertes années
Reste quelques fragances
Sur nos fronts qui se plissent
Et nos peaux bien tannées
En caresses oubliées
S'efface le sentiment de peau
En pores à pores
Là où le corps fait grève
En marée d'amertume
En caresses oubliées
S'efface le sentiment de peau
En pores à pores
Là où le corps fait grève
En marée d'amertume
"Débit-heures"
De "primes-vers"
"Débit-heures"
De "primes-vers"
Mêle évapore
A l'échelle du temps
Sous-cieu(se)
Mêle évapore
A l'échelle du temps
Sous-cieu(se)
Pyramides abyssales des profondeurs de l'âme
En dédales de dunes tout autour des mots mis
T'ouvres à des horizons que ton cœur réclame
Pyramides abyssales des profondeurs de l'âme
En dédales de dunes tout autour des mots mis
T'ouvres à des horizons que ton cœur réclame
Nos vies se déboutonnent
Et de nos peaux-lissons
Ses errances coquines
Nos vies se déboutonnent
Et de nos peaux-lissons
Ses errances coquines
"Des-genêts" sur l'herbe
"Ma-net-sens"
Naturelle
"Des-genêts" sur l'herbe
"Ma-net-sens"
Naturelle
Nous dis sa tristesse de la disparition d'Anna Jouy
une poétesse à la plume ciselée
et à la sensibilité aigue et tendre
___
Au revoir Anna chemintournant.com/2025/04/07/a...
Nous dis sa tristesse de la disparition d'Anna Jouy
une poétesse à la plume ciselée
et à la sensibilité aigue et tendre
___
Au revoir Anna chemintournant.com/2025/04/07/a...
Logorrhée monocorde
Diarrhée insane
De la bassesse humaine
La place laissée vacante
Par le cerveau absent
De haine s'est emplie
Le vide appelle le vide
Logorrhée monocorde
Diarrhée insane
De la bassesse humaine
La place laissée vacante
Par le cerveau absent
De haine s'est emplie
Le vide appelle le vide
Stromae
Stromae
Elle m'a "mi-amor"
En faux-cils aiguisés
D'un court "pas-sage"abord
Tout entier emporté
Elle m'a "mi-amor"
En faux-cils aiguisés
D'un court "pas-sage"abord
Tout entier emporté