Non on est toujours là hein

Moi aussi je ne peux le prendre au sérieux

Nous renforcerons aussi notre infrastructure éducative et revitaliserons le chemin de fer, le prolongement de l'autoroute Ila Touba jusqu'à Matam pour faciliter le transport et améliorer la compétitivité économique de la région.

Dans le secteur minier, l’exploitation du phosphate à Darou Mousti,de Baba Garage , du zircon à Lompoul, et la création d’unités industrielles pour la production d’engrais viendront compléter ce plan de développement.

Nous prévoyons des infrastructures modernes pour accueillir les pèlerins, avec un soutien privé sous l’autorisation du Khalife général.

Le tourisme religieux est également un secteur à fort potentiel. Avec le Grand Magal de Touba attirant 6 millions de pèlerins en 2023, une gestion intelligente de cet événement peut générer une véritable économie locale.

Le développement de la culture maraîchère sur un bassin de 60 hectares permettra d’assurer la sécurité alimentaire locale.

Un programme d’autoroutes de l’eau, évalué à plus de 600 milliards FCFA, vise à assurer l’accès à l’eau pour tous. Un autre projet d’assainissement est en cours pour remplacer les infrastructures vétustes.

Pour l’industrialisation, nous établirons des mini-Sonacos pour la transformation de l’huile, des usines de montage de camions et d’équipements militaires, créant ainsi 50 000 emplois.

Dans le secteur agricole, le potentiel des cultures comme l’arachide, le niébé, et le mil est immense. Nos terres fertiles, le sol Dior, sont un atout que nous devons exploiter pleinement pour nourrir notre population et exporter nos produits.

Améliorer le taux d’emploi actuellement à 18 %, avec une électrification à 79 % et un accès à l’eau du robinet pour 50 % de la population.

Aujourd’hui, chaque habitant représente un PIB de 400 000 FCFA, mais nous visons 1 million FCFA par habitant d’ici 2050. Pour y parvenir, plusieurs défis nous attendent :

Quant à notre programme pour le pôle Baol Ndiambour, qui regroupe les régions de Diourbel et Louga, nous visons une transformation profonde pour répondre aux besoins de sa population qui atteindra 7,2 millions d’habitants d’ici 2050.

Sur le plan éducatif, nous affirmons notre engagement pour une école laïque où le respect des croyances est garanti. Les écoles, qu’elles soient franco-arabes ou catholiques, font partie de notre système national, et aucune interdiction de porter le voile ou la croix ne doit y être tolérée.

Je vous rappelle aussi que la politique ne doit pas être un jeu de communautarisme, de liens ethniques ou religieux pour manipuler les votes. Cela est indigne et contribue à la division. Les élections doivent se faire dans le respect de la diversité de notre nation.

Le Pastef est et restera un parti intègre qui honorera toutes ses promesses. Nous respecterons strictement nos engagements, sans transhumants, sans partage de gâteau. Car le système ne repose pas sur une seule personne. Il existe parmi nous des citoyens honnêtes, capables d’apporter des changements.

La mise en place de la Haute Cour de Justice, va rendre justice et restaurer la probité dans notre gestion publique. À cet égard, nous devons éviter de dilapider les ressources de l’État. Je vous invite à prendre exemple sur des pays comme la Norvège, qui a su gérer ses richesses